Aujourd’hui, voici compte rendu de mon expérience avec le tout nouveau projecteur laser PT-FRQ50 de Panasonic. Que voilà une sacrée primeur pour le blog car cet appareil ne sera sur le marché au mieux qu’à partir de janvier 2022.
C'est un modèle expert commercialisé via la division professionnelle du constructeur. Il ne s’agit donc pas d’un appareil « grand public ».
Prévu vers 5000€ HT et principalement destiné aux marchés corporate (entreprises), muséographie, espaces immersifs, éducation, il peut également être utilisé à domicile.
Mais ce qui m’a piqué à demander un exemplaire pour un test c’est la présence de la nouvelle puce DMD de Texas Instruments d’une taille de 0,65 pouces (réf : DLP650TE). Outre l'UHD par émulation comme nous verrons plus loin elle offre également au vidéoprojecteur la capacité de prendre en charge une fréquence d’images de 240 Hz/1080p avec un input lag réduit à 8 ms. Ce nouveau chip devrait être intégré dans des modèles home cinéma à venir en 2022 et il m’apparaissait intéressant de pouvoir évaluer ses capacités en avant première et vous rendre compte de mes observations.
Alors sans plus attendre partons ensemble à la découverte de ce nouveau projecteur.
Les incursions du constructeur japonais dans le segment des diffuseurs frontaux sont de plus en plus rares. Le dernier modèle grand public que votre serviteur a testé est sorti en décembre 2018 et c’était un projecteur à ultra courte focale, le TX-100FP1E. Mais si la partie home cinéma de Panasonic est quasiment abandonnée, la branche professionnelle quant à elle pète le feu.
Le PT-FRQ50 reprend toutes les recettes qui ont fait le succès de son petit frère le PT-RZ570, puis de l’actuel PT-FRZ50 (WUXGA), à savoir: bloc optique scellé résistant aux espaces poussiéreux, refroidissement par radiateurs + watercooling, aucun filtre à changer, optique relativement large (1,46 – 2,94:1), opérabilité 24h/24 grâce à des composants doublés à l’intérieur du châssis…
S’il conserve des caractéristiques des générations précédentes, il se démarque toutefois par l’intégration de la puce DMD DLP650TE, entendez par là une 0,65 pouces avec résolution native de 1080p mais capable d’émuler une résolution UHD 3840×2160 à l’aide d’un traitement XPR X4.
Les principaux avantages attendus par rapport aux puces 0,47 sont la progression du contraste natif, la précision d’image, les supports 4K UHD à 60 Hz et 1080p à 240 Hz sans oublier la disparition ou plutôt la réduction importante du sinistre cadre gris des anciennes puces 0,47 (micro-miroirs inexploités).
Notez bien que modèle présentement en test est une version non finalisée ; certaines options sont inactives ou incomplètes comme la gestion du contraste dynamique, la colorimétrie des différents modes et le bruit de fonctionnement.
Le projecteur dans sa version finale est annoncé avec une puissance lumineuse de 5200 lumens et une durée de vie de la source lumineuse laser de 20 000 heures en mode standard et 24 000 heures en mode économique.
L'appareil supporte les signaux 4K HDR-10 et HLG. La 3D est absente.
Les projecteurs professionnels de Panasonic sont conçus pour opérer pendant de longues périodes sans maintenance et la qualité de fabrication et d’assemblage est en concordance. Le PT-FRQ50 semble être blindé et ses presque 17 kilos sur la balance (16,5 kg) ne sont pas simples à manipuler. Sa forme rectangulaire est massive avec les dimensions suivantes : 498 × 168 × 492 mm. On le trouvera dans deux versions, une noire et une blanche.
Le bloc optique n’est pas motorisé mais il dispose d’un Lens-shift vertical et horizontal (rare sur un projecteur DLP) que l’on ajuste à l’aide d’une molette.
Le PT-FRQ50 est équipé d’un zoom et d’une molette de focus. Son rapport de projection est de 1.45–2.92:1. Il faut donc 3m62 de recul minimum pour obtenir une image de 2m50 de base.
Le panneau de connectique est placé sur un des côtés de l’appareil. Il est tellement fourni que je préfère vous laisser le découvrir en photo plutôt que de réaliser un inventaire à la Prévert. On notera toutefois la présence de deux prises HDMI.
Seule petite déception dans ce paysage robuste et sérieux, la télécommande blanche rikiki qui n’a même pas le bon goût de disposer d’un éclairage intégré.
Là encore nous sommes dans le monde professionnel et beaucoup d’options ne seront pas utiles pour une utilisation home cinéma. Notons néanmoins que pour un appareil destiné au marché corporate il propose parmi ses configurations usine des sélections d’image « cinéma » et « rec709 » spécifiques à une utilisation domestique.
A ces deux sélections s’ajoutent les modes « standard, naturel, Sim. Dicom, dynamique et graphique ».
Quatre Gamut sont disponibles: « natif, rec709, émulation DCI-P3 et émulation Rec.2020 ».
Le PT-FRQ50 renferme une gestion séparée de l’échelle de gris (balance des blancs) mais je n’ai pas trouvé de CMS. Il possède un éditeur de Gamma comprenant certaines valeurs prédéfinies (SDR et EOTF HDR). A la détection d’un signal HDR le projecteur se positionne automatiquement dans ce mode mais il ne dispose pas d’une gestion dynamique des métadonnées d’une image à haute dynamique.
Toutes sont éditables, il n’y a pas de mémoire utilisateur proprement dites.
La gestion de la puissance lumineuse est découpée en 4 sélections : « normale, économique, silencieuse et utilisateur ». La dernière option permet de régler finement le niveau de laser sur une échelle de 20 à 100 % avec des pas de 1 %.
Une option de contraste dynamique sur deux niveaux (non finalisée) est présente.
Le projecteur ne dispose pas d’interpolation d’images. Quant à l’input lag, un niveau rapide de gestion du temps de réponse est présent mais également non finalisé.
Bruit de fonctionnement :
Le constructeur annonce 37 dB. Mon modèle de présérie réalise une contre performance dans ce domaine avec dans la moins pire configuration une mesure de 47,7 dB à 50 cm de distance dans le mode le plus silencieux. Toutefois et c'est important, une mention des ingénieurs m'ayant transmis cet appareil indique que la gestion sonore sera améliorée avant la mise sur le marché du PT-FRQ50 : ouf!
Consommation électrique :
J’ai procédé à 3 relevés, le premier à la pleine puissance 100% du laser, le second dans le mode économique à 80 % et le troisième dans la configuration utilisateur réduite à 20 %. S'affichent successivement 348,6W, puis 282,1W et enfin 105.2W.
Dans son mode de fonctionnement normal le nouveau Panasonic est donc gourmand en énergie mais vous pourrez lire dans la partie « luminosité et contraste » qu’à 20 % de fonctionnement du laser et donc 105,2W de consommation électrique l'appareil est en mesure d’éclairer une image 16/9ème HDR de 3m39 de base.
Piqué et netteté :
La précision est une des principales avancées attendues par la présence d’une puce DMD de plus grande taille. Hé bien! Les espérances ne seront pas déçues car les résultats dans cette partie de mon évaluation sont tout bonnement époustouflants. Cela faisait bien longtemps que je n’avais vu mes images de tests 4K HDR avec un tel niveau de précision et de netteté. Les lettres des menus sont découpées avec grande finesse. A aucun moment ça ne bave ou ça ne floute. Nostalgiques de la précision d’image DLP 0.95, ce PT-FRQ50 va vous redonner le sourire. Le zoom de la mire ci-dessous est pris sur la partie droite de l'image de test. Le rectangle le plus à droite pose souci aux projecteurs équipés d'une puce DMD 0,47 qui n'arrivent pas à reproduire la finesse des lignes. Ce n'est pas le cas ici avec le nouveau modèle 0,65.
Fluidité :
On peut dire adieu au judder du à une mauvaise gestion du 3:2 pulldown car malgré l’absence d’un dispositif d’interpolation d’images le nouveau Panasonic reproduit mes extraits Spears and Munsils (défilé de piments et travelling horizontal) sans déformation ou ralentissements.
Input lag :
Le constructeur promet un lag réduit à 8 ms avec des sources 1080p 240hz. Seule la partie 4K 60hz a pu être vérifiée en relevant un retard à l’affichage limité à 34,7 ms. Ce résultat est en dessous de la barre fatidique des 50 ms et permet donc de recommander le PT-FRQ50 pour une utilisation Gaming réseau sur très grande image ! A noter que le changement de fonctionnement de la vitesse de traitement de normal à rapide n’apporte que peu de variation du niveau de lag.
Overscan et pollution lumineuse :
Les mires de cropping son exemptes de toute rognure ou coupure. On bénéficie donc de la totalité de l'image à l’écran. La coque hermétique du nouveau Panasonic évite également toute pollution lumineuse.
Synchronisation HDMI et défaut de séparation d’écran :
Autre point de progrès attendu par rapport aux puces DMD 0,47, la disparition du cadre gris qui entoure l’image « utile ». Rappelons que ce phénomène est occasionné par une partie des micro-miroirs qui reste inactive.
Là, ce cadre est quasiment absent de la nouvelle puce 0.65 dont le débordement extérieur de l’image est réduit à un centimètre, au far-west des fâcheux 3 centimètres de la plus petite puce.
En ce qui concerne le défaut « split screen » ou écran séparé, j’ai malheureusement expérimenté quelques épisodes de séparation verticale de l’image que j’ai pu chasser en sélectionnant la seconde prise HDMI et en revenant ensuite sur la première. Ayant fait remonter ce défaut à la marque, gageons qu'il sera corrigé dans la version finale.
Speckel laser :
Le PT-FRQ50 utilise un laser avec une roue au phosphore. Cette solution technique qui ne permet pas de bénéficier d’un Gamut atteignant 100 % de l’espace couleurs rec.2020 a pour avantage d’éviter tout effet de Speckle. De fait, l’image reste lisse sans présence de multiples petits points visibles sur les fonds unis.
Colorimétrie et Gamma :
Dans ce domaine d’évaluation, là encore je me dois de vous prévenir que les résultats obtenus seront modifiés sur la version finale.
En sortie de boîte l’image du PT-FRQ50 a une température de couleurs oscillant entre 7500K et 7800K avec des écarts deltaE supérieures à 10, soit des valeurs trop froides par rapport aux 6500K recherchés pour coller aux références rec.709.
Le Gamma est plutôt linéaire et proche de 2.2 dans la plupart des sélections.
En atteignant seulement 78 % du DCI-P3 le Gamut m’a déçu pour un projecteur laser, la faute au filtre généré par l’utilisation d’une roue au phosphore. Le forçage des deux espaces couleurs DCI-P3 et rec.2020 n’a pas permis d’améliorer le constat. Vous trouverez ci-dessous les valeurs obtenues.
Le nouveau Panasonic nécessite de se retrousser les manches pour obtenir une image cinéma. Autrement dit, il faudra le faire calibrer pour en tirer la quintessence.
En 4K HDR, j’ai du batailler ferme pour obtenir une image satisfaisante. Si le projecteur reconnaît bien les signaux HDR-10 et HLG, il se positionne souvent dans des mauvais réglages de Gamma EOTF et il faut corriger les niveaux de contraste et de luminosité pour arriver à obtenir un rendu HDR satisfaisant. J’ai du mettre à contribution mon lecteur UHD Panasonic 820 pour palier à des erreurs du projecteur.
Contrairement à mon habitude je ne placerai pas de réglages recommandés, car comme indiqué plus haut cette partie doit encore être améliorée par Panasonic avant la sortie du modèle définitif.
Contraste et luminosité :
Le modèle de présérie est « limité » à 4520 lumens et ils sont bien là, voire légèrement au-dessus. A moins d’avoir un écran de 6 mètres de base, une telle puissance lumineuse à peu d’intérêt en home cinéma. Il est possible de l’abaisser à une valeur plus raisonnable mais encore bien puissante de 1810 lumens, en réduisant le laser à 20 %.
Avec une telle pêche dans son mode de fonctionnement le plus faible, le PT-FRQ50 est en mesure d’afficher une image SDR de 4m32 de base au format 16:9ème en conservant une luminance de 16fL. Pour le 4K HDR il faudra se « restreindre » à 3m39 pour bénéficier de 26 fL.
Pour le contraste natif, il tourne autour de 1300:1. C’est une progression avec un facteur ×2 voire ×3 par rapport à des projecteurs équipés de la puce DMD 0,47. La gestion dynamique du laser (non finalisée) m’a permis d’obtenir un maximum de 9654:1 dans le mode graphique et tout ceci sans effet de pompage à l’image. Ce résultat est toutefois unique et plus globalement le contraste dynamique a été mesuré aux alentours de 4000:1
1080p SDR :
Colorimétrie :
Sur la scène de l’embuscade du tank Tigre avec la perte des 3 Shermans du long métrage Fury, l’équilibre colorimétrique après calibrage est bien rendu avec des tons chair reproduits avec naturel. Le bon contraste du nouveau Panasonic est également perceptible à l’intérieur du char américain pendant que les tankistes sont assoupis juste avant l’explosion du premier blindé.
Fluidité :
La fluidité de l’introduction de Wonder Woman 84 dans laquelle la jeune héroïne court dans les bois pour se rendre au tournoi est exemplaire et ceci sans l’aide d’un dispositif d’interpolation d’images. Même les passages les plus rapides sont reproduits sans déformation.
Luminosité :
Le crash de l’avion d’Amado dans le désert qui débute la troisième saison de Narcos Mexico sur Netflix est magnifié par la puissance de la luminosité du PT-FRQ50. Entendons nous bien une fois encore : ce projecteur est décidément fait pour les grandes bases d’image.
4K HDR :
Contraste :
Dans l’introduction spatiale de Rogue One, la profondeur de l’espace est bien restituée sans perte de dynamique au niveau des étoiles. Le contraste dynamique (en l’état actuel) ne démontre aucune trace de pompage.
Piqué :
Dans le passage de l’arrivée de l’équipage du Covenant sur la zone d’atterrissage du lac de la planète des ingénieurs, la nouvelle puce DMD démontre tout son potentiel en terme d’optimisation de la netteté. La scène fourmille de petits détails et cette caractéristique est confirmée par l’examen rapproché du gant de David.
Si j’ai bel et bien été bluffé par les résultats en termes de précision et de dynamique d’image offerts par le nouveau Panasonic PT-FRQ50 je m’abstiendrai toutefois de lui attribuer une note, pour plusieurs raisons. En effet, l'exemplaire testé n’est pas encore finalisé et en l'attente de plusieurs mises au point et/ou rectifications (bruit de fonctionnement, colorimétrie, contraste dynamique) l'évaluation demeure relative. C’est également un appareil en marge de la catégorie des modèles home cinéma testés habituellement ici. Certes, preuve est faite qu’une utilisation à domicile est envisageable mais ce n’est pas le « cœur de métier » de cette belle machine et il faut le garder à l’esprit.
J’en profite ainsi pour suggérer au constructeur d’envisager sérieusement une déclinaison domestique home cinéma de son appareil qui bénéficie d’un socle de caractéristiques et compétences susceptibles d’intéresser un grand nombre d’entre nous.
J’ai apprécié :
- La puissance lumineuse qui peut être ajustée,
- La solidité de l’appareil,
- La précision de l’image,
- L’input lag réduit,
- Le problème de cadre lumineux enfin résolu,
- La fluidité sans interpolation d’images,
- Le contraste DLP en progrès.
Je regrette :
- Le bruit de fonctionnement trop élevé,
- Des options à finaliser,
- Une image HDR compliquée à gérer.
Today, here is a report on my experience with the brand new PT-FRQ50 laser projector from Panasonic. This is quite a first for the blog as this device will beon the market at best from January 2022.
It is an expert model marketed via the manufacturer's professional division. It is therefore not a "general public" device.
Expected to cost around €5,000 before tax, it is mainly intended for the corporate market (companies), museography, immersive spaces, education, but it can also be used at home.
But what piqued me to ask for a copy for a test is the presence of the new DMD chip from Texas Instruments with a size of 0.65 inches (ref: DLP650TE). In addition to the UHD by emulation as we will see later, it also offers the projector the ability to support a frame rate of 240 Hz/1080p with an input lag reduced to 8 ms. This new chip should be integrated in home cinema models to come in 2022 and it seemed interesting to me to be able to evaluate its capacities in preview and to report my observations.
So without further ado, let's go together to discover this new projector.
The Japanese manufacturer's forays into the front diffusers segment are becoming increasingly rare. The last consumer model that yours truly tested was released in December 2018 and it was an ultra-short-throw projector, the TX-100FP1E. But if Panasonic's home theater business is all but abandoned, the professional business is on fire.
The PT-FRQ50 takes all the recipes that made the success of its little brother the PT-RZ570, then the current PT-FRZ50 (WUXGA), namely: sealed optical block resistant to dusty spaces, cooling by radiators + watercooling, no filter to change, relatively wide optics (1.46 - 2.94:1), 24/24 operation thanks to components doubled inside the chassis...
While it retains features from previous generations, it stands out with the integration of the DMD DLP650TE chip, meaning a 0.65-inch with native 1080p resolution but capable of emulating 3840×2160 UHD resolution using XPR X4 processing.
The main advantages expected over 0.47 chips are the increase in native contrast, image precision, 4K UHD support at 60 Hz and 1080p at 240 Hz, and the disappearance or rather the significant reduction of the sinister grey frame of the old 0.47 chips (unused micro-mirrors).
Please note that the model currently under test is an unfinished version; some options are inactive or incomplete such as dynamic contrast management, colorimetry of the different modes and operating noise.
The projector in its final version is announced with a light output of 5200 lumens and a laser light source lifetime of 20,000 hours in standard mode and 24,000 hours in economy mode.
The device supports 4K HDR-10 and HLG signals. 3D is not supported.
Panasonic's professional projectors are designed to operate for long periods of time without maintenance and the build quality and assembly is to match. The PT-FRQ50 feels armoured and its almost 17 kilos on the scale (16.5 kg) are not easy to handle. Its rectangular shape is massive with the following dimensions: 498 × 168 × 492 mm. It will be available in two versions, one black and one white.
The optical block is not motorized but it has a vertical and horizontal lens-shift (rare on a DLP projector) that can be adjusted with a knob.
The PT-FRQ50 is equipped with a zoom lens and a focus wheel. Its projection ratio is 1.45-2.92:1. You need a minimum distance of 3m62 to obtain a 2m50 image.
The connector panel is placed on one side of the device. It is so full that I prefer to let you discover it in pictures rather than to make an inventory. We will note however the presence of two HDMI plugs.
The only small disappointment in this robust and serious landscape is the tiny white remote control that doesn't even have the good taste to have an integrated light.
Here again we are in the professional world and many options will not be useful for home cinema use. Nevertheless, it should be noted that for a device destined for the corporate market, it offers among its factory configurations "cinema" and "rec709" image selections specific to home use.
In addition to these two selections, there are "standard, natural, Sim. Dicom, dynamic and graphic modes.
Four gamuts are available: "native, rec709, DCI-P3 emulation and Rec.2020 emulation".
The PT-FRQ50 has a separate grey scale (white balance) management but I did not find a CMS. It has a Gamma editor with some predefined values (SDR and EOTF HDR). When an HDR signal is detected the projector automatically switches to this mode but it does not have a dynamic metadata management of a high dynamic range image.
All are editable, there is no user memory as such.
The light power management is divided into 4 selections: "normal, economic, silent and user". The last option allows the laser level to be finely adjusted on a scale of 20 to 100% in 1% steps.
A two-level dynamic contrast option (not finalized) is present.
The projector does not have image interpolation. As for the input lag, a fast response time management level is present but also not finalized.
Operating noise :
The manufacturer announces 37 dB. My pre-production model achieves a counter performance in this field with in the least worst configuration a measurement of 47.7 dB at 50 cm distance in the quietest mode. However, and this is important, one mention from the engineers who sent me this device indicates that the sound management will be improved before the release of the PT-FRQ50: phew!
Power consumption :
I took 3 readings, the first one at full power 100% of the laser, the second one in the economic mode at 80% and the third one in the reduced user configuration at 20%. The readings were 348.6W, then 282.1W and finally 105.2W.
In its normal mode of operation the new Panasonic is thus greedy in energy but you will be able to read in the part "luminosity and contrast" that at 20 % of operation of the laser and thus 105,2W of power consumption the device is able to illuminate an image 16/9 HDR of 3m39 of base.
Sharpness :
Accuracy is one of the main advances expected from a larger DMD chip. Well! Expectations will not be disappointed as the results in this part of my review are simply stunning. It's been a long time since I've seen my 4K HDR test images with this level of precision and sharpness. The letters in the menus are cut with great finesse. At no point does it drool or blur. Nostalgic of the DLP 0.95 image precision, this PT-FRQ50 will make you smile again. The rightmost rectangle is a problem for projectors with a 0.47 DMD chip that cannot reproduce the fine lines. This is not the case with the new 0.65 model.
Fluidity:
We can say goodbye to the judder caused by a bad management of the 3:2 pulldown because in spite of the absence of a device of interpolation of images the new Panasonic reproduces my Spears and Munsils extracts (parade of peppers and horizontal travelling) without distortion or slowing down.
Input lag :
The manufacturer promises a lag reduced to 8 ms with 1080p 240hz sources. Only the 4K 60hz part could be verified by noting a display delay limited to 34.7 ms. This result is below the 50 ms mark and allows us to recommend the PT-FRQ50 for network gaming on very large images! Note that the change of operation of the processing speed from normal to fast does only bring a few variation of the lag level.
Overscan and light pollution :
The cropping patterns are free of any cropping or cutting. We therefore benefit from the entire image on the screen. The hermetic shell of the new Panasonic also avoids any light pollution.
HDMI Sync and Screen Separation Failure :
Another point of progress expected compared to DMD 0.47 chips is the disappearance of the grey frame surrounding the "useful" image. Remember that this phenomenon is caused by a part of the micro-mirrors that remains inactive.
Here, this frame is almost absent from the new 0.65 chip, whose external overhang is reduced to one centimeter, at the far-west of the annoying 3 centimeters of the smallest chip.
As for the "split screen" defect, I unfortunately experienced a few episodes of vertical image separation that I was able to get rid of by selecting the second HDMI socket and then switching back to the first. Having reported this defect to the brand, let's bet that it will be corrected in the final version.
Laser Speckel :
The PT-FRQ50 uses a laser with a phosphor wheel. This technical solution, which does not allow to benefit from a Gamut reaching 100% of the rec.2020 colour space, has the advantage of avoiding any Speckle effect. In fact, the image remains smooth without the presence of multiple small dots visible on the plain backgrounds.
Colorimetry and Gamma :
In this area of evaluation, again I must warn you that the results obtained will be modified in the final version.
The PT-FRQ50 image has a color temperature between 7500K and 7800K with deltaE deviations higher than 10, that is to say values too cold compared to the 6500K sought to stick to the rec.709 references.
The Gamma is rather linear and close to 2.2 in most selections.
By reaching only 78% of DCI-P3 the Gamut disappointed me for a laser projector, the fault of the filter generated by the use of a phosphor wheel. The forcing of the two color spaces DCI-P3 and rec.2020 did not improve the observation. You will find below the values obtained.
The new Panasonic requires you to roll up your sleeves to get a cinematic image. In other words, you'll have to calibrate it to get the most out of it.
In 4K HDR, I had to fight hard to get a satisfactory image. If the projector recognizes HDR-10 and HLG signals well, it is often positioned in bad EOTF Gamma settings and it is necessary to correct the contrast and brightness levels to obtain a satisfactory HDR rendering. I had to use my Panasonic 820 UHD player to compensate for the projector's errors.
Contrary to my habit I will not place recommended settings, because as indicated above this part still needs to be improved by Panasonic before the final model is released.
Contrast and brightness :
The pre-production model is "limited" to 4520 lumens and they are well there, even slightly above. Unless you have a 6-meter screen, such a light output is of little interest in home cinema. It is possible to lower it to a more reasonable but still powerful 1810 lumens, by reducing the laser to 20%.
With this much fish in its lowest mode of operation, the PT-FRQ50 is able to display a 4m32 base SDR image in 16:9 aspect ratio while maintaining a luminance of 16fL. For 4K HDR you'll have to "restrict" yourself to 3m39 to get 26fL.
For native contrast, it's around 1300:1. That's an improvement by a factor of ×2 or even ×3 compared to projectors equipped with the 0.47 DMD chip. The dynamic laser management (not finalized) allowed me to obtain a maximum of 9654:1 in the graphics mode and all this without any pumping effect in the image. This result is however unique and more globally the dynamic contrast was measured at around 4000:1
1080p SDR :
Colorimetry :
In the Tiger tank ambush scene with the loss of the 3 Shermans from theFuryfeature, the color balance after calibration is well rendered with natural flesh tones. The good contrast of the new Panasonic is also noticeable inside the American tank while the tankers are dozing just before the firsttank explodes.
Fluidity:
The fluidity of the introduction to Wonder Woman 84, in which the young heroine runs through the woods on her way to the tournament, is exemplary, and this without the aid of an image interpolation device. Even the fastest passages are reproduced without distortion.
Brightness :
Amado's plane crash in the desert that begins the third season of Narcos Mexico on Netflix is magnified by the PT-FRQ50's powerful brightness. Let's be clear once again: this projector is definitely made for big picture bases.
4K HDR:
Contrast :
In Rogue One's space introduction, the depth of space is well rendered with no loss of dynamic range at the stars. The dynamic contrast (as it stands) shows no evidence of pumping.
Piqué:
In the scene of the Covenant crew arriving at the landing zone on the lake on the Planet of the Engineers, the new DMD chip shows its full potential in terms of sharpness optimization. The scene is teeming with small details, and this is confirmed by a close-up look at David's glove.
If I was indeed bluffed by the results in terms of precision and dynamics of image offered by the new Panasonic PT-FRQ50 I will however abstain from attributing a note to it, for several reasons. Indeed, the tested camera is not yet finalized and while waiting for several adjustments and/or rectifications (operating noise, colorimetry, dynamic contrast) the evaluation remains relative. It is also a device on the fringe of the category of home cinema models usually tested here. It is true that home use is possible but it is not the "core business" of this beautiful machine and it is important to keep this in mind.
I'd like to take this opportunity to suggest that the manufacturer seriously consider a home cinema version of its device, which benefits from a set of characteristics and skills that could interest a large number of us.
I enjoyed :
- The light power can be adjusted,
- The solidity of the device,
- The precision of the image,
- Reduced input lag,
- The light frame problem is finally solved,
- Fluidity without image interpolation,
- DLP contrast is improving.
I regret :
- The operating noise is too high,
- Options to be finalized,
- A complicated HDR image to manage.
36 Commentaire(s)
Merci Grégory pour ce compte rendu
Merci Greg pour le test de ce Panasonic « perfectible ».
De toute façon, à près de 50 Db minimum, il n’est pas vraiment fait en état, pour nos environnements « douillés ».
Qui plus est, la colorimétrie et les possibilités de réglages sont limités actuellement.
Embêtant aussi, cette résurgence de l’écran scindé qui aurait dû disparaitre avec cette puce.
Sinon, dans le chapitre contraste, il me semble qu’il y ait une petite erreur :
« Pour le contraste natif, il tourne autour de 1300 lumens »
tu voulais sans doute dire :
« Pour le contraste natif, il tourne autour de 1300:1 ».
En tout cas, intéressant test. Merci 🙂
Merci c’est corrigé.
Bonjour Greg, merci pour ce test, bien sûr à finaliser avec la version définitive ? Mais c’est vrai que l’écran scindé n’est pas rassurant pour la pérennité de ce modèle ! À plus
Impressionnant, sachant que nous ne sommes qu’aux prémisses de l’utilisation de cette nouvelle puce.
Je pense que les UST feront beaucoup mieux en terme de contraste, même si nous sommes ici dans des valeurs vraiment correctes qui nous ramènent à la puce DLP TI Dark Chip 3 0,67″.
Je comprends l’enthousiasme de Gregory après 3-4 années de vaches maigres et de contrastes du début du siècle, mais objectivement nous sommes en 2021 et nous atteignons là péniblement les valeurs de contraste des bons FULL HD de 2010…
Merci Grégory pour tout ce boulot et ton compte rendu.
Cette nouvelle puce est prometteuse !
Ce Panasonic a de très grandes qualités, mais aussi des défauts qui le rendent peu adapté à nos salons. 🙁
+ bloc optique étanche à la poussière
+ refroidissement liquide sans filtre
+ grande luminosité
+ incroyable définition
+ pas de judder
– trop grande luminosité
– contraste faiblard
– très bruyant
– pas de gestion dynamique de l’HDR
– compliqué à calibrer
– pb image syndée
à bon entendeur 😉
et j’ai oublié de dire :
++ lens shit
++ zoom
Merci Greg, ça donne bonne espoir pour les futurs projecteurs HomeCinema qui sortiront avec la puce 0,65 pouces DLP650TE.
« J’en profite ainsi pour suggérer au constructeur d’envisager sérieusement une déclinaison domestique home cinéma de son appareil qui bénéficie d’un socle de caractéristiques et compétences susceptibles d’intéresser un grand nombre d’entre nous. »
+1!
Ou alors Panasonic nous le fait à 3000€ en version bien au point et on s’arrangera ; -)
Dommage que le nouveau et unique contrôleur de la puce DMD (au lieu de 2 avant) n’ait pas éradiqué le risque d’écran scindé.
Content par contre que l’on puisse se passer de l’interpolation d’image et garder une image fluide.
Quelles sont les améliorations par rapport à la puce 0.65 présente dans le Samsung LSP9T? Ce dernier n’ est-il pas mieux dans la même gamme de prix pour une utilisation home cinéma?
Bonjour Gregory,
Quel vidéo projecteur dlp full hd achèterais-tu pour un budget de 750€ plus ou moins ? Merci
les VP laser commencent a sortir pour 2022. j’ai pour projet de changer mon VP, le remplacer par un laser, mais le quel choisir?
Bonsoir ce n’est pas assez précis comme demande, il faudrait ajouter des éléments sur le budget disponible, la taille de l’écran envisagée, l’utilisation du projecteur.
a la base j’etais parti sur un VP sony 290es. ensuite j’ai vu ton test de l’epson ls 12000, et la je vois l’optoma uhz50 et le panasonic. j’ai le budget de 5000€ pour une utilisation cinema et console de jeux.
Il va falloir attendre un petit peu, je teste bientôt l’Optoma laser.
POUR INFO : nouveau projecteur :
https://www.optoma.com/ap/product/uhz50/#
https://www.passionhomecinema.fr/blog/index.php/13/10/2021/optoma-uhz50-dlp-laser-4k-xpr-a-2599e/
Bonjour Grégory et tous mes voeux pour 2022.
As-tu des nouvelles d’un Panasonic PT-FRQ50 de série que tu pourrais re-tester ? Si j’ai bien compris, tu préférais attendre un modèle définitif pour te prononcer de manière plus définitive ?
Merci par avance pour ton suivi, bien à toi, Franck (Josscreen)
Bonjour Grégory, j’ai très envie de commander ce Panasonic pt-frq50 car je connais déjà la série Solid-Shine via mon éternel pt-rz470 dont je n’arrive pas à trouver un bon remplaçant 4K, tellement sa qualité et son optique finissent pas toujours faire la différence sur des modèles moyenne à plus haut de gamme ! Mais je diffuse sur un écran au format 2.38:1 de 1,91m de base et donc la luminosité réglable très finement du 470 me permet d’adapter au mieux la luminosité… L’object de ma demande est de savoir, vu que la luminosité du frq-50 est tout aussi ajustable que le 470, sera-t-elle vraiment adaptable sur mon écran ? J’ai peur d’avoir trop de lumens… Je projète sur un écran DIY donc de 1,91m /0,80m toile XY gain 0.8 ? Visiblement, tu n’as pas encore pu le re-tester dans sa version finalisée ? Rien en vue ? Merci par avance pour le temps que tu voudras bien m’accorder… Bien à toi, Franck (josscreen)
Bonsoir Franck,
Je pense qu’il reste trop lumineux pour ta configuration, d’autant que la version définitive devrait avoir encore plus de pêche.
Ok, merci Greg pour ton aide… Dur dur d’en changer de ce pt-rz470, j’ai l’impression qu’il va m’accompagner encore quelques années, bien à toi, à plus
Pourquoi changer quand ça fonctionne bien ? 😉
Et oui, mais l’appel du nouveau modèle est toujours présent malgré tout et finalement, c’est un modèle acheté d’occasion il y a déjà maintenant plus de 5 ans (grâce à un test que tu avais publié 🙂 il y a quelques années), qui m’aura donné le plus de satisfaction, un record absolu qui semble être là encore quelques temps… Encore merci pour tout ton travail vraiment extraordinaire, à plus
Merci Franck et bonne journée à toi.
Salut Greg, j’ai finalement obtenu ce Panasonic PT-FRQ50 en prêt pour test (pas comme les tiens, juste pour moi bien sûr), et j’ai craqué car je suis conquis par les performances tant sur la précision d’image que sur l’ensemble des résultats à l’écran, au point de revendre mon ancien Panasonic PT-RZ470, C’EST DIRE !!! C’est un modèle de série qui date de janvier 2022 et je pense que les petits défauts dont tu parlais dans ton test sont résolus, du moins j’espère ? En tous cas, j’espère que tu pourras le re-tester prochainement car ce VP est vraiment fantastique et adaptable à n’importe quelle taille d’écran, même à mon minuscule 1,95m de base au format 2.40:1, à plus
Bonjour Franck et oui rien à voir avec un SXRD Sony même 4K natif, le chip DLP 0,65 est meilleur sur ce point.
Oui Greg, je constate que tu as suivi mes mésaventures avec le Sony VPL-VW870 ! Une cata à ce prix là, rien à voir effectivement avec un bon DLP, à plus
Ben oui, je savais mais j’ai d’abord été séduit par l’image, qui n’est pas dégueux quand même, je reste objectif, mais quand j’ai réalisé que par rapport à mon ex-Panasonic PT-RZ470, y’avait pas un gouffre non plus et que c’était cher payé pour cette “très petite nuance” qui n’en valait pas la peine, selon moi, j’ai vite chercher à le revendre et ça pas été facile, contrairement à ce que je croyais, vu “la bête” que c’était quand même… Bref, j’ai perdu des sous mais j’ai reçu une bonne leçon qui m’a fait définitivement passer du côté du DLP et j’oublie pour un moment les soi-disant 4K réels… la comparaison entre cette nouvelle puce TI et ce Sony 4K HDG est largement en faveur du Panasonic PT-FRQ50, encore merci Greg pour tes précieux conseils, que j’aurais dû écouter concernant les Sony, bien à toi
Bonne soirée Franck et profites bien de ton nouveau Panasonic.
Merci Greg, à plus
Hi everybody
Franck,
si je peux deux petites questions :
1. qu’en est il du bruit de fonctionnement qu’évoquait Greg
2.et de la panoplie logiciel qui l’accompagne ( ce qui est mis sur le site panasonic pourrait m’interesser mais je n’arrive pas à voir si c’est avec ou à acquérir en plus )
Merci à Greg au passage 🙂
Bonjour Stéphane. Je me permets de répondre puisque je le possède à présent, et je pense que c’est la version définitive (fabrication janvier 2022).
Le bruit est un point faible, et ce depuis toujours dans la série SolidShine de chez Panasonic. Celui que j’avais avant, le PT-RZ470, tout comme ce nouveau PT-FRQ50, sont bruyant, à n’en point douter. À 20% de sa capacité de luminosité, ce qui me suffit amplement vu mon écran riquiqui de 1,95m de largeur, il se fait déjà bien entendre. Pour ma part, ce n’est pas un problème, puisque j’ai une porte coulissante et une vitre entre le vidéo-projecteur et l’espace cinéma dans lequel je regarde mes programmes, donc “tranquille” ! Mais tout le reste est tellement bien ! Dans cette passion, il faut toujours de façon faire des compromis car aucune machine, aussi chère soit-elle, et je peux en témoigner avec ma récente déception avec un Sony VPL-VW870, ne sera parfaite, et il faut se fixer ses priorités… Si le bruit est ta priorité, alors oublies ce Panasonic PT-FRQ50, si tu ne peux pas aménager insonoriser son emplacement ?
Je vais tacher de faire des mesures en DB avec une application sur mon iPhone et je reviendrai les données ici, si Grégory est d’accord, à plus
Pardon, j’ai zappé ta 2e question. La panoplie de logiciel, selon moi, c’est plus pour un usage professionnel, notamment, si tu en utilises plusieurs de série pour une gestion plus aisée. Dans le cas d’un usage home-cinéma, ça n’a aucune utilité selon moi, ce d’autant que tu peux même régler jusqu’à la courbure de l’écran via le menu et la télécommande, sans nécessité d’un de ces logiciel ! À plus
Merci Franck
Pour Stéphane, j’ai fait une série de test “sonomètre” avec l’application DB X pour smartphone qui travaille avec le micro de l’iPhone 12 mini, donc aucune idée de savoir si c’est fiable et si ça équivaut à un vrai sonomètre ? J’ai placé le smartphone, juste en dessous de la tablette sur laquelle est placé le Panasonic PT-FRQ50, à environ 50cm. Les chiffres ne sont pas flatteur, mais n’ oublions pas que le Pana est issu du monde professionnel, donc ce n’est pas leur priorité :
– à 20% de puissance lumineuse (celle qui me suffit) +/- 39dB
– mode éco (80%) +/- 43dB
– mode silencieux (?) +/- 41dB
– pleine puissance +/- 44dB
Dans mon cas, ce n’est pas un problème puisque j’ai entre le VP et mon espace cinéma, une porte coulissante avec une isolation renforcée.
En vérité, la ventilation ne semble pas vraiment varier tant que ça entre la puissance minimale et la maximale, comme si le VP ventilait quasi tout le temps de la même manière ! Par contre, ce qui est sûr, c’est que VP est encore “froid” après 3 heures de fonctionnement (le max que j’ai testé jusqu’à présent), c’est tout dire de la réserve de puissance du Panasonic PT-FRQ50 !
Voilà, ces tests DB n’ont aucune valeur scientifique bien sûr, compte-tenu de comment je les ai réalisé, et n’ont rien de comparable avec ce que Gregory vous propose dans les siens, mais ça donne une idée, à plus
Pour Franck : Merci 🙂