Aujourd’hui, en exclusivité pour le blog de Passion Home Cinéma, voilà réceptionné un tout nouveau vidéoprojecteur de JVC : le LX-UH1, un DLP à simulation 4K. Si la figuration d’une image UHD à partir d’une résolution Full HD correspond bien à la philosophie actuelle de la marque, celle-ci est plutôt connue pour ses appareils équipés de panneaux LCD réflectifs appelés D-ila. Néanmoins, en association avec BenQ, la Japan Victory Company commercialise présentement au tarif de 2799€ sa version du BenQ W1700, modèle qui aura donc servi de base au LX-UH1.
Par rapport au BenQ proposé à 1599€, il faudra par conséquent débourser 1200€ de plus pour acquérir le nouveau JVC. Le jeu en vaut-il la chandelle ? Ce nouveau banc d’essai complet et exclusif pour le blog de Passion Home Cinéma va notamment s’efforcer de répondre à cette question.
Le constructeur japonais JVC s'est taillé une belle réputation avec ses vidéoprojecteurs home cinéma DLA à simulation 4K (E-Shift) et leur contraste inégalé. Il est donc surprenant de constater que la marque s’est engagée depuis quelques années déjà dans la commercialisation de diffuseurs frontaux d'une technologie différente, en l'occurrence équipés de puces à micro-miroirs de Texas Instrument (DMD ou DLP). En effet, le LX-UH1 est le 3ème modèle de ce type et est encore une fois fabriqué par BenQ.
C’est précisément le BenQ W1700 qui aura servi de base pour développer le LX-UH1. Le projecteur est de fait équipé de la puce de 0.47 de Texas Instrument d’une résolution de 2048×1200.
Cette puce est de résolution inférieure à la version 0.67 qui simulait une image 4K à partir d’une résolution native de 2716×1528. Dans le cas de la 0.67, Texas Instrument a mis au point le traitement XPR qui dédouble chaque pixel 2 fois grâce à une vitesse de commutation rapide de la puce permettant à chaque micro miroir de reproduire 2 pixels distincts et uniques par trames. Pour la puce 0.47, moins onéreuse, cette opération est réalisée 4 fois. CQFD.
Le LX UH1 est un vidéoprojecteur à lampe classique uniquement 2D (alors que le W1700 est compatible 3D) et annoncé avec une luminosité de 2000 lumens et un contraste natif de 10 000:1. La durée de vie de la source lumineuse est donnée pour 4000 heures en mode de fonctionnement normal et 10000 heures en mode économique.
Il est équipé d’une roue chromatique RVBRVB qui doit lui permettre de couvrir 100% de l’espace couleurs rec709 (HDTV) et est compatible avec les signaux UHD et 4K ainsi qu'HDR10 avec un taux de transfert de 18Gbps.
À la lecture de ses premières caractéristiques, il est légitime de se demander quel est l’intérêt d’acheter le modèle JVC qui perd la 3D mais également les haut-parleurs du BenQ W1700 et est bien plus cher que le modèle du constructeur Taïwanais ? Et bien, le JVC dispose de deux options nouvelles. La première viendra vous aider à placer correctement le projecteur dans votre environnement : il s’agit d’un appréciable déplacement mécanique du bloc optique sur les axes verticaux et horizontaux. D’autres constructeurs de vidéoprojecteurs DLP ont certes déjà développé des modèles avec ce type de dispositif mais avec des amplitudes si réduites qu’il était quasiment inutile. Avec ce JVC, il est possible de bouger l’optique de 60% sur l’axe vertical et 23% à l’horizontale. Ça c'est déjà un digne lens-shift !
Second système absent du BenQ W1700 : un iris dynamique. Appelé « ouverture auto », il est destiné à renforcer le contraste en adaptant la luminosité en fonction du contenu de l’image projetée.
Pour obtenir une image de 2m50 de base, il vous faudra un recul minimum de 3m40 et maximum de 5m45. Le zoom et le focus de l’image sont manuels.
La connectique est presque identique à celle du BenQ W1700 (rien d’étonnant) et comprend 2 prises HDMI dont une seule est compatible HDCP 2.2, 1 entrée VGA, 1 mini-USB, 1 RS-232, 1 USB-A et 1 prise 12v Trigger. Seules les entrées et sorties audio ont disparu car le DLP JVC ne dispose pas de système sonore interne.
La télécommande est propre à JVC, d’une belle couleur sombre. Elle est pourvue d’un rétro-éclairage bien pratique dans le noir.
Le JVC LX-UH1 est disponible en noir (LX-UH1B) et en blanc (LX-UH1W) au prix public recommandé de 2799€.
L’origine « BenQuesque » du LX-UH1 transparaît également dans les menus. L’architecture, l’organisation sont identiques, seules quelques petites options les distinguent.
Les valeurs prédéfinies en usine sont listées de la manière suivante : "Naturel, cinéma, dynamique et deux mémoires utilisateurs". Le réglage Util.1 par défaut est approprié pour les images vidéo. Le réglage par défaut Util.2 est approprié pour le contenu Log-Gamma hybride (HLG). Quand un contenu HDR 10 comme un signal UHD-BD est entré dans le projecteur, il passe automatiquement au mode d'image approprié.
Pour ajuster la colorimétrie, le LX-UH1 intègre un réglage séparé du Gain et du Bias (pour la température des couleurs), un Color Management System (CMS) sur les 3 dimensions du Gamut et des valeurs bloquées de gamma sans possibilités d’édition.
Pour la gestion des signaux HDR, le projecteur peut détecter automatiquement la gamme dynamique de la source et optimiser les paramètres pour reproduire le contenu de la meilleure manière possible. Si la source d’entrée n’est pas définie avec une plage dynamique, il est possible de forcer les signaux HDR ou SDR manuellement. Toujours dans le menu HDR, l’utilisateur a accès à un réglage EOTF qui permet d’ajuster automatiquement les niveaux de luminosité de votre image en fonction de la source d’entrée « bas, moyen ou élevé ».
Le traitement XPR (simulation 4K) peut être ajusté finement dans le sous-menu « MoviePro » qui comprend 3 paramètres : « amélioration couleur, ton chair et super résolution ». L’E-shift ou traitement XPR peut également être totalement désactivé.
Si le fonctionnement en mode lampe économique est relativement discret (34dB mesurés à 50cm de l'appareil), il est néanmoins accompagné du grésillement lancinant du traitement XPR. Tous les modèles ne sont pas impactés, mais ce bruit que j'avais déjà pu constater sur l'Optoma UHD40 est également présent sur le JVC LX-UH1. Il est possible de le faire disparaître totalement en désactivant l'E-shift mais vous perdez alors les bénéfices de la simulation 4K.
Avec la lampe à pleine puissance le UH1 atteint 40dB. Heureusement, sa forte luminosité même dans le mode économique n'impose pas d'utiliser cette configuration.
Il est étonnant de constater à quel point ces petits modèles à simulation 4K sont capables de restituer à la perfection des mires UHD ou 4D. Le nouveau DLP de JVC est un champion de la précision d'image et toutes les lignes de nos images de test sont reproduites finement avec tous les détails qui doivent y être.
Ce point sera particulièrement bénéfique pour les amoureux des images découpées au rasoir (j'en suis). Pas la peine de rajouter un amplificateur de netteté ou des filtres vidéos : l'image du JVC LX-UH1 est parfaite sans artifices.
À l'identique du BenQ W1700, le JVC LX-UH1 n'est pas épargné par le judder, cet effet de détérioration de la qualité de l'image à l'occasion des travellings. Dans ce domaine, on ne peut que regretter l'absence d'un mode d'interpolation d'images, comme celui présent dans l'Optoma UHD51. Ce n'est pas rédhibitoire mais n'espérez pas une image fluide avec ce nouveau DLP JVC.
Avec 47,4 ms mesurés, on reste dans les niveaux classiques de retard à l'affichage pour un vidéoprojecteur DLP. Ce n'est pas mauvais mais nous sommes loin d'atteindre les 17 ms record d'un Viewsonic. Cette valeur d'input lag n'est toutefois intéressante que si vous envisagez l'usage de votre vidéoprojecteur pour des parties de jeux en réseau dans lesquelles le temps de réponse est primordial.
Par défaut le réglage de cropping est désactivé. Cette option qui vise à éliminer les défauts présents sur les bords de l'image peut avoir pour conséquence de l'amputer d'une partie de son contenu. Ce n'est pas le cas pour le JVC LX-UH1 qui affiche 100% des symboles de notre mire de test UHD.
La présence de la puce 0.47 signifie que le cadre lumineux entourant l'image sera présent, le nouveau JVC n'apportera pas de changement sur ce point. Néanmoins le travail effectué sur son contraste natif lui permet d'être plus discret que ses concurrents. Le LX-UH1 fait aussi bien que l'Optoma UHD51 dans cette partie de mes évaluations.
Si ce défaut visuel est insupportable et que vous voulez absolument un projecteur DLP il faudra envisager l'achat d'un modèle équipé de la puce 0.67 qui ne souffre pas de cette faiblesse technique. Autre solution, le dissimuler avec un système de caches noirs entourant l'écran.
L'image du nouveau DLP de JVC offre un lissé superbe, nullement troublé par la présence d'un quelconque bruit vidéo.
Enfin, en matière de production d'effets arc-en-ciel, la plaie de la technologie mono-dlp qui projette des flashs colorés perceptibles par les personnes sensibles, le JVC LX-UH1 se montre très discret. . Le choix de l'intégration d'une roue codeuse RVBRVB est bénéfique pour le restitution des couleurs mais également pour diminuer la perception de ce phénomène.
J'ai mesuré entre 7 et 10 secondes d'écran noir entre chaque changement de source. Si on désactive l'E-shift (traitement de simulation 4K), l'image réapparaît après 7 secondes. C'est supportable.
Les 2000 lumens annoncés par le constructeur sont bien présents dans mes mesures et avec des couleurs naturelles. En mode lampe haut, le LX-UH1 est capable d'éclairer une base d'image au format 16/9ème de 4m50 en conservant une luminance de 16 fl. Le passage dans la sélection "économique" ramène ses capacités à 3m70, ce qui reste impressionnant. Le calibrage de l'appareil aura peu d'impact sur la puissance lumineuse comme vous pouvez le lire dans le tableau récapitulatif ci-dessous.
Le contraste démontre également une petite progression (par rapport aux premiers modèles 0.47 que votre serviteur a testé). On atteint les niveaux de contraste natif de l'Optoma UHD51. J'en ai profité pour mesurer l'impact de l'iris dynamique sur le degré de noir. Dans son niveau de fonctionnement "bas", les effets sont peu marqués tant dans les mesures qu'à l'image, mais cette sélection a pour avantage de n'entraîner aucun effet de "pompage" (une diminution visible de la luminosité). Après avoir activé le mode contraste "élevé", les 4000/1 sont dépassés mais dans ces conditions les variations de luminosité sont bien plus perceptibles.
Le tableau ci-dessus reprend l'ensemble des mesures de contraste (natif et dynamique) et de luminosité (lampe à pleine puissance et en mode économique) pour vous permettre de juger des capacités réelles de ce diffuseur.
En sortie de boîte, particulièrement dans la sélection usine "cinéma", les mesures démontrent que les concepteurs de ce projecteur ont réalisé un excellent travail de pré-calibrage. C'est particulièrement intéressant pour l'utilisateur lambda puisqu'il suffit de sortir l'appareil de son carton, de le brancher à sa source et de profiter immédiatement d'une image conforme à la volonté du réalisateur du film sans avoir à procéder à de multiples réglages.
Le JVC LX-UH1 respecte bien les annonces du constructeur puisqu'il atteint 100% de l'espace couleurs HDTV rec709. Toutefois, en DCI-P3 (plus adapté pour les signaux UHD/4K HDR), il faudra se contenter de 75% du Gamut et de 53,8 de la référence rec. 2020.
Pour la température de couleurs, il convient de diminuer légèrement la valeur de Gain du Rouge de -3 et du Bleu de -1 pour arriver à 6500K avec un écart deltaE inférieur à 1. Le gamma est trop rentré dans les basses lumières mais retrouve son équilibre à partir de 40%.
La gestion du HDR est elle entièrement automatique. Si toutefois vous estimez que l'image est trop sombre, il sera possible de l'éclaircir grâce à 3 niveaux EOTF.
Que ce soit en SDR ou en HDR, après avoir dissimulé le cadre lumineux de pourtour, l'image projeté par le nouveau JVC est superbe. Ses points forts sont sa précision, le naturel de ses couleurs et sa haute dynamique (les blancs sont éclatants comme seuls les DLP savent le faire). Les photos qui suivent sont prises à partir de l'image projetée par le JVC DLA-UH1 dans une salle non dédiée et sur un écran blanc.
La netteté est chirurgicale et, grâce à la grande luminosité du projecteur, les scènes de jour seront le domaine de prédilection du LX-UH1.
Pour les scènes de nuit en SDR 1080, il faudra activer le contraste dynamique dans son mode le plus élevé mais supporter les effets de pompage, c'est la seule solution pour redonner de la densité et de la profondeur aux noirs.
En UHD ou 4K HDR, plus aucune limite, c'est parfait ! Les noirs sont profonds, l'image reste lumineuse grâce à la bonne gestion des métadonnées HDR par le projecteur. Le spectateur bénéficie toujours de cette image précise et avec de superbes couleurs. Seule fausse note dans ce panorama, la fluidité pendant les travellings qui souffre de l'absence d'interpolation d'images.
Cette déclinaison JVC du BenQ W1700, si elle est de qualité, est commercialisée à 1200€ de plus que des modèles concurrents chez Acer, BenQ ou Optoma. Certes, elle propose enfin un lens-shift qui dispose d'une large plage de manœuvre mais elle perd au passage l'interpolation d'images et la 3D de modèles comme les Acer V6815 ou Optoma UHD51. J'y vais céans : il va être difficile dans ces conditions de convaincre les potentiels acheteurs de franchir le pas.
Ce nouveau JVC LX-UH1 n'est pas dénué de qualité : la précision de son image, la bonne gestion de sa colorimétrie et la présence d'un iris dynamique sont autant d'arguments en sa faveur. Néanmoins, je pense qu'il aurait avantage à faire l'objet d'un repositionnement tarifaire en-dessous des 1500€ pour espérer trouver son public.
J’ai apprécié :
Je regrette :
Vidéoprojecteur Full HD natif
Projection 4K (3840 x 2160 pixels) grâce à la technologie e-shift
Contraste dynamique 100 000:1
Luminosité : 2 000 lumens
Compatible avec la norme HDMI [4K60P 4:4:4]
HDCP 2.2 à 18Gbps 4K
Prise en charge HDR10 et Hybrid Log Gamma
Couverture 100% Rec.709
Zoom 1.6x
Lens Shift vertical (+/-60%) et horizontal (+/-23%)
Mode faible latence pour le jeu vidéo
Dimensions : 333 x 135 x 332 mm
Poids : 4.8 kg
40 Commentaire(s)
Excelent travail,
En voyant les résultats offerts par le jvc, quelle est selon vous la meilleure option actuelle en 4k dlp?
-jvc lx-uh1
-optoma uhd51
-acer m550
-acer v7850
Après l’installation, il sera calibré par un professionnel.
Dans mon ordre de préférence :
– Acer V7850
– Optoma UHD51
– JVC LX-UH1
– Acer M550
Salut Greg,
Je vois que vous placez le v7850 en premier sur la liste et le m550 le dernier, comme je l’ai lu dans les revues, ils diffèrent dans la roue chromatique RGBRGB de la v7850, mais il y a peu de différences dans leur image finale.
Merci pour ce test complet Greg.
Merci Martin :).
Merci Greg, pour le test de ce très attendu JVC LX-UH1 DLP 4K !
“l’image projetée par le nouveau JVC est superbe. Ses points forts sont sa précision, le naturel de ses couleurs et sa haute dynamique (les blancs sont éclatants comme seuls les DLP savent le faire)”.
C’est pas mal pour le premier DLP 4K de JVC 🙂 !
Une belle exclu,
Bonjour et merci pour cette exclu.
Pas mal d’attente autour de ce LX-UH1 mais finalement, au vue des différents tests, et pour un budget raisonné, est-ce que le meilleur choix ne serait pas l’epson 7300?
Bonjour Rémi. Sans aucun doute, d’autant que l’EH-TW7300 est moins cher, 3D, dispose d’un meilleur traitement vidéo et surtout d’un bloc optique entièrement motorisé. Dois-je rajouter que son image est exempte de tout cadre lumineux ? 😉
l’EH-TW7300 serait-il un bon choix avec un Elite screen Aeon Cinegrey 3D de 90 ou 100 pouces (Gain 1.2). Mon budget ne me permet pas de viser plus haut pour l’écran. Pour autant j’ai le besoin de mieux contrôler la luminosité ambiante de ma pièce (comble avec mansardes peints en blanc , parquet clair).
L’EH-TW7300 calibré pour du HC sera-t-il assez lumineux pour être utilisé avec cet écran ALR? L’impression subjective de contraste en sera-t-elle renforcée par le couple EH-TW7300/Aeon Cinegrey ? Merci d’avance et encore merci pour l’ensemble du travail effectué.
Bien sur, le TW7300 est très lumineux, il a de la pêche en réserve.
Merci à mon fidèle camarade cattod pour son aide dans la publication de ce test.
Good Evening Greg,
At this time with 1400 euros, which is the best UHD proyector you can buy ??
Optoma ?? Benq ?? Viewsonic ??
Thanks !!
1400€ I wil choose the BenQ TK800.
Merci pour ce test Greg. Ce jvc est vraiment trop cher au vu de ses performances.
Salut Greg,
Je vois que vous placez le v7850 en premier sur la liste et le m550 le dernier, comme je l’ai lu dans les revues, ils diffèrent dans la roue chromatique RGBRGB de la v7850, mais il y a peu de différences dans leur image finale.
Il vaut la peine acer v7850 pour la différence de prix par rapport à acer m550?
A le même problème du halo lumineux l’optoma uhd51 et le jvc lx-uh1?
L’acer V7850 n’a pas le problème du cadre’ lumineux.
Thanks Gregory
I have seen that for 1550 euros I can buy the Vivitek 2288 and for 1600 the optoma uhd51.
In this case with 1600 euros, Benq, Vivitek or Optoma ??
Forget the Vivitek HK2288 and choose the UHD51.
Bonjour,
Test très intéressant !
Ce projecteur semble apporter une bonne combinaison ‘forte luminosité’/ ‘placement’/ ‘couleurs’/ ‘contraste’, vraiment dommage qu’il n’ait pas la compensation de mouvement.
Du coup l’alternative V7850 semble intéressante mais il n’a pas l’air très lumineux ( concernant les autres alternatives j’ai une contrainte de placement qui élimine les ratio de projection < 1,9) surtout pour un environnement non dédié.
Est-ce que la différence de luminosité entre le jvc-uh1 et le v7850 est réellement notable ?
Sinon au vu de la différence de prix entre le jvc uh1 et le acerv7860 qui a une lampe 20000 heures et un meilleur contraste cela incite plutôt à casser sa tirelire pour le v7860.
J'ai lu que le accumotion modère fortement les AEC ? C'est aussi votre avis ?
Je n’y suis pas sensible donc compliqué de répondre.
Bonjour Grégory,
Encore merci pour ce test, je cherche si je remplace mon projecteur actuel, de belles couleurs, de la dynamique, de la luminosité et passer au 4k.
Au vu des mesures et photos, le Jvc à vraiment un plus sur ces points ?
Pour expliquer ma démarche, J’arrive à me passer de compensation de mouvement à condition de passer en 1080i au lieu de laisser le mode 24p c’est assez curieux. J’espère obtenir un bon résultat en upscale 4k60p ( platine Sony x800, projecteur vw40 de 2009)
Ma compréhension : à 24 images/s judder trop présent, a 50 ou 60 images/s ça “passe” pour moi.
Bonjour Thomas. Comme je l’indique dans le test : dynamique et précision des couleurs, luminosité sont les points forts de ce JVC/BenQ.
Merci Greg pour ce super test dommage pour ce foutu cadre lumineux .Quand les constructeur vont ils faire quelque chose pour cela c’est inadmissible vu le tarif ? et de plus pas de compensation de mouvements dommage je l’aurai bien vu dans ma salle sur 3m50 de base
Bonjour gregory et merci pour tous ces test !!
J’ai actuellement un optoma hd50 que je vais bientot changer que me conseillerai tu stp . Mon utilisation salle dédié, film 80% sport 14 % gaming 6%. Et ecran esmart german 150pouces. (j’ai 5 m de recul et possibilité de faire caisson pour le videoprojecteur)
J’ai vu que tu vante le benq w2000 on le trouve a 799 et le w2000+ a 999 mais a la base je regarder plutot le sony hw45es 1800 euros ou epson 7300 1800 euros . Que me conseille tu méme un autre modele stp ?
merci d’avance
Le Sony HW45 est un bon choix et en plus il est silencieux donc pas besoin de confectionner un caisson.
merci greg
Bonjour,
Pourriez-vous confirmer cette partie du test : “Pour obtenir une image de 2m50 de base, il vous faudra un recul minimum de 3m00 et maximum de 4m80.” ?
En effet je m’apprête à prendre ce vidéoproj, cependant d’après la fiche produit il a un rapport de projection de 1,36 – 2,18. J’aimerais prendre un écran a 2.40 de base, il ne passerai pas avec le recule que j’ai (environ 3m15) d’après la fiche produit mais passerai d’après votre test…
Pour 2m40 de base il faut un recul minimum de 3m27 et maximum de 5m23.
Bonjour Gregory,
Je souhaiterais savoir sur quelle produit partir entre ce JVC LX UH1 V2(version sans cadre lumineux) ou un Optoma UHD51 ? C’est pour une pièce dédiée (sombre) base d’image de 2m gain 1.0 (Lumene premium 200c).
Svp ! Cordialement.
Ni l’un ni l’autre, attendez de voir ce que donne l’UHD52.
Merci pour votre retour mais vous parlez bien du modèle U52ALV de chez Optoma déjà disponible.
C’est bien ça.
Bonjour, merci pour le retour et tout ce contenu proposé !
Bonne journée.
Hi Gregory, thanks a lot for your stunning reviews. Would you pls give me a suggestion based on your knowledge: I need lens shift (height 250 cm on a shelf so NOT upside down), lens to screen 500 cm, base of the image 250 cm), actually I’m using an old Sony HS60. I like: Benq w5700s; Epson eh-TW7400; have you other better candidates? thank you very much. Marco