Des projecteurs montés sur balancelle comme s'il en pleuvait ! Si vous regardez les 5 derniers articles publiés sur le blog mondoprojos, tous concernent des projecteurs Lifestyle (compacts à focale classique) montés sur des dispositifs de type balançoire. Epson, Hisense, JmGO et maintenant Xgimi, tous se sont engagés sur ce nouveau segment. Le constructeur chinois enrichit sa série Horizon, qui contenait déjà l'Ultra (1899€) et le Pro (1299€), de deux nouvelles références : le S Max à 1999€ (objet de ce nouveau banc d'essai) et le S Pro (1399€). Les deux nouveaux modèles de 2024 sont assemblés autour d'une nouvelle source lumineuse baptisée Dual Light 2.0, qui rassemble un système triple laser + LED. Sur l'Horizon S Max, vous bénéficiez même de la capacité de choisir entre l'utilisation du système hybride LED/triple laser ou bien de n'utiliser que les trois lasers. La première solution est la plus lumineuse, mais avec un gamut plus petit ; à l'inverse, l'offre triple laser rend des lumens au profit d'un espace colorimétrique plus large. C'est donc avec une grande curiosité et un intérêt de la même dimension que j'ai entamé mon examen de l'Horizon S Max.
Le Xgimi Horizon S Max se positionne comme l'un des modèles phares du fabricant, intégrant des technologies avancées pour offrir une expérience cinéma immersive à domicile. Il s'inscrit dans la lignée des vidéoprojecteurs Xgimi, avec un design monté sur balancelle, conférant une flexibilité d'installation dans divers environnements.
Au cœur de ce modèle se trouve la technologie Dual Light 2.0, qui combine les avantages des technologies LED et laser. Cette fusion permet d'obtenir des couleurs plus riches, un meilleur contraste, ainsi qu'une luminosité plus élevée et un effet speckle réduit. Le modèle offre un pic lumineux de 3 100 ISO lumens, ce qui représente une amélioration de 35 % par rapport à l'Horizon Ultra. En comparaison, son homologue, l'Horizon S Pro, se limite à une luminosité de 1 800 ISO lumens.
En termes de colorimétrie, l'Horizon S Max couvre jusqu'à 99 % de l'espace colorimétrique DCI-P3, garantissant une reproduction fidèle et précise des couleurs. Le Delta E inférieur à 1 confirme cette performance, indiquant que les écarts de couleur perçus par l'œil humain sont pratiquement imperceptibles (données constructeur bien évidemment, nous verrons ensemble dans la partie verdict technique ce qu'il en est vraiment).
Il bénéficie des certifications IMAX Enhanced et Dolby Vision, ce dernier offrant une gestion automatisée des couleurs et des contrastes. L'Horizon S Pro, lui, ne dispose que de la certification Dolby Vision, sans l'IMAX Enhanced.
Le nouveau Xgimi intègre également la technologie ISA 5.0 (Intelligent Screen Adaptation), une suite d’outils qui facilite l’installation et l’utilisation au quotidien. Elle inclut des fonctionnalités telles que la mise au point automatique, la correction du trapèze, l’évitement d’obstacles et l’alignement intelligent de l’image. Le support monté sur balancelle, avec un ajustement vertical allant jusqu’à 135 degrés, renforce la flexibilité d'installation.
Côté audio, l'Horizon S Max poursuit la collaboration entre Xgimi et Harman Kardon. Le projecteur est équipé de deux haut-parleurs de 12 W chacun. Les technologies audio DTS Virtual, DTS-HD et Dolby Audio sont également prises en charge. Cette configuration permet d’utiliser le projecteur comme un véritable centre multimédia autonome.
Il fonctionne sous Android TV 11.0, offrant ainsi un accès complet à Google Play et à ses milliers d’applications. Cette plateforme intuitive permet d’utiliser des services populaires tels que YouTube, Prime Video ou Disney+, et offre une compatibilité étendue avec les technologies Google Cast, Miracast et AirScreen pour la diffusion sans fil de contenu depuis différents appareils. Cependant, l'absence de compatibilité native avec Netflix persiste. Des solutions alternatives existent, comme l'installation d'APK non officielles, mais celles-ci ne permettent pas de bénéficier des contenus en 4K ou HDR.
Le Xgimi Horizon S Max arbore un design distinctif, prenant la forme d’un cube monté sur un dispositif de balancelle. Ce choix structurel non seulement ajoute une touche d’élégance, mais renforce également la stabilité de l'appareil. La prise d’alimentation est discrètement intégrée dans le pied circulaire, une solution pratique qui simplifie l'installation. De plus, un pas de vis situé sous le pied permet de fixer le projecteur au plafond pour une installation plus permanente.
Le bloc optique, avec un rapport de projection de 1,2:1, est entièrement motorisé pour la mise au point, offrant ainsi un ajustement précis et automatisé de l’image. Cependant, on peut regretter l’absence de zoom optique, une fonctionnalité pourtant disponible sur la version chinoise de ce modèle. Autre particularité, l’optique est décentrée et protégée par un cache amovible contrôlé électriquement, renforçant la sensation de robustesse et de qualité premium.
Ses dimensions compactes (234 x 273 x 310 mm), associées à un poids de 4,8 kg, permettent de le déplacer facilement. Ce projecteur DLP est équipé d'une puce DMD 0,47", capable d’émuler une résolution 4K à partir d’une résolution native Full HD. Il est compatible avec les formats HDR10, HLG, Dolby Vision, et prend en charge les signaux 3D, bien que les lunettes DLP Link soient à acheter séparément.
À l’arrière de l’appareil, la connectique est complète avec une prise HDMI 2.0 eARC et deux ports USB. Pour la connectivité sans fil, il intègre le WiFi ainsi que le Bluetooth 5.1. La télécommande Xgimi, fonctionnant via Bluetooth, se révèle intuitive bien que dépourvue d’éclairage intégré, ce qui peut poser problème en usage nocturne. Un détail à noter concerne le bloc d’alimentation externe, relativement imposant, qu’il faudra prendre en compte lors de l’installation pour éviter tout désagrément en matière d’espace.
L'interface du Xgimi Horizon S Max est animée par Android TV 11. Les utilisateurs peuvent accéder facilement à une vaste gamme d’applications populaires comme YouTube, Prime Video et Disney+, transformant le projecteur en un véritable centre multimédia. Une fonctionnalité particulièrement intéressante est l’application "XGIMI Wall", qui permet de transformer n’importe quel mur en une galerie d’art numérique ou en un fond d’ambiance visuel, créant ainsi une atmosphère unique dans votre espace.
Les menus de réglages, accessibles via une icône de roue crantée, offrent plusieurs modes d’image adaptés à différents types de contenu. Parmi ces modes, on retrouve "standard", "film", "sport", "brillant", "doux" et "puissance élevée". Ces préréglages permettent une adaptation rapide de l’image en fonction du type de programme regardé. Toutefois, c’est en mode "personnalisé" que le projecteur dévoile toute l’étendue de ses options de réglages avancées. Dans ce mode, l’utilisateur peut ajuster finement le contraste dynamique, la gestion du HDR et bien plus encore, permettant d’obtenir une qualité d’image sur mesure selon ses préférences.
Une particularité du Xgimi Horizon S Max est la possibilité, à l’allumage, de choisir le type de source lumineuse à utiliser. Le projecteur propose deux options avec sa technologie Dual Light 2.0 : soit une combinaison hybride LED + triple laser, soit l’utilisation du triple laser seul. Ce dernier mode permet d'atteindre le plus large spectre de couleurs possible, mais avec une luminosité légèrement réduite et des modes d’image restreints.
Le projecteur détecte automatiquement les signaux HDR10, HLG et Dolby Vision, et ouvre des menus spécifiques dès qu’il identifie ces types de sources. Côté colorimétrie, il propose un ensemble d’options particulièrement complet. L’utilisateur peut sélectionner parmi trois gamuts de couleurs (BT.2020, DCI-P3, Rec.709). L’appareil dispose également d’une échelle de gris réglable sur 1 ou 2 points, permettant d’ajuster la balance des blancs de manière précise, ainsi qu’un système de gestion des couleurs (CMS) pour affiner chaque teinte.
L'interpolation d'images (MEMC) est disponible sur sources SDR et HDR avec trois niveaux d’intervention (faible, moyen, fort), et un iris mécanique, ajustable de 1 à 10, permet de contrôler la puissance lumineuse. Un mode "boost" est aussi accessible pour augmenter temporairement la luminosité. En complément de l'iris mécanique, Xgimi offre une option d'iris dynamique qui va ajuster la luminosité de l'image en fonction de son contenu (image sombre, iris plus fermé ; image lumineuse, iris plus ouvert). Ce dispositif fonctionne en temps réel (contraste dynamique).
Bruit de fonctionnement et qualité du système sonore intégré :
Il n'y a rien de plus énervant quand on profite de son film que d'être dérangé par le bruit du système de refroidissement du projecteur. Ça, Xgimi l’a bien compris, car la discrétion était déjà la signature audio du modèle UST Aura 2, récemment testé. Dans ma salle de test, projecteur éteint, la résiduelle de bruit s’élevait à 35,5 dB. Après allumage de l'Horizon S Max, la variation de bruit ne s'est élevée qu'à 0,3 dB ! Cette différence est anecdotique et ce modèle entre dans la catégorie des projecteurs les plus discrets qu'il m'ait été donné de tester.
Je suis plus réservé sur le rendu sonore du système Harman Kardon. Avec ses 2x12W, il peine à me convaincre, souffrant d'un manque de dynamisme et d'amplitude. Il peut servir de dispositif transitoire au coup par coup, mais je recommande plutôt une barre de son externe ou un dispositif ampli/enceintes de qualité.
Consommation électrique :
En mode Dual Light 2.0, le projecteur a eu besoin de 130,2W pour reproduire une mire totalement blanche à iris 1. Si vous sélectionnez la fonction triple laser seule, les besoins en électricité se réduisent à 78,5W dans les mêmes conditions. Compte tenu de la luminosité de ce modèle (voir la partie contraste et luminosité), on peut qualifier d’oiseau l'appétit du nouveau venu !
Piqué et précision de l'image :
La signature visuelle de Xgimi est bien présente (trop). Avec un réglage de netteté positionné à +50, c'est le festival des doubles contours et des artefacts désagréables à l'écran. Il faut impérativement l'abaisser à moins de 20. L'autre souci, c'est l'imprécision obtenue sur les contours des lettres et les traces d'aberrations chromatiques, comme vous pouvez le constater sur l'image ci-dessous.
Une fois le projecteur chaud, il n'y a pas de perte de focus, ce qui est plutôt un bon point. Mais globalement, la précision, le lissé et la netteté native ne sont pas la force de ce Xgimi. D'autant qu'il faut rajouter en facteur aggravant un grain vidéo très présent à l'image (voir ci-dessus sur cet extrait de Heat version 4K). L'effet est moins marqué avec le mode Dual Light, mais malgré tout gênant.
Fluidité :
Encore un mauvais point : le judder est très présent (conversion des signaux entrants en 60hz) sans activer l'interpolation d'images, et tous les niveaux de l’aide à la fluidité produisent des artefacts de bougé (des espèces de halos qui entourent les objets et les personnes en mouvement). Entre deux maux, il faudra choisir le plus supportable pour vous.
Input lag :
Dans le menu personnalisé, on trouve une option dénommée mode jeu. Elle fonctionne sur deux niveaux : « Faible latence » et « Ultra faible latence ». Elle permet d'abaisser le niveau de retard à l'affichage, qui est de 124 ms sans intervention, à 18,1 ms sur signal UHD à 60hz. Dans ces conditions, en étant bien en dessous des 50 ms, ce nouveau Xgimi est taillé pour la restitution sur très grand écran de parties de jeux en réseau.
Overscan et bordure grise entourant l'image utile (défaut des puces DMD 0,47) :
L'affichage d'une mire d'overscan 4K permet de constater qu'aucun élément ne manque. Le traitement vidéo du projecteur n'applique aucune coupure sur les bords. Avec cette damnée puce DMD 0,47, je relève la présence plus claire de deux centimètres de large. Elle est générée par une partie de micro-miroirs inactifs qui entoure l'image « utile ».
Colorimétrie :
L'Horizon S Max m'a donné le double de travail en raison de l'existence des deux sources lumineuses. J'ai donc mesuré et calibré la source Dual Light 2.0 (hybride triple laser/LED), suivie de la version triple laser seule.
Concernant l'espace colorimétrique, aucune des deux versions n'atteint la couverture de 110% des références BT.2020. C'est l'option triple laser qui s'en sort le mieux avec 90,8% pour BT.2020 et 99,79% du DCI-P3. Avec Dual Light 2.0, il faudra se contenter de 78,17% du BT.2020 et 94,58% du DCI-P3. Quel que soit le mode sélectionné, je recommande de viser plutôt l'espace colorimétrique DCI-P3 en vue d'un calibrage.
À propos de calibrage, toujours d'après la communication de la marque, ce projecteur devrait arriver dès la sortie de boîte avec un écart Delta E inférieur à 1 ! Ce qui pose déjà une question fondamentale au calibreur que je suis : « De quel Delta E est-il question ? Échelle de gris, color checker, saturations ? ». Mais après mesures, quel que soit le domaine évoqué, aucun des modes usine n'atteint un écart Delta E de 1, ni de 3. Cette caractéristique est valable aussi bien en source Dual Light 2.0 que pour la version triple laser. Vous ne couperez pas à la case calibrage si vous envisagez d'acquérir ce modèle et de l'utiliser avec des couleurs correctes.
Au passage, je salue les menus nombreux et complets présents dans la partie « image », mais certaines options sont inutiles, voire contre-productives dans leurs effets. Comme par exemple la sélection « couleurs professionnelles », qui laisse sous-entendre que l'activation de cette sélection permettrait d'obtenir le Graal d'un Delta E inférieur à 1 uniquement en sélectionnant cette option. Il n'en est rien.
Dans ces conditions, et en m'appuyant sur du matériel de mesure adapté (spectrophotomètre Jeti 1501 Hi Res avec établissement d'un profil pour un colorimètre Klein K10A sur un écran blanc de référence Gain 1), j'ai pu calibrer et obtenir un écart Delta E inférieur à 1 pour l'échelle de gris et 1,2 pour le Color Checker avec une température de couleurs de 6601K et un Gamma à 2,16 (compliqué à obtenir le Gamma à 2,2 avec ce modèle en Dual Light 2.0).
Pour le mode triple laser, je suis parti d'une cible Gamma 2.4 (salle dédiée) pour obtenir une température de couleurs de 6598K avec un écart Delta E réduit à 0,7 pour l'échelle de gris et 1,2 pour le Color Checker. Dans les deux cas, de très bons résultats.
Si vous ne pouvez pas faire calibrer votre projecteur, il vous reste la solution de choisir la sélection « Film », qui propose une température de couleurs de 6325K (un peu trop chaude), avec un écart Delta E de 3,2 pour l'échelle de gris et un Gamma de 2,12. Le Color Checker, lui, n'est pas dans les clous avec un écart Delta E de 6, mais c'est la configuration la plus homogène en sortie de boîte. Attention, cette remarque ne vaut que pour la source lumineuse Dual Light. Avec la source triple laser, les niveaux d'erreur sont plus marqués dans le mode "film".
Gestion HDR et Dolby Vision :
À la détection des sources HDR10, le projecteur se place automatiquement dans le mode IMAX ENHANCED. Si cela a un effet bénéfique sur la gestion de l'EOTF (le Gamma HDR), en revanche, au niveau des couleurs, c'est le bazar. Il est possible de désactiver l'IMAX ENHANCED, mais alors un important clipping apparaît dès les encodages à 600 nits. En revanche, les couleurs redeviennent naturelles. Je pense que c'est un bug qui, je l'espère, sera corrigé.
Le véritable motif de satisfaction vient de la restitution des sources Dolby Vision, qui offre non seulement une gestion entièrement automatisée avec le bon niveau de contraste et de luminosité à appliquer, mais aussi avec des couleurs bien ajustées sans intervention extérieure.
Contraste et luminosité :
Le constructeur annonce 3 100 ISO lumens, j'ai mesuré 3 278 lumens au plus haut dans le mode « Puissance élevée », mais avec une image toute verdâtre. Après calibrage du mode Dual Light, il reste 1 788 lumens, ce qui permet de conserver une luminance de 26 fL en SDR avec une base d'écran de 4m29 et 26 fL en HDR avec 3m37. Ce petit cube monté sur une balancelle a des lumens en réserve, et les grandes bases d'image ne lui font pas peur !
Le passage en triple laser implique une perte notable de puissance avec 1 238 lumens restants.
Pour les deux sources lumineuses, le contraste reste très proche, aux environs de 1 000:1 natif après calibrage et 1 500:1 dynamique avec utilisation de l'iris dynamique. Les deux options de contraste dynamique (hors iris) présentes dans les menus n'ont aucun impact sur mes mesures.
Il est bon de se rappeler que le modèle précédent (Horizon Ultra) avait un contraste natif de 450:1. Avec 1 000:1, le progrès est notable, mais il reste quand même des progrès à faire, car le niveau de noir à 0,313 cd/m² reste moyen.
Lorsque j’ai plongé dans le passage du jardin entre l’empereur et sa fille dans Dune 2 (SDR 1080p), j’ai été frappé par la richesse des couleurs après calibrage. Les tons naturels des vêtements et de la végétation ressortaient avec une profondeur saisissante, une palette qui semblait parfaitement équilibrée. Cependant, j'ai remarqué un bruit d'image en arrière-plan, surtout dans les zones sombres. Cela m’a quelque peu sorti de l’immersion, bien que la netteté globale des premiers plans compensait cette légère imperfection.
Avec Heat en 4K HDR, j’ai été particulièrement attentif à la célèbre scène d’entretien entre Robert De Niro et Al Pacino, un moment sombre et intense. La restitution des couleurs et des tons chair était impeccable, rendant hommage à l’atmosphère sombre de la scène. Les contrastes étaient bien gérés, mais je n’ai pu m’empêcher de remarquer le grain qui persistait dans l’image.
C’est avec Aliens en 4K HDR que j’ai réellement pris la pleine mesure des capacités du Xgimi Horizon S Max. La scène d’exploration de la base Hadley’s Hope par les marines était d’une précision remarquable. Ce nouveau master m’a offert la meilleure expérience visuelle que j’aie eue avec ce projecteur. L'image affichait un lissé impeccable des textures, notamment dans les environnements métalliques et sombres de la base. Le rendu des détails était tout simplement impressionnant, rendant cette scène immersive.
Avec de très bons masters, l'Horizon S Max est capable d'impressionner les spectateurs, mais j’aurais apprécié que ce soit le cas de manière générale sur la plupart des sources, apanage des bons projecteurs.
À l'issue de ce test, le bureau de vérifications de mondoprojos a pu vérifier et corroborer certains des arguments publicitaires mis en avant par la marque pour son nouveau modèle. Je confirme donc que les 3 100 lumens annoncés sont bien là (même s'ils sont inutilisables pour visionner un film ou une série), ils vont même légèrement plus loin que les annonces du constructeur.
En revanche, une colorimétrie avec un écart Delta E inférieur à 1, un contraste dynamique de 1 000 000:1 et une couverture de l'espace colorimétrique BT.2020 à 110% appartiennent aux domaines des chimères et du monde merveilleux du marketing. Il est possible d'obtenir un écart Delta E inférieur à 1 avec le Xgimi Horizon S Max, mais pour cela, il faudra faire appel à un professionnel du calibrage. Cela ne vous sera pas servi tout chaud dès la sortie de boîte par le fabricant.
À l'issue de mes différents tests, mon enthousiasme s'est estompé. Les éléments qui m'ont plu sont la discrétion de fonctionnement, la puissance lumineuse et les besoins en énergie limités, la colorimétrie après mes calibrages, le contraste en progrès, et surtout le rendu Dolby Vision. Ces éléments plus que positifs sont ternis par l’aspect globalement granuleux de l'image et par une précision qui pourrait être meilleure. La gestion HDR souffre de défauts qui rendent son utilisation problématique. Et enfin, quand Xgimi va-t-il enfin nous intégrer Netflix en natif ? D'autres y arrivent très bien.
C'est cet équilibre entre avantages et inconvénients qui m'incite à ne pas délivrer d'Award à ce nouveau projecteur Lifestyle sur balancelle.
J'ai apprécié :
Je regrette :
Projectors mounted on swings as if they were raining down! If you look at the last 5 articles published on the mondoprojos blog, they all deal with Lifestyle projectors (compact with standard throw) mounted on swing-type devices. Epson, Hisense, JmGO, and now Xgimi have all entered this new segment. The Chinese manufacturer is expanding its Horizon series, which already included the Ultra (1899€) and the Pro (1299€), with two new models: the S Max at 1999€ (the subject of this new review) and the S Pro (1399€). The two new models for 2024 are built around a new light source called Dual Light 2.0, which combines a triple laser + LED system. On the Horizon S Max, you even have the ability to choose between using the hybrid LED/triple laser system or only using the three lasers. The first solution is the brightest, but with a smaller gamut, whereas the triple laser option sacrifices some brightness for a wider color gamut. I approached my review of the Horizon S Max with great curiosity and equal interest.
The Xgimi Horizon S Max positions itself as one of the flagship models from the manufacturer, incorporating advanced technologies to offer an immersive home cinema experience. It follows the line of Xgimi projectors, with a swing-mounted design providing flexible installation in various environments.
At the core of this model is the Dual Light 2.0 technology, which combines the advantages of both LED and laser technologies. This fusion enables richer colors, better contrast, higher brightness, and reduced speckle effect. The model offers a peak brightness of 3,100 ISO lumens, a 35% improvement over the Horizon Ultra. By comparison, its counterpart, the Horizon S Pro, is limited to 1,800 ISO lumens.
In terms of colorimetry, the Horizon S Max covers up to 99% of the DCI-P3 color space, ensuring faithful and precise color reproduction. The Delta E of less than 1 confirms this performance, indicating that color differences perceived by the human eye are virtually imperceptible (manufacturer’s data, of course; we’ll see in the technical verdict section what the reality is).
The Horizon S Max is certified IMAX Enhanced and Dolby Vision, with the latter offering automated color and contrast management. The Horizon S Pro, on the other hand, only has Dolby Vision certification, without IMAX Enhanced.
Xgimi also includes ISA 5.0 (Intelligent Screen Adaptation) technology, a suite of tools that make installation and daily use easier. It includes features such as autofocus, keystone correction, obstacle avoidance, and intelligent image alignment. The swing-mounted stand, with a vertical adjustment of up to 135 degrees, enhances installation flexibility.
On the audio side, the Horizon S Max continues Xgimi's collaboration with Harman Kardon. The projector is equipped with two 12W speakers. Audio technologies such as DTS Virtual, DTS-HD, and Dolby Audio are also supported. This setup allows the projector to be used as a standalone multimedia center.
The Horizon S Max runs on Android TV 11.0, providing full access to Google Play and its thousands of apps. This intuitive platform allows you to use popular services such as YouTube, Prime Video, and Disney+, and offers broad compatibility with Google Cast, Miracast, and AirScreen technologies for wireless content streaming from various devices. However, the lack of native Netflix support remains. Alternative solutions exist, such as installing unofficial APKs, but these do not allow access to 4K or HDR content.
The Xgimi Horizon S Max boasts a distinctive design, shaped like a cube mounted on a swing-style stand. This structural choice not only adds a touch of elegance but also enhances the device's stability. The power socket is discreetly integrated into the circular base, a practical solution that simplifies installation. Additionally, a screw mount under the base allows the projector to be ceiling-mounted for a more permanent setup.
The optical block, with a 1.2:1 throw ratio, is fully motorized for focusing, offering precise and automated image adjustment. However, one may regret the absence of optical zoom, a feature available on the Chinese version of this model. Another feature is the offset lens, protected by an electrically controlled removable cover, which reinforces the feeling of sturdiness and premium quality.
Its compact dimensions (234 x 273 x 310 mm), combined with a weight of 4.8 kg, make it easy to move around. This DLP projector is equipped with a 0.47" DMD chip, capable of emulating 4K resolution from a native Full HD resolution. It supports HDR10, HLG, Dolby Vision formats, and 3D signals, though DLP Link glasses must be purchased separately.
At the back of the device, connectivity is comprehensive, with an HDMI 2.0 eARC port and two USB ports. For wireless connectivity, it features Wi-Fi and Bluetooth 5.1. The Xgimi remote, operating via Bluetooth, is intuitive though lacking integrated backlighting, which could be problematic for nighttime use. A noteworthy detail is the relatively bulky external power brick, which should be considered when installing the projector to avoid space issues.
The interface of the Xgimi Horizon S Max runs on Android TV 11. Users can easily access a wide range of popular apps like YouTube, Prime Video, and Disney+, transforming the projector into a true multimedia hub. One particularly interesting feature is the "XGIMI Wall" app, which allows any wall to be transformed into a digital art gallery or visual ambient background, creating a unique atmosphere in your space.
The settings menus, accessible via a gear icon, offer several image modes tailored to different types of content. Among these modes, you'll find "standard," "film," "sport," "bright," "soft," and "high power." These presets allow for quick image adaptation depending on the type of program being viewed. However, it is in the "custom" mode that the projector reveals its full range of advanced settings. In this mode, users can fine-tune dynamic contrast, HDR management, and much more, allowing for a custom-made image quality according to their preferences.
A particular feature of the Xgimi Horizon S Max is the ability, upon startup, to choose the type of light source to use. The projector offers two options with its Dual Light 2.0 technology: either a hybrid LED + triple laser combination or the triple laser alone. This latter mode allows for the widest color spectrum possible but with slightly reduced brightness and restricted image modes.
The projector automatically detects HDR10, HLG, and Dolby Vision signals and opens specific menus as soon as it identifies these types of sources. In terms of colorimetry, the Xgimi Horizon S Max offers a particularly comprehensive set of options. Users can choose from three color gamuts (BT.2020, DCI-P3, Rec.709). The device also has a grayscale scale adjustable on 1 or 2 points, allowing for precise white balance adjustment, as well as a color management system (CMS) to refine each hue.
Image interpolation (MEMC) is available on both SDR and HDR sources, with three levels of intervention (low, medium, high), and a mechanical iris, adjustable from 1 to 10, allows for control over light output. A "boost" mode is also available for temporarily increasing brightness. In addition to the mechanical iris, Xgimi offers a dynamic iris option that adjusts image brightness in real-time based on its content (closed iris for darker scenes, open iris for brighter ones). This system works in real-time (dynamic contrast).
Noise levels and sound system quality :
Nothing is more annoying than being disturbed by the cooling system noise of a projector while enjoying a movie. Xgimi clearly understands this, as noise reduction was already a hallmark of the UST Aura 2 model I recently tested. In my test room, with the projector off, the residual noise level was 35.5 dB. After turning on the Horizon S Max, the noise level only increased by 0.3 dB! This difference is negligible, and this model ranks among the quietest projectors I've ever tested.
I'm more reserved about the audio performance of the Harman Kardon system. With its 2x12W speakers, it struggles to convince me, lacking dynamism and depth. It may serve as a temporary solution, but I would recommend an external soundbar or a quality amplifier/speaker system instead.
Power consumption :
In Dual Light 2.0 mode, the projector required 130.2W to reproduce a completely white test pattern at iris 1. If you select the triple laser-only function, power consumption drops to 78.5W under the same conditions. Given the brightness of this model (see the contrast and brightness section), we can say the newcomer is quite energy-efficient!
Sharpness and image accuracy :
Xgimi’s visual signature is very present (too much so). With the sharpness setting at +50, it’s a festival of double edges and unpleasant artifacts on the screen. It’s essential to lower it to less than 20. Another issue is the lack of precision around letter edges and chromatic aberrations, as seen in the image below.
Once the projector is warmed up, there is no focus loss, which is a good point. However, overall sharpness, smoothness, and native clarity are not this Xgimi's strengths. Additionally, a heavy video grain is also quite noticeable in the image (see the example from Heat in 4K above). The effect is less pronounced in Dual Light mode but still bothersome.
Smoothness :
Another negative point: judder is very present without image interpolation, and all levels of motion smoothing create motion artifacts (halos around moving objects and people). Between these two issues, you’ll have to choose the lesser evil for you.
Input lag :
In the custom menu, there is an option called game mode. It works on two levels: "Low latency" and "Ultra-low latency." It reduces display lag from 124 ms without intervention to 18.1 ms on UHD signal at 60hz. In these conditions, being well below 50 ms, this new Xgimi is designed for large-screen network gaming.
Overscan and gray border around the active image (DMD 0.47 chip issue) :
Displaying a 4K overscan test pattern shows no missing elements, as the projector’s video processing applies no edge clipping. However, with this darn 0.47" DMD chip, I note a clearer border about two centimeters wide, generated by a band of inactive micro-mirrors surrounding the "active" image.
Colorimetry :
The Horizon S Max gave me twice the work due to the existence of the two light sources. I measured and calibrated the Dual Light 2.0 source (hybrid triple laser/LED) followed by the triple laser-only version.
Regarding the color gamut, neither version reaches the 110% BT.2020 coverage. The triple laser option performs best with 90.8% BT.2020 and 99.79% DCI-P3 coverage. With Dual Light 2.0, you’ll have to settle for 78.17% of BT.2020 and 94.58% of DCI-P3. Whichever mode you choose, I recommend aiming for the DCI-P3 color space when calibrating.
As for calibration, according to the manufacturer’s communication, this projector should come out of the box with a Delta E of less than 1! This raises a fundamental question for the calibrator I am: "Which Delta E are we talking about? Grayscale, color checker, saturations?" But after measurements, regardless of the area tested, none of the factory modes achieve a Delta E of 1, or even 3. This applies to both the Dual Light 2.0 source and the triple laser version. You won’t avoid calibration if you intend to use this model with accurate colors.
I applaud the many and comprehensive image settings menus, but some options are useless or even counterproductive. For instance, the "professional colors" selection suggests that enabling this option would miraculously deliver a Delta E below 1. This is not the case.
With the right measurement tools (Jeti 1501 Hi Res spectrophotometer with a profile established for a Klein K10A colorimeter on a Gain 1 reference white screen), I was able to calibrate and achieve a Delta E of less than 1 for the grayscale and 1.2 for the Color Checker with a color temperature of 6601K and a Gamma of 2.16 (difficult to achieve Gamma 2.2 with this model in Dual Light 2.0 mode).
For the triple laser mode, I aimed for a Gamma target of 2.4 (dedicated room) and achieved a color temperature of 6598K with a Delta E of 0.7 for the grayscale and 1.2 for the Color Checker. In both cases, very good results.
If you can’t have your projector calibrated, your best bet is to select the "Film" mode, which offers a color temperature of 6325K (slightly too warm), with a Delta E of 3.2 for the grayscale and a Gamma of 2.12. The Color Checker, however, falls short with a Delta E of 6, but it’s the most consistent out-of-the-box configuration. Note that this applies only to the Dual Light source. With the triple laser source, error levels are more pronounced in Film mode.
HDR and Dolby Vision management :
Upon detecting HDR10 sources, the projector automatically switches to IMAX Enhanced mode. While this has a beneficial effect on EOTF (HDR Gamma) management, the color accuracy is a mess. It’s possible to disable IMAX Enhanced, but then significant clipping occurs at encodings of 600 nits. However, colors return to their natural state. I believe this is a bug that I hope will be fixed.
The real satisfaction comes from the rendering of Dolby Vision sources, which not only offers fully automated management with the correct contrast and brightness levels but also well-adjusted colors without external intervention.
Contrast and brightness :
The manufacturer claims 3,100 ISO lumens, but I measured 3,278 lumens at maximum in "High Power" mode, though with a very greenish image. After calibrating the Dual Light mode, there were 1,788 lumens left, which allows for 26 fL luminance in SDR with a 4.29m-wide screen and 26 fL in HDR with a 3.37m-wide screen. This little cube on a swing stand has plenty of lumens in reserve, and large screen sizes don't intimidate it!
Switching to triple laser mode results in a significant power loss, leaving only 1,238 lumens.
For both light sources, contrast remains very similar, around 1,000:1 native after calibration and 1,500:1 dynamic with the use of the dynamic iris. The two dynamic contrast options (outside of the iris) available in the menus had no impact on my measurements.
It's worth noting that the previous model (Horizon Ultra) had a native contrast ratio of 450:1. At 1,000:1, the improvement is significant, but there is still progress to be made, as the black level of 0.313 cd/m² is still average.
When I dove into the garden scene between the emperor and his daughter in Dune 2 (SDR 1080p), I was struck by the richness of the colors after calibration. The natural tones of the clothing and the vegetation stood out with remarkable depth, a palette that seemed perfectly balanced. However, I noticed some noise in the background, especially in the dark areas. This somewhat broke the immersion, although the overall sharpness of the foreground made up for this slight imperfection.
In Heat in 4K HDR, I paid particular attention to the famous conversation scene between Robert De Niro and Al Pacino, a dark and intense moment. The rendering of colors and skin tones was impeccable, honoring the dark atmosphere of the scene. The contrasts were well-managed, but I couldn't help but notice the grain that persisted in the image.
It was with Aliens in 4K HDR that I truly realized the full capabilities of the Xgimi Horizon S Max. The scene where the marines explore Hadley’s Hope was remarkably sharp. This new master offered me the best visual experience I’ve had with this projector. The image was impeccably smooth, especially in the metallic and dark environments of the base. The level of detail was simply impressive, making the scene incredibly immersive.
With high-quality masters, the Horizon S Max is capable of impressing viewers, but I would have liked this to be the case more generally across most sources, as one expects from good projectors.
At the end of this test, the verification department at mondoprojos was able to confirm and corroborate some of the advertising claims made by the brand for its new model. I can confirm that the claimed 3,100 lumens are indeed present (though they are unusable for watching a movie or series), and they even slightly exceed the manufacturer’s claims.
However, promises of a colorimetry with a Delta E under 1, a dynamic contrast ratio of 1,000,000:1, and a BT.2020 color space coverage of 110% belong to the realm of fantasy and marketing hype. It is possible to achieve a Delta E below 1 with the Xgimi Horizon S Max, but for that, you will need to hire a professional calibrator. You won’t get this straight out of the box from the manufacturer.
After my various tests, my enthusiasm waned. The elements that impressed me include its quiet operation, high brightness, low energy consumption, good colorimetry after calibration, improved contrast, and especially the Dolby Vision rendering. These highly positive points are overshadowed by the overall graininess of the image and a sharpness that could be better. HDR management has flaws that make its use problematic. And finally, when will Xgimi finally integrate Netflix natively? Other brands manage it just fine.
It is this balance of pros and cons that prevents me from awarding this new swing-mounted Lifestyle projector.
What I liked :
What I regret :
22 Commentaire(s)
Bonsoir Grégory et merci pour ce nouveau test toujours aussi détaillé.
J’attendais ce modèle avec impatience et le résultat est malheureusement assez décevant.
Pensez-vous que les problèmes évoqués puissent être atténués par une MAJ logicielle ?
Dernière chose, Hisense avait présenté un C1 Pro fin 2023 puis au CES 2024. Compte-tenu de la sortie du C2, savez-vous si ce C1 Pro a une chance de sortir un jour en Europe ?
Merci encore et bravo pour tous ces tests qui font de votre site une vrai référence dans le domaine.
Merci infiniment. Malheureusement on ne peut souhaiter une mise à jour qui pourrait appliquer un tel Delta E sinon ça aurait été déjà fait.
J’attends ce projecteur depuis la sortie de l’ancien et finalement ce ne sera pas encore pour cette fois. Voir pire je pourrais envisager un aura 2 par exemple ou m’attarder sur quelques chose de bien moin coûteux le temps.
J’apprécie que vous rappeliez le faible contraste de 400 pour l’ancien tout comme la perte de lumens pour le nouveau des lors on commence a calibrer.
Vous êtes là référence absolue. Je regarderais davantage a présent les test des hisense ou BenQ a défaut de pouvoir espérer du Sony
Bonjour,
Merci beaucoup pour votre test ! Je suis aussi assez déçu… Mais, dans sa catégorie de prix, auriez vous mieux à conseiller ?
De même, si l’on hésite entre ce modèle et l’Aura 2 que vous avez aussi testé, lequel conseillez vous ? Le Aura 2 semble avoir une moins bonne luminosité non ?
Merci beaucoup !
Léo
Bonjour, la luminosité seule ne doit pas être un critère de choix. Il faut déjà qu’elle corresponde à la taille de votre écran. Pour un modèle home cinéma il faut un équilibre entre luminosité/contraste niveau de noir/colorimétrie/netteté et fluidité.
Le Dangbei DBX02 (Mars pro 2) malgré son contraste inférieur à celui du Xgimi offre une bien meilleure image globale que celle du Xgimi et il est à moins de 1600€.
Mais le Dangbei DBX02 ne semble pas compatible Dolby Vision. Du coup quel modèle recommanderiez vous supportant ce format ?
Hisense C2 Ultra ou le Pro qui est moins cher, ou encore le C1.
Et bien j’attendais impatiemment ce test je suis dubitatif du coup sur le choix de ce projecteur a moins que Grégory ne soit trop pointu sur ses exigences visuelles.
Je vais aller voir un demo au salon so. Video a paris pour me faire une idée mais je fais confiance à l’analyse de ce test. La question est de savoir si l’on peut attendre davantage d’un projecteur à ce prix…
Merci pour ce test complet.
Bonjour
Que faites-vous après du Xgimi Horizon S Max le revende-vous
Merci pour tous vos test qui nous éclairent.
Non c’était un prêt.
Salut à tous
Pouvez-vous me communiquer le site sur lequel vous l’avez acheté. Je ne le trouve qu’en pré-commande.
Merci à vous
“l’aspect globalement granuleux de l’image”
Au secours !!!!
Moui, c’est très décevant et je ne m’y attendais pas. J’étais prêt à l’acheter mais après avoir lu ce test complet, j’ai précommandé ce matin un Hisense C2 Ultra… Byebye Xgimi!
Bonsoir,
Merci pour ton test et comme pour les autres commentaires…. C’est une déception de lire le résultat de tes tests.
Dommages encore une fois, j’irai voir ailleurs si le projo est meilleur…
Et puis marre de cet histoire de non certification pour Netflix… Déjà vécu cela avec mon Mogo Pro..
Merci pour ce test Grégory, toujours un plaisir à lire. Allez au suivant 😉
Calchakis,
Déception de lire les résultats des tests de Greg quand on attend la nouvelle perle rare certes, mais un miracle de bénéficier de l’intransigeance de Greg pour faire notre choix ! 😉
Bonjour,
Merci pour ce test très instructif !
Mais je me pose une question pratico-pratique: si je veux utiliser ce projo en regardant netflix et bénéficier du son sur ma Sonos Beam, comment je fais ?
En effet, disons que je branche un Chromecast ou un Apple TV sur la seule prise HDMI, comment je fais pour brancher la Sonos en eARC ?
Après je peux mettre un spliter .. mais ca fait beaucoup de câble !
Ou alors la Beam sur le projo en HDMI et on diffuse depuis en Airplay depuis un smartphone ?
Après vos articles sur les écrans SLR, un petit article sur vos techniques d’installation serait parfait !
… et continuez, j’adore votre site !
La solution avec la sonos c’est un boîtier HD FURY ARCANA.
Il y a quand même des sacrés questions à se poser sur la véracité de l’argumentation marketing. Comment ce projecteur peut-il être certifié IMAX avec une telle qualité d’image ?
Assez décevant ce manque de véritable nouveauté chez Xgimi. Certes ils font évoluer leurs modèles petit à petit génération après génération mais honnêtement se traîner encore des puces XPR en 2024 c’est frustrant quand on sait que la 4K native en LCD est accessible :-/
Excellent test et je suis refroidi par le test. J’en attendais beaucoup. Par rapport au Formovie X5, lequel vous me conseillez ? Merci
Bonjour, c’est simple, le Formovie X5 à un Gold Award et l’Horizon S Max un silver Award.