Test du Leica Cine Play 1 : Le projecteur Lifestyle qui redéfinit l’excellence

Le Leica Cine Play 1, que je teste aujourd’hui, est le premier vidéoprojecteur de type Lifestyle proposé par la célèbre marque allemande, surtout connue pour son expertise dans le domaine de la photographie. Ce n’est toutefois pas sa première incursion dans l’univers de la vidéoprojection. Leica avait déjà collaboré avec Hisense pour concevoir un vidéoprojecteur trichroma qui, malgré des qualités indéniables, n’a connu qu’une diffusion limitée à cause d’un prix de vente beaucoup trop élevé.

Avec le Cine Play 1, Leica revient avec une proposition plus accessible, tout en reprenant les bases techniques du C2 Ultra, un modèle que j’ai déjà récompensé d’un double Gold Award sur le blog. Cependant, des différences notables les distinguent. Le Cine Play 1 offre un niveau d’assemblage et une qualité de fabrication supérieurs, tout en intégrant un bloc optique signé Leica, véritable atout majeur de cet appareil. À près de 3600 €, son tarif est bien plus élevé que celui du C2 Ultra. Mais ces euros supplémentaires sont-ils justifiés ? C’est ce que je vais examiner avec vous dans ce test.

De quoi s'agit-il ?

Le Leica Cine Play 1 est un vidéoprojecteur conçu en partenariat avec Hisense, reprenant plusieurs éléments techniques du modèle Hisense C2 Ultra tout en se différenciant par des choix esthétiques et technologiques spécifiques. Installé dans un châssis cubique et monté sur un pied balancelle élégant, il se distingue surtout par l’intégration d’une optique asphérique hautes performances en verre, fruit du savoir-faire historique de Leica dans le domaine de la photographie.

Test Leica CINE PLAY 1
LEICA CINE PLAY 1

L’appareil bénéficie également du traitement d’image exclusif Leica Image Optimization (LIO), une technologie développée à partir des décennies d’expertise de cette marque en matière d’optimisation d’images numériques. Ce traitement garantit des images précises, naturelles et adaptées aux exigences des contenus modernes, qu’il s’agisse de films ou de jeux vidéo.

Côté performances, le Cine Play 1 s’appuie sur une source lumineuse triple laser RVB capable de délivrer une luminosité de 3 000 lumens (données constructeur). Grâce à cette technologie, il couvre 100 % du gamut BT2020. En outre, la technologie triple laser assure une excellente stabilité colorimétrique sur toute la durée de vie du projecteur, estimée à 25 000 heures.

Pour la connectivité, il propose un accès WiFi aux principaux services de streaming, deux ports HDMI dont un compatible eARC ainsi que deux ports USB permettant la lecture de fichiers multimédia en 4K HDR. Il intègre un système audio stéréo de 2 x 10 watts, compatible Dolby Audio et DTS Virtual:X.

Le projecteur utilise une puce DMD de 0,47 pouce avec émulation 4K par traitement XPR. Pour les néophytes, cette technologie repose sur un déplacement ultra-rapide des miroirs microscopiques de la puce, créant plusieurs images en très peu de temps afin de simuler une résolution 4K. Bien que cette méthode ne propose pas une véritable résolution native 4K, elle permet d’approcher visuellement ce niveau de détail avec une précision impressionnante. Son rapport de projection est variable et va de 0,9 à 1,5 (zoom).

Enfin, il convient de noter que Leica n’est pas la seule marque à avoir utilisé une base Hisense C2 Ultra pour concevoir un vidéoprojecteur. D’autres acteurs, comme Awol/Valérion, ont adopté cette base pour leurs modèles, mais dans des versions plus économiques, dépourvues notamment de l’optique asphérique en verre Leica Summicron qui constitue l’un des points forts du Cine Play 1.

Examen de l'appareil

Dès la première prise en main, le Leica Cine Play 1 impressionne par son souci du détail et son exigence d’excellence. Tout, depuis l’emballage jusqu’aux matériaux utilisés, respire le haut de gamme. Le carton d’emballage, avec ses finitions soignées et son apparence évoquant un élégant cadeau de Noël, donne immédiatement le ton. Une fois ouvert, on découvre une coque en aluminium qui confère à l’appareil une robustesse et une élégance rares dans le domaine des vidéoprojecteurs. Même les accessoires, soigneusement rangés dans une sacoche portable, témoignent du soin apporté par Leica à chaque détail.

Test Leica CINE PLAY 1
Carton LEICA Ciné play 1
Leica Cine Play 1
Leica Cine Play 1

L’installation du projecteur s’est révélée d’une simplicité remarquable. Posé sur un meuble, une table ou son pied optionnel à socle, le projecteur se configure presque tout seul. Dès que je l’ai allumé, il s’est orienté automatiquement pour projeter une image parfaitement ajustée, corrigeant lui-même la géométrie (keystone), la mise au point et même la taille de l’image en fonction d’éventuels obstacles comme un cadre mural. Cette capacité à encadrer précisément l’image dans les limites d’un écran de projection m’a particulièrement impressionné. Pour les puristes ou ceux qui aiment peaufiner eux-mêmes les réglages, toutes ces options peuvent être désactivées, laissant la main à l’utilisateur.

Test Leica CINE PLAY 1
Sacoche de transport des accessoires LEICA CINE PLAY 1

Avec ses dimensions de 242 x 261 x 229 mm et un poids de 6,7 kg, le Cine Play 1 affiche une présence imposante mais raffinée. Monté sur son support de type balancelle, il allie stabilité et style. Pour ceux qui recherchent un design encore plus épuré, un pied vertical sur socle est proposé en option. La face supérieure de l’appareil, ornée en son centre du logo rouge Leica ne comporte qu’un unique bouton marche/arrêt. Tout le reste se commande via une télécommande en aluminium, minimaliste et fonctionnant en Bluetooth, un plaisir à utiliser.

Test Leica CINE PLAY 1
Connectique LEICA CINE PLAY 1

La connectique est située à l’arrière, discrètement intégrée dans la partie supérieure du châssis. Elle comprend deux ports HDMI 2.1 (dont un compatible eARC), deux ports USB 3.0 multimédia, des sorties audio optique et mini-jack, ainsi qu’un port Ethernet. Ces options permettent de connecter aisément tout type d’appareil, des consoles de jeux aux lecteurs Blu-ray 4K, en passant par des périphériques de stockage.

Test Leica CINE PLAY 1
Pied de fixation LEICA Cine play 1

Avant mes premières mesures, le Leica Cine Play 1 m’a déjà séduit par sa conception soignée et son ergonomie irréprochable. C’est un appareil qui, dès son déballage, fait honneur à la réputation d’excellence de son fabricant, promettant une expérience utilisateur à la hauteur de ses ambitions.

Test Leica CINE PLAY 1
LEICA CINE PLAY 1 en situation

Menus

Le Leica Cine Play 1 s’appuie sur l’interface Vidaa U7.6, empruntée à Hisense, pour organiser ses nombreuses fonctions. Dès l’allumage, j’ai retrouvé cette interface fluide et bien pensée, commune aux téléviseurs de la marque. Vidaa propose un magasin d’applications dédié, avec de nombreuses options et plateformes de streaming déjà préinstallées, ce qui facilite grandement la navigation et l’accès aux contenus. L’un des points forts que j’ai rapidement notés est l’excellent lecteur multimédia intégré. Dès que j’ai connecté une clé USB ou un disque dur, il a su reconnaître mes fichiers sans difficulté, offrant une prise en charge fluide et intuitive des formats 4K HDR.

Test Leica CINE PLAY 1
Menu LEICA CINE PLAY 1

En matière de réglages et d’options intelligentes, le Cine Play 1 ne déçoit pas. L’interface met à disposition tous les outils indispensables pour un calibrage précis, qu’il s’agisse d’un usage amateur ou professionnel. Les différents modes d’image disponibles en sortie de boîte, comme « Standard », « Filmmaker », « Cinéma jour » ou « Cinéma nuit », offrent une bonne base pour des ajustements personnalisés. Ces modes se déclinent également pour les signaux HDR. 3 modes spécifiques Dolby Vision et HDR10+ sont accessibles après détection de ce type de signal. La possibilité d’éditer la plupart de ces modes, et de choisir d’appliquer les corrections à un mode unique ou à l’ensemble, ajoute une vraie flexibilité à l’utilisation.

Les outils de calibrage m’ont particulièrement impressionné. Leica offre un réglage 2 ou 20 points de l’échelle de gris, des températures de couleur prédéfinies, ainsi qu’un éditeur de Gamma, une rareté bienvenue dans les appareils actuels. La gestion fine du laser, sur une échelle de 1 à 10, et les deux modes d’accroissement de la luminosité permettent d’ajuster parfaitement l’image à son environnement. Quant au choix du Gamut, il peut être laissé à l’utilisateur, entre Rec.709, DCI-P3 et Rec.2020, ou automatisé selon les besoins. Le Cine Play 1 va encore plus loin avec un CMS (Color Management System) complet qui permet d’ajuster teinte, luminosité et saturation sur les trois dimensions du Gamut. Un réglage dédié des tons chair vient compléter cet arsenal.

J’ai également apprécié le soin apporté à l’ergonomie des menus. Ils peuvent être déplacés en haut ou en bas de l’image pour ne pas interférer avec les mesures de calibrage, un détail qui montre l’attention portée aux besoins des utilisateurs exigeants. Enfin, l’intégration d’un mode d’interpolation d’images pour les sources SDR et HDR, ainsi que d’une gestion dynamique du contraste avec trois niveaux de fonctionnement (bas, moyen, haut), conclut un tableau déjà très complet.

Verdict technique

Bruit de fonctionnement et qualité du système sonore intégré :

L’un des atouts du Leica Cine Play 1 réside dans son silence de fonctionnement, même à pleine puissance de laser réglée sur 10. Dans ma salle de test, où le bruit de fond résiduel est mesuré à 35,5 dB, l’allumage du projecteur n’a ajouté qu’un infime écart de 0,4 dB, pour atteindre 35,9 dB. Ce résultat place le Cine Play 1 parmi les vidéoprojecteurs les plus silencieux du marché à l’heure actuelle. Cette discrétion est un atout majeur, particulièrement appréciable pour les séances immersives où tout bruit parasite peut nuire à l’expérience.

Côté audio, le système sonore intégré délivre une prestation convaincante. La restitution du panorama sonore est bien équilibrée, avec une clarté qui met en valeur les dialogues et une spatialisation agréable. Cependant, j’ai noté une absence notable par rapport à son cousin, l’Hisense C2 Ultra : le Cine Play 1 ne propose pas de caisson de basses intégré dans son pied. Ce manque se fait sentir, notamment sur les bandes-son riches en basses fréquences comme les films d’action ou les concerts. Malgré cela, pour un usage quotidien, le système reste d’une qualité tout à fait satisfaisante.

Consommation électrique :

Malgré ses 3 000 lumens annoncés, le Leica Cine Play 1 surprend par sa consommation électrique remarquablement maîtrisée. Lors de mes mesures sur une mire blanche avec le laser réglé à sa puissance maximale (niveau 10), l’appareil n’a consommé que 142,4 W. Cette valeur diminue significativement lorsque la puissance du laser est réduite : 92,2 W au niveau 5 et seulement 66 W lorsque le laser est désactivé (niveau 0). Ces chiffres témoignent d’une excellente efficience énergétique, surtout si l’on considère que des vidéoprojecteurs comparables, comme le Formovie Theater, peuvent atteindre les 300 W de consommation tout en offrant une luminosité inférieure.

Précision de l'image :

Le Leica Cine Play 1 se distingue par une précision d'image exemplaire, digne de la réputation de son fabricant. Son bloc optique haut de gamme, véritable pièce maîtresse de l’appareil, excelle dans la restitution des moindres détails d'une image 4K. Lors de mes tests, aucune aberration chromatique ni effet de double contour n’est venu altérer la netteté. Le résultat est propre, net, presque chirurgical, mettant en avant une maîtrise technologique impressionnante.

Test Leica CINE PLAY 1
Centre mire croix 4K LEICA Ciné play 2

Pour vérifier ses capacités, j’ai utilisé une mire spécifique composée de lignes horizontales et verticales de différentes couleurs qui se croisent, un test exigeant pour tout projecteur 4K. Un appareil véritablement 4K devrait être capable de reproduire distinctement les 12 lignes colorées, tout en conservant un mince espace blanc visible entre chaque ligne. Le Cine Play 1 a passé cette épreuve avec brio, reproduisant ces lignes avec une précision irréprochable. Ce test confirme non seulement la fidélité de l’appareil à sa promesse d’une véritable résolution 4K, mais souligne aussi l'importance capitale du bloc optique. Leica prouve ici que son expertise dans ce domaine fait toute la différence, et que cette attention portée à la qualité optique est une signature de la marque.

Dans ce domaine, le Ciné play prend le large face au C2 Ultra d'Hisense ou encore au JmGO N1S Ultimate.

En supplément, voici une comparaison de la même mire sur le projecteur 4K natif Xming V1 Ultra face à l'optique de compétition du Leica Ciné play 1 à partir d'une émulation 4K XPR (puce DMD 0,47).

Fluidité :

En matière de fluidité, le Leica Cine Play 1 grâce à son système d’interpolation d’images MEMC (Motion Estimation, Motion Compensation) parvient à éliminer presque entièrement les saccades indésirables, ou "judder" qui peuvent perturber l’expérience visuelle, en particulier lors des scènes d’action rapides ou des panoramiques. J’ai trouvé particulièrement appréciable la possibilité d’ajuster finement le niveau de fluidité pour obtenir un équilibre parfait entre une image naturelle et une fluidité accrue. Cet ajustement m’a permis d’éviter l’effet "caméscope" ou « soap effect ».

Input lag :

Lorsque j’ai testé le Leica Ciné Play, j’ai rapidement remarqué son input lag initial de 124 ms, un niveau qui, avouons-le, n’est pas idéal pour les gamers exigeants. Un input lag élevé peut créer un décalage perceptible entre l’action effectuée sur la manette et son affichage à l’écran, ce qui peut ruiner l’expérience de jeu, surtout dans les genres compétitifs comme les FPS ou les jeux de combat où chaque milliseconde compte. Heureusement, Leica a pensé aux amateurs de jeux vidéo en incluant un mode jeu spécifique qui permet de réduire cet input lag de manière significative. Pour tirer parti de cette optimisation, il suffit de suivre quelques étapes simples mais cruciales : activer le mode "Turbo DLP", sélectionner le traitement HDMI rapide et activer l’option jeu. Une fois ces réglages effectués sur un signal UHD à 60 Hz, l’input lag descend à 38,2 ms. Certes, ce n’est pas encore au niveau des meilleurs écrans gaming, mais c’est suffisant pour garantir une expérience fluide et réactive. Ce niveau d’input lag permet une meilleure synchronisation entre les commandes et les actions à l’écran, un élément essentiel pour les gamers qui souhaitent maximiser leur immersion et leurs performances.

Test Leica CINE PLAY 1
Input lag LEICA Cine play 1mode jeu et mode DLP Turbo

Speckle laser :

Pour les non-initiés, ce phénomène est causé par l’interférence des ondes lumineuses laser et peut perturber la netteté de l’image, surtout dans les scènes lumineuses ou sur des surfaces uniformes. Lors de mes tests, j’ai observé que l’intensité du speckle dépend de deux facteurs : la toile utilisée et la puissance laser.

J’ai testé le Cine Play 1 sur trois types d’écrans : ma toile blanche lambertienne de référence, un écran CLR Celexon conçu pour les projecteurs UST, et un écran Fresnel Formovie. Ce dernier bien que performant sur d’autres appareils, met en évidence le speckle à cause de son gain positif (1.2), obligeant à réduire la puissance lumineuse pour atténuer le phénomène. En revanche, ma toile blanche et le CLR Celexon ont su rendre le speckle presque imperceptible, offrant une image homogène et agréable.

Overscan et bordure grise de la puce DMD 0,47" :

Le Cine Play 1 s’est montré irréprochable avec l’absence totale d’overscan.. Il projette la totalité de la source vidéo sans aucune perte sur les bords.

Cependant, comme beaucoup de projecteurs utilisant une puce DMD 0,47", il génère une bordure lumineuse grise autour de l’image projetée. Cette bande, d’environ 2 cm, est causée par les micro-miroirs inactifs de la puce. Bien qu’elle ne compromette en rien la qualité de l’image ni sa netteté, elle peut être perceptible.

Colorimétrie :

Pour mes tests de colorimétrie, j’ai pris soin d’assurer un maximum de précision en utilisant des outils de mesure professionnels. Toutes les mesures, qu’il s’agisse de la colorimétrie, du contraste ou de la luminosité, ont été réalisées avec mon colorimètre Klein K10A, profilé le jour même à l’aide d’un spectrophotomètre Jeti 1501 HI Res. Ce dernier, avec sa résolution de 2 nm, est indispensable pour analyser le spectre étroit d’un projecteur triple laser comme le Leica Cine Play 1 et garantir la fiabilité des calibrages effectués.

L’étude du Gamut a confirmé les performances annoncées : le Cine Play 1 couvre 97,88 % du BT.2020 et atteint pratiquement 100 % du DCI-P3. Ces résultats témoignent de la richesse des couleurs offertes par ce projecteur. En ce qui concerne les différents modes de couleur disponibles en usine, trois se démarquent par leur précision : le mode « Filmmaker », ainsi que les modes « Cinéma nuit » et « Cinéma jour ». Ces deux derniers sont particulièrement bien positionnés, avec une colorimétrie très proche des références SMPTE. Les faibles niveaux d’erreur relevés dans ces modes permettent même de profiter d’une image de grande qualité sans nécessiter de calibrage supplémentaire.

Cela dit, j’ai souhaité affiner encore davantage les réglages, et grâce à la précision des outils fournis par Leica, j’ai pu réduire le DeltaE à 0,7 pour l’échelle de gris et pour le Color Checker. À ce niveau d’exactitude, l’image reproduite est conforme à la vision du réalisateur et de son directeur de la photographie. Chaque détail des couleurs, des tons chair aux nuances les plus subtiles, est parfaitement respecté. Le Cine Play 1 offre ainsi une restitution fidèle et immersive, qui saura satisfaire aussi bien les amateurs de cinéma exigeants que les professionnels de l’image.

Test Leica CINE PLAY 1
POST CALIBRAGE CINEMA JOUR

A noter que la précision des couleurs en sortie de boîte est meilleure sur le Ciné Play 1 que sur l'Hisense C2 Ultra.

Gestion HDR/Dolby Vision :

Le Leica Cine Play 1 se distingue par une gestion HDR et Dolby Vision particulièrement bien pensée, notamment grâce à l’intégration d’un Dynamic Tone Mapping (DTM). Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec ce terme, le DTM, ou mappage ton dynamique, ajuste en temps réel les niveaux de luminosité et de contraste de l’image en fonction des métadonnées de la source. Cela permet d’éliminer les problématiques souvent rencontrées sur d’autres modèles, comme des zones trop sombres ou des hautes lumières brûlées. Avec le Cine Play 1, le DTM assure un équilibre parfait entre les différentes tonalités, sans nécessiter d’intervention manuelle.

Test Leica CINE PLAY 1
PRE CALIBRAGE HDR CINE JOUR

Lors de mes tests, j’ai constaté que la courbe EOTF (Electro-Optical Transfer Function) s’alignait fidèlement sur les valeurs de référence lorsque le DTM était activé. Cela garantit une image équilibrée et précise dès la sortie de boîte. Bien que le calibrage puisse encore affiner le rendu, notamment au niveau du point blanc, le CMS (Color Management System) du Cine Play 1 est déjà bien ajusté automatiquement pour gérer le Gamut.

Test Leica CINE PLAY 1
POST CALIBRAGE HDR CINE JOUR

En mode Dolby Vision, j’ai préféré activer le mode sombre, qui offre une gestion efficace de la courbe EOTF. Cependant, comme en HDR, un ajustement du point blanc peut encore améliorer la précision de l’image. À noter que dans ce mode, le CMS ne peut pas être modifié, car le projecteur ajuste automatiquement ses paramètres en fonction du point blanc.

Test Leica CINE PLAY 1
PRE CALIBRAGE DOLBY VISION SOMBRE
Test Leica CINE PLAY 1
POST CALIBRAGE DOLBY VISION

Dans ce domaine, je dois souligner que le Cine Play 1 et son cousin technique, l’Hisense C2 Ultra, sont à égalité. Tous deux offrent une gestion HDR et Dolby Vision parmi les meilleures, combinant simplicité et performance. Rien de mieux pour l'utilisateur, vous en conviendrez aisément avec moi.

Luminosité et contraste :

Lors de mes tests, je n’ai pas réussi à atteindre les 3000 lumens annoncés par Leica toutefois nous n'en sommes pas très loin. Dans le mode dynamique, j’ai mesuré une luminosité maximale de 2729 lumens, mais cette valeur perd de son intérêt, car les couleurs dans ce mode ne sont pas fidèles. Ce qui compte réellement, ce sont les niveaux de luminosité mesurés dans les modes « Cinéma jour » et « Cinéma nuit », où les couleurs sont justes. Dans ces modes, le Cine Play 1 atteint plus de 2400 lumens avec le laser à puissance 10, une performance remarquable.

Test Leica CINE PLAY 1
Contraste luminosité colorimétrie mesurés LEICA CINEPLAY 1

Ce qui m’a impressionné, c’est que même après un calibrage poussé, les pertes de luminosité restent minimes. Avec le laser réglé sur 8, j’obtiens 1936 lumens, et en remontant à 10, la mesure atteint 2296 lumens. Cette efficacité lumineuse permet au Cine Play 1 de projeter sur des bases d’image supérieures à 3 mètres en SDR comme en HDR, et cela avec une consommation électrique qui reste environ deux fois inférieure à celle de certains projecteurs triple laser UST.

En ce qui concerne le contraste, Leica se distingue encore. Bien que le contraste dynamique ne m’intéresse pas particulièrement, le contraste natif, bien plus pertinent, montre des progrès notables par rapport au Hisense C2 Ultra. Leica annonce un ratio de 1500:1, et mes mesures se situent entre 1250:1 et 1300:1, avec des couleurs fidèles. Ce résultat est conforme aux attentes et illustre la fiabilité des annonces du constructeur.

Enfin, le niveau de noir est également meilleur que celui du C2 Ultra. Alors que ce dernier affiche 0,19 cd/m², le Cine Play 1 descend à 0,172 cd/m², offrant des noirs légèrement plus profonds.

Avis subjectif

Dès les premières images projetées par le Leica Cine Play 1, j’ai été transporté dans un autre monde. En SDR, j’ai redécouvert la série Mad Men sous un nouveau jour, et quelle révélation ! Les aventures de Don Draper, avec leur esthétique cinémascope et leur colorimétrie très années 1950/1960, rappellent les chefs-d’œuvre d’Hitchcock. Les teintes pastel, les contrastes subtils, et cette lumière si caractéristique de l’époque sont rendus avec une justesse bluffante. Le Leica, grâce à son piqué d’image exceptionnel, sa luminosité généreuse et la fidélité parfaite de ses couleurs, parvient à restituer chaque détail de ce monde alcoolisé, enfumé et intimiste. Le résultat est tellement spectaculaire que j’ai définitivement abandonné mon OLED de 50 cm pour profiter pleinement de mon écran de 100 pouces.

Mais c’est en 4K HDR et Dolby Vision que le Cine Play 1 touche au sommet de ce que j’attends d’une image. Les scènes d’Aliens que j’ai projetées, notamment les portraits saisissants de Vasquez ou Ripley. La précision chirurgicale des visages, l’intensité des ombres et la profondeur des noirs offrent une immersion totale. Plus récemment, j’ai été subjugué par Le Comte de Monte-Cristo, sublimé par l’interprétation de Pierre Niney. Chaque scène, chaque mouvement de caméra semble taillé au couteau, porté par une lumière et des détails qui transforment le visionnage en une expérience cinématographique grandiose.

Test Leica CINE PLAY 1
ALIENS 4K HDR

Si, comme moi, vous êtes passionné de cinéma numérique et que vous recherchez une image précise, lumineuse et fidèle, le Leica Cine Play 1 est un choix évident. Il réussit à offrir une qualité d’image qui transcende l’écran pour vous plonger directement au cœur de l’action. Une véritable invitation à redécouvrir le septième art chez soi.

Conclusion

À l’issue de ce test, je me trouve face à un dilemme. Jusqu’à présent, le sommet des récompenses sur mondoprojos.fr était le Double Gold Award, une distinction que j’ai attribuée à des appareils d’exception comme l’Hisense C2 Ultra. Mais après avoir testé le Leica Cine Play 1, je n’ai aucun doute : il surpasse son géniteur sur plusieurs aspects, que ce soit la précision d’image, la colorimètrie en sortie de boîte, le contraste ou la qualité de fabrication.

Cependant, ne souhaitant pas céder à la surenchère en inventant un Triple Gold Award, je choisis de lui décerner, à juste titre, sa double médaille. Mais ce n’est pas tout : je vais également lui attribuer une consécration supplémentaire en le plaçant en tête de mon classement 2024 des projecteurs à focale classique sur mondoprojos.fr.

Pour achever son sacre, je ne résiste pas à partager une dernière anecdote : le Leica Cine Play 1 est désormais le diffuseur principal de ma salle de projection. C’est lui qui m’accompagne au quotidien pour redécouvrir mes films et séries préférés, et il s’impose comme une référence incontournable pour tous les passionnés de cinéma. Un modèle qui incarne l’excellence et qui mérite largement sa place au sommet.

ENGLISH VERSION

TEST LEICA CINE PLAY 1

The Leica Cine Play 1, which I’m testing today, is the first Lifestyle projector offered by the renowned German brand, primarily known for its expertise in photography. However, this is not its first foray into the world of projection. Leica previously collaborated with Hisense to create a trichroma projector that, despite undeniable qualities, saw limited distribution due to its prohibitive price.

With the Cine Play 1, Leica is making a more accessible offering while retaining the technical foundation of the Hisense C2 Ultra, a model I’ve already awarded the Double Gold Award on the blog. However, there are notable differences between the two. The Cine Play 1 boasts superior build quality and assembly, while also incorporating a Leica-designed aspherical glass lens, a major asset of this device. Priced at nearly €3,600, it is significantly more expensive than the C2 Ultra. But are the extra euros justified? That’s what I’ll be exploring with you in this review.

What Is It ?

The Leica Cine Play 1 is a projector designed in partnership with Hisense, incorporating several technical elements from the Hisense C2 Ultra but standing out through specific aesthetic and technological choices. Encased in a cubic chassis and mounted on an elegant swing-like stand, its standout feature is the integration of a high-performance aspherical glass lens, a hallmark of Leica’s historic expertise in photography.

Test Leica CINE PLAY 1
LEICA CINE PLAY 1

The device also benefits from Leica Image Optimization (LIO), an exclusive image processing technology developed from decades of experience in digital image enhancement. This ensures precise, natural images tailored to modern content, whether it’s films or video games.

In terms of performance, the Cine Play 1 relies on a triple RGB laser light source capable of delivering 3,000 lumens (manufacturer’s data). Thanks to this technology, it covers 100% of the BT2020 color gamut. Additionally, the triple-laser technology ensures excellent color stability throughout the projector’s estimated 25,000-hour lifespan.

For connectivity, the Leica Cine Play 1 offers Wi-Fi access to major streaming services, two HDMI ports (one eARC-compatible), and two USB ports for playing 4K HDR multimedia files. It features a stereo audio system with 2 x 10-watt output, compatible with Dolby Audio and DTS Virtual:X.

The projector uses a 0.47-inch DMD chip with 4K emulation through XPR processing. For those unfamiliar with this technology, it works by rapidly shifting the chip's microscopic mirrors to create multiple images in a fraction of a second, simulating a 4K resolution. Although this method does not provide true native 4K, it visually approximates this level of detail with impressive precision. The projection ratio is variable, ranging from 0.9 to 1.5 (zoom).

Finally, it’s worth noting that Leica is not the only brand to have used the Hisense C2 Ultra as a base for its projectors. Other manufacturers, such as Awol/Valerion, have adopted this base for their models but in more budget-friendly versions, notably lacking the Leica Summicron aspherical glass lens, a key strength of the Cine Play 1.

Device Overview

From the moment you unbox the Leica Cine Play 1, its attention to detail and commitment to excellence is clear. Everything, from the packaging to the materials used, exudes premium quality. The packaging itself, with its refined finish and gift-like appearance, immediately sets the tone. Upon opening, you discover an aluminum casing that lends the device a rare robustness and elegance for a projector. Even the accessories, neatly stored in a portable pouch, reflect Leica’s meticulous attention to detail.

Test Leica CINE PLAY 1
Carton LEICA Ciné play 1
Leica Cine Play 1
Leica Cine Play 1

Setting up the Cine Play 1 was remarkably simple. Whether placed on furniture, a table, or its optional pedestal stand, the projector virtually sets itself up. Once powered on, it automatically adjusts the image, correcting keystone, focus, and even image size to accommodate obstacles like a wall frame. This ability to precisely frame the image within the boundaries of a projection screen particularly impressed me. For purists or those who prefer manual adjustments, all these options can be disabled.

Test Leica CINE PLAY 1
Sacoche de transport des accessoires LEICA CINE PLAY 1

With dimensions of 242 x 261 x 229 mm and weighing 6.7 kg, the Cine Play 1 has a commanding yet refined presence. Its swing-like support combines stability and style. For those seeking a sleeker setup, an optional vertical stand is available. The top of the device, centered with Leica’s iconic red logo, is minimalist with just a single power button. Everything else is controlled via a Bluetooth-enabled aluminum remote, which is both minimalist and a pleasure to use.

Test Leica CINE PLAY 1
Connectique LEICA CINE PLAY 1

Connectivity is located discreetly at the rear, integrated into the upper part of the chassis. It includes two HDMI 2.1 ports (one eARC-compatible), two USB 3.0 multimedia ports, optical and mini-jack audio outputs, and an Ethernet port. These options make it easy to connect a variety of devices, from gaming consoles to 4K Blu-ray players and storage peripherals.

Test Leica CINE PLAY 1
Pied de fixation LEICA Cine play 1

Even before my initial measurements, the Leica Cine Play 1 had already won me over with its thoughtful design and impeccable ergonomics. It’s a device that, from the moment it’s unboxed, lives up to the reputation of its maker, promising a user experience that meets its high ambitions.

Test Leica CINE PLAY 1
LEICA CINE PLAY 1 en situation

Menus

The Leica Cine Play 1 utilizes the Vidaa U7.6 interface, borrowed from Hisense, to organize its many features. From the moment it’s turned on, I recognized the fluid and intuitive interface, familiar from the brand’s televisions. Vidaa provides a dedicated app store with numerous options and pre-installed streaming platforms, making navigation and content access effortless. One standout feature I quickly noticed was the excellent integrated multimedia player. Once I connected a USB drive or hard disk, it seamlessly recognized my files, offering smooth and intuitive 4K HDR playback.

Test Leica CINE PLAY 1
Menu LEICA CINE PLAY 1

When it comes to adjustments and smart options, the Cine Play 1 doesn’t disappoint. The interface provides all the tools needed for precise calibration, whether for amateur or professional use. The various picture modes available out of the box, such as “Standard,” “Filmmaker,” “Cinema Day,” and “Cinema Night,” serve as excellent bases for personalized adjustments. These modes are also tailored for HDR signals, with three specific modes for Dolby Vision and HDR10+. The ability to edit most of these modes and choose to apply changes to a single mode or all of them adds real flexibility.

I was particularly impressed with the calibration tools. Leica offers a 2- or 20-point grayscale adjustment, predefined color temperatures, and even a gamma editor, a rare feature in today’s devices. Fine laser control on a scale of 1 to 10, along with two brightness enhancement modes, allows for perfect image adjustment to suit the environment. As for the color gamut, users can choose between Rec.709, DCI-P3, and Rec.2020 or leave it automated as needed. The Cine Play 1 goes even further with a comprehensive CMS (Color Management System) that adjusts hue, brightness, and saturation across the three dimensions of the gamut. A dedicated skin tone adjustment completes this arsenal.

I also appreciated the thought given to menu ergonomics. They can be moved to the top or bottom of the image to avoid interfering with calibration measurements—a detail that reflects the brand’s attention to the needs of demanding users. Finally, the inclusion of a motion interpolation mode for SDR and HDR sources, along with dynamic contrast management with three operational levels (low, medium, high), rounds out an already comprehensive offering.

Technical Assessment

Noise Levels and Integrated Sound System :

One of the standout features of the Leica Cine Play 1 is its remarkably quiet operation, even at maximum laser power (level 10). In my testing room, where the ambient noise level measures 35.5 dB, turning on the projector only increased the noise level by a mere 0.4 dB, reaching 35.9 dB. This makes the Cine Play 1 one of the quietest projectors on the market today. This discretion is a major advantage, especially during immersive viewing sessions where any background noise could detract from the experience.

In terms of audio, the built-in sound system delivers a convincing performance. The soundscape is well-balanced, with clear dialogue and pleasing spatialization. However, I did notice one drawback compared to its cousin, the Hisense C2 Ultra: the Cine Play 1 lacks the subwoofer integrated into the C2 Ultra's stand. This absence is noticeable, particularly with action-packed soundtracks or concert scenes. Despite this, for everyday use, the system provides a sound quality that is more than satisfactory.

Power Consumption :

Despite its claimed 3,000 lumens, the Leica Cine Play 1 surprises with its remarkably efficient power usage. During my measurements on a white test pattern with the laser set to its maximum (level 10), the projector consumed only 142.4 W. This consumption drops significantly as laser power is reduced: 92.2 W at level 5 and just 66 W with the laser off (level 0). These figures demonstrate exceptional energy efficiency, particularly when compared to similar projectors, such as the Formovie Theater, which can consume up to 300 W while offering lower brightness levels.

Image Sharpness :

The Leica Cine Play 1 excels in image sharpness, a testament to the reputation of its manufacturer. Its premium optical block, a centerpiece of the device, delivers unparalleled precision in rendering the smallest details of a 4K image. During my tests, there were no chromatic aberrations or double-edge effects to detract from the image quality. The result is clean, crisp, and nearly surgical, showcasing impressive technological expertise.

Test Leica CINE PLAY 1
Centre mire croix 4K LEICA Ciné play 2

To push its capabilities, I used a specific test pattern composed of intersecting horizontal and vertical lines in various colors—a demanding challenge for any 4K projector. A true 4K projector should be able to distinctly render all 12 colored lines with a thin visible white space between each. The Cine Play 1 passed this test with flying colors, reproducing the lines with impeccable precision. This confirms not only its ability to deliver on its promise of true 4K resolution but also highlights the critical importance of a high-quality optical block. Leica demonstrates here that its expertise in optics is a defining advantage that sets it apart from competitors.

As a supplement, here's a comparison of the same test pattern on the native Xming V1 Ultra 4K projector against the Leica Ciné play 1 competition lens from a 4K XPR emulation (DMD 0.47 chip).

Motion Handling :

In terms of motion handling, the Leica Cine Play 1 impressed me with its MEMC (Motion Estimation, Motion Compensation) system. This feature virtually eliminates unwanted judder—those distracting stutters that can disrupt the visual experience, especially during fast-paced action scenes or panning shots. I appreciated the ability to fine-tune the level of motion smoothing, achieving the perfect balance between a natural image and enhanced fluidity. This customization allowed me to avoid the dreaded “soap opera effect” while enjoying an incredibly smooth viewing experience.

Input lag :

When testing the Leica Ciné Play, I quickly noticed its initial input lag of 124 ms, a level that, let’s face it, isn’t ideal for demanding gamers. High input lag can cause a noticeable delay between controller inputs and what’s displayed on screen, which can ruin the gaming experience—especially in competitive genres like FPS or fighting games, where every millisecond matters. Fortunately, Leica has catered to gamers by including a dedicated gaming mode that significantly reduces this input lag. To take advantage of this feature, a few crucial steps must be followed: enable the "Turbo DLP" mode, select the fast HDMI processing option, and activate the gaming setting. Once these adjustments are made on a UHD 60 Hz signal, the input lag drops to 38.2 ms. While it’s not quite on par with the best gaming monitors, it’s sufficient to ensure a smooth and responsive experience. This level of input lag allows for better synchronization between commands and on-screen actions, an essential factor for gamers looking to maximize both immersion and performance.

Test Leica CINE PLAY 1
Input lag LEICA Cine play 1mode jeu et mode DLP Turbo

Laser Speckle :

Laser speckle, caused by interference between laser light waves, can sometimes appear as grain or shimmer on uniform surfaces or bright scenes. In my tests, I observed that the intensity of this phenomenon depends on two factors: the type of screen used and the laser power level.

I tested the Cine Play 1 with three types of screens: my reference Lambertian white screen, a Celexon CLR screen (designed for UST projectors but also suitable for certain long-throw models), and a Formovie Fresnel screen. While the Fresnel screen, with its positive gain (1.2), accentuates speckle and requires reduced brightness to minimize it, my white screen and the Celexon screen rendered the speckle nearly imperceptible. This resulted in a homogeneous and enjoyable image.

Overscan and 0.47" DMD Chip Grey Borders :

The Cine Play 1 performs flawlessly with no overscan—it projects the entire video source without cropping any edges. However, as with many projectors using a 0.47" DMD chip, it does produce a faint grey border of about 2 cm around the projected image. This border is caused by inactive micromirrors on the chip. While it does not compromise image quality or sharpness, it can be noticeable in bright environments or light scenes.

Color Performance :

For my color accuracy tests, I used high-precision measurement tools, including a Klein K10A colorimeter profiled on the test day with a Jeti 1501 HI Res spectrophotometer. This ensures accurate analysis of the narrow spectrum produced by the Cine Play 1's triple laser light source.

The gamut analysis confirmed the projector’s impressive performance: the Cine Play 1 covers 97.88% of BT.2020 and nearly 100% of DCI-P3. These results underscore the projector's rich and faithful color reproduction. Out of the box, three factory preset color modes stood out for their accuracy: “Filmmaker,” “Cinema Night,” and “Cinema Day.” The latter two were especially well-calibrated, delivering near-reference SMPTE color values.

Although additional calibration was unnecessary for most users, I chose to further refine the settings. Using Leica’s advanced tools, I reduced the DeltaE to 0.7 for grayscale and the Color Checker. At this level of precision, the image faithfully reproduces the director’s vision. Skin tones and subtle nuances are flawlessly rendered, providing an immersive viewing experience. It’s worth noting that the Cine Play 1’s out-of-the-box color accuracy surpasses that of the Hisense C2 Ultra.

Test Leica CINE PLAY 1
POST CALIBRAGE CINEMA JOUR

HDR and Dolby Vision :

The Leica Cine Play 1 excels in HDR and Dolby Vision management, thanks to its integrated Dynamic Tone Mapping (DTM). For those unfamiliar with this technology, DTM dynamically adjusts brightness and contrast levels in real-time based on source metadata. This eliminates common HDR issues, such as overly dark or blown-out highlights. With the Cine Play 1, DTM ensures a perfectly balanced image without manual intervention.

Test Leica CINE PLAY 1
PRE CALIBRAGE HDR CINE JOUR

During my tests, the EOTF (Electro-Optical Transfer Function) curve adhered closely to reference values with DTM enabled. This guarantees an accurate and balanced image straight out of the box. While calibration can further refine the result, especially for white point adjustments, the Cine Play 1’s CMS (Color Management System) is already well-calibrated to manage the gamut.

Test Leica CINE PLAY 1
POST CALIBRAGE HDR CINE JOUR

In Dolby Vision, I preferred the “Dark” mode, which delivered effective EOTF curve management. However, as with HDR, slight white point adjustments can enhance precision further. It’s important to note that in Dolby Vision mode, the CMS cannot be modified, as the projector adapts settings based on the white point.

Test Leica CINE PLAY 1
PRE CALIBRAGE DOLBY VISION SOMBRE
Test Leica CINE PLAY 1
POST CALIBRAGE DOLBY VISION

In this area, the Cine Play 1 and the Hisense C2 Ultra are on par. Both offer top-tier HDR and Dolby Vision management, combining simplicity and performance.

Brightness and Contrast :

In my tests, I couldn’t quite reach the 3,000 lumens claimed by Leica, though it came close. In Dynamic mode, I measured a maximum brightness of 2,729 lumens, but this value is less significant as the colors in this mode are not accurate. What really matters are the brightness levels measured in the "Cinema Day" and "Cinema Night" modes, where colors are true to reference. In these modes, the Cine Play 1 delivers over 2,400 lumens at laser power level 10, which is remarkable.

Test Leica CINE PLAY 1
Contraste luminosité colorimétrie mesurés LEICA CINEPLAY 1

What impressed me most was how little brightness was lost even after fine-tuning the calibration. At laser level 8, I measured 1,936 lumens, and at level 10, it reached 2,296 lumens. This luminous efficiency enables the Cine Play 1 to project onto screen sizes exceeding 3 meters for both SDR and HDR content, all while consuming about half the power of some triple-laser UST projectors.

In terms of contrast, Leica once again stands out. While dynamic contrast doesn’t interest me much, the more relevant native contrast shows noticeable improvement over the Hisense C2 Ultra. Leica claims a 1,500:1 contrast ratio, and my measurements ranged between 1,250:1 and 1,300:1 with accurate colors. This result aligns with expectations and highlights the reliability of the manufacturer’s claims.

Finally, the black levels are also better than those of the C2 Ultra. While the latter measures 0.19 cd/m², the Cine Play 1 achieves 0.172 cd/m², delivering slightly deeper blacks for enhanced immersion in darker scenes.

Subjective Impressions

From the first images projected by the Leica Cine Play 1, I felt transported to another world. In SDR, I rediscovered the series Mad Men in a whole new light, and what a revelation it was! Don Draper’s adventures, with their Cinemascope aesthetic and 1950s/1960s-inspired color grading, evoke Hitchcock’s masterpieces. The pastel hues, subtle contrasts, and distinctive lighting of the era are reproduced with breathtaking accuracy. The Cine Play 1, with its exceptional sharpness, generous brightness, and perfectly faithful colors, captures every detail of this intoxicating, smoky, and intimate world. The result was so spectacular that I’ve officially retired my 50-inch OLED in favor of a 100-inch screen.

But it’s in 4K HDR and Dolby Vision that the Cine Play 1 truly reaches the pinnacle of what I expect from an image. The scenes from Aliens I projected, especially the striking portraits of Vasquez and Ripley, left me utterly speechless. The surgical precision of the faces, the intensity of the shadows, and the depth of the blacks provide total immersion. More recently, I was captivated by The Count of Monte Cristo, magnificently portrayed by Pierre Niney. Every scene, every camera movement seemed razor-sharp, enhanced by lighting and detail that transformed the viewing into a grand cinematic experience.

Test Leica CINE PLAY 1
ALIENS 4K HDR

If, like me, you’re passionate about digital cinema and seek precise, bright, and faithful images, the Leica Cine Play 1 is an obvious choice. It offers a level of image quality that transcends the screen, drawing you directly into the heart of the action. A true invitation to rediscover the seventh art at home.

Conclusion

At the end of this test, I find myself in a bit of a dilemma. Until now, the highest accolade on mondoprojos.fr has been the Double Gold Award, a distinction I’ve awarded to exceptional devices like the Hisense C2 Ultra. But after testing the Leica Cine Play 1, I have no doubt: it surpasses its predecessor in several areas, whether it’s image sharpness, out-of-the-box color accuracy, contrast, or build quality.

However, not wanting to fall into the trap of creating a Triple Gold Award, I’ve chosen to award the Cine Play 1 its well-deserved Double Gold Medal. But that’s not all—I’m also giving it an additional honor by placing it at the top of my 2024 ranking of traditional throw projectors on mondoprojos.fr.

To complete its crowning achievement, I can’t resist sharing one final detail: the Leica Cine Play 1 is now the main projector in my home theater. It accompanies me daily as I rediscover my favorite films and series and stands as a reference for all cinema enthusiasts. A model that embodies excellence and unquestionably earns its place at the top.


138 Commentaire(s)

  1. bertoni dit :

    Merci beaucoup pour l’analyse !!

    Je pense changer mon Hisense C1 (je veux arrêter d’utiliser le zoom numérique), j’utilise un support plafond, ce Leica j’imagine a 1 fil central sur la base ronde pour l’accrocher au plafond ?

    1. GregW dit :

      Je n’ai pas encore démonté la base car j’ai acheté le pied de fixation mais il peut être utilisé aussi bien en position table qu’en position plafond.

  2. Didier Pin dit :

    Merci Greg pour tout ton travail. A part le prix il correspond exactement à mes attentes.
    J’hésite encore un peu à remplacer l’Optoma UHD51 que j’avais acheté grâce à tes conseils il y a quelques années, en dehors de son ratio inadapté à mon nouvel appartement, il marche encore très bien et je me demande si je verrai vraiment une différence majeure, ton avis?
    Reste à trouver la bête! De passage sur Paris, je l’avais vu en démonstration au Leica Store Beaumarchais mais on ne pouvait pas l’acheter ni le commander. Ils ont appelé leur centrale, mais non, pas de disponibilité avant le mois de janvier, il devaient aussi me recontacter par mel mais pas de retour.

    1. GregW dit :

      Avec ton Optoma, on est pas loin du jour et de la nuit 😇😁. Désolé mais face à ce triple laser, l’UHD51 n’est pas d’actualité.

  3. Jtk99 dit :

    Bonjour et Merci pour ce super test complet. Le C2 Ultra me faisais de l’oeil mais celui ci a l’air d’aller encore plus loin. J’avais ecarté le Benq W5800 (obligation de racheté une toile dans mon cas) et le Benq w4000i rencontre de nombreux probleme de SAV apres quelques mois d’utilisation. Je crois que ce Leica va etre mon Achat de 2025 ! j’ai visonné le compte de monte cristo il y a deux semaine sur mon vieux Benq w1070 et quelle claque ce film visuellement !

    1. GregW dit :

      Merci Àrnaud et oui quel film passionnant 👍.

  4. Guillaume26 dit :

    Bonjour Grégory, merci pour ce test français fort intéressant.
    Ayant déjà un BenQ w1090 et un écran blanc de 120 pouces, ce modèle m’intéresse fortement pour une installation au plafond en lieu et place du W1090.
    Cependant, j’hésite avec le px3 pro car lors du test de ce dernier, tu as écrit « Si le chiffre mesuré est de 0,0xxx, vous pouvez déjà vous dire que pour le contraste, ça va bien se passer ! En revanche, si la valeur mesurée est de 0,1 et au-dessus, il faudra vous limiter à des retransmissions sportives, à des dessins animés, mais oublier sérieusement les Alien, Harry Potter et autres films avec moult passages sombres. »
    Or, en regardant le test du Leica, la valeur est de 0,172 une fois calibré, que devons nous comprendre ? Le contraste perçu semble très bon mais les chiffres disent autre chose et surtout, tu as l’air d’avoir une énorme préférence pour le Leica au vu de sa place dans ton salon?
    Je souhaite juste comprendre pour arriver à faire un choix entre ces 2 videoprojecteurs 🙂
    En tout cas merci de nous fournir ces tests, le site est une mine d’or.

    1. GregW dit :

      Bonjour,

      Oui mais non ;). Certes j’aurai préféré un meilleur contraste natif mais le résultat est visuellement très bon et je rappele au passage que l’Hisense C2 Ultra bénéficie de 2 Gold Awards avec un contraste inférieur et une optique moins performante.

  5. Chibane77 dit :

    Salut Greg et merci encore pour le test !
    Peux tu nous faire un top 3 des toiles à utiliser avec ce Leica ?
    Merci !

  6. tetra_4 dit :

    Bonjour,
    Merci beaucoup pour le test,
    comme il me plaît bien pour remplacer mon vieux BenQ 1070
    déjà la belle image, la puissance lumineuse, la facilité de le mettre partout avec le zoom la correction trapézoïdale. Le seul petit problème c’est le prix, la lampe de mon vidéoprojecteur fonctionne encore très bien mais je garde celui-là à l’œil pour voir quand le prix aura baissé.
    Encore merci pour ton travail et bonne continuation

  7. Guillaume26 dit :

    C’est vrai que tout ce beau monde a des doubles gold awards, donc on s’habitue à l’excellence 🙂
    En terme de tarif, entre juste le Leica ou un px3 pro + un écran Fresnel, on est du pareil au même donc j’imagine que ton choix de coeur est le Leica ?

  8. Microdyn dit :

    Merci Greg, pour ce CR détaillé qui confirme ta première approche qui m’avait convaincu. Projeteur commandé il y 10 jours, arrivé en magasin ce samedi, il me tarde désormais de le récupérer. Microdyn

  9. gourix dit :

    Salut Greg. Merci pour ce test. Ce Leica semble incroyable. Veinard que tu es de l’avoir dans ton salon !
    En ce qui concerne la fixation au plafond : j’ai l’impression en zoomant sur ta photo 1, qu’il y a deux fixations sur la balancelle pour le fixer sur un support plafond. C’est bien cela ?
    Bonnes soirées ciné !

  10. GregW dit :

    Elles servent à enlever le socle pour pouvoir positionner le projecteur sur son pied de fixation, et je pense également que c’est la même manœuvre pour un support plafond.

  11. ayme.pic@gmail.com dit :

    Hi!
    J’ai pas mal hésité, gros budget, je viens de recevoir le mien, merci panajou, juste posé et allumé, Première impression excellente, je pense mettre un support plafond (home made car j’ai l’impression que le Leica n’est pas prévu pour) pour être bien dans l’axe de l’écran et limiter la correction trapèze, même si super efficace j’ai des lumières parasitaire autour de la projection mais pas trop gênant dans une piece sombre.
    Très bon produit

  12. lindraks dit :

    Très étonné de voir autant de personnes dans le même cas que moi, c’est à dire souhaitant remplacer un w1070 ou un w1090.

    Quel projecteur quand même, presque 10 ans après il fait encore le boulot et on repousse toujours le moment de le remplacer 😂.

    Ce coup-ci ça sent la bonne.

    Merci Greg pour ce travail !

  13. hoggett dit :

    lindraks : même chose, j’ai un W1090 à remplacer 😉 Mais c’est sur le LG HU710PW que j’ai du jeter mon dévolu, question de budget. Je regarderai ce Leica avec des étoiles dans les yeux encore un moment. Il sera peut être un peu plus abordables à ma bourse d’ici quelques années !
    En tout cas merci pour ce test, Greg, on sent parfaitement dans ta prose la joie retrouvée de retomber à nouveau sur un projecteur qui provoque des émotions 🙂

  14. ZogZogAkita dit :

    Bravo et merci pour ce test

    Je ne comprends pas : quelle est sa focale finalement ? J’ai une contrainte : je dois placer mon projecteur au plafond à 4m de l’image et je ne peux pas diffuser plus de 2m de base. Quelle est la focale de ce projecteur pour savoir s’il serait compatible avec mes contraintes ? Je dispose d’un Epson W7100 à date.

    Merci

    1. GregW dit :

      Le rapport de projection est variable et va de 0,9 à 1,5 (zoom).

  15. Jtk99 dit :

    lindraks : Oui j’ai acheté mon Benq w1070 en 2013 dans les 600 euros de mémoire. Quel video… j’ai changé mon Ampoule il y a un mois pour 60 euros (j’aurais du la changer avec, j’ai retrouvé une image bien meilleure ! ) J’ai hate de passer sur un Modele 4K HDR. Un ami viens de faire l’acquisition d’un Hisence C1 au black friday, il est venu le tester dans ma piece dédié et lui comme moi avons été supris du « peu » de diff avec le W1070. en tout cas on a pas eu d’effet « woaw ». on a d’ailleurs profiter des reglages de Gregory pour calibrer les couleurs car de base il etait moins bon que le BenQ. Apres réglage on avais des couleurs similaires. Du coup je me dit quitte a changer, autant mettre le prix.

  16. dm27 dit :

    Et bien, je rejoins le message de hoggett, une émotion que l’on avait pas lu autant présente depuis longtemps 🙂
    Et, c’est sur un vidéoprojecteur focale standard en plus 😉
    Sinon, pourrais tu poster la photo de la mire UHD dont tu parles, car généralement le traitement XPR a du mal avec, alors que là verticalement et horizontalement tu indiques que c’est bon ? Ce qui serait effectivement une grande avancée.
    On dit souvent du tremblement d’émotion dans la voix, on peut dire aussi ici : du tremblement dans l’écriture d’émotion 🙂
    Merci pour ce test Greg.

    1. GregW dit :

      Bonjour David, c’est toujours aussi compliqué les photos d’un triple laser. Je pensais avoir trouvé un compromis pour la balance des blancs mais mes photos d’overscan et de netteté sont toutes trop rouge. Je vais réessayer.

    2. GregW dit :

      Comparaison de la même mire sur le projecteur 4K natif Xming V1 Ultra face à l’optique de compétition du Leica Ciné play 1 à partir d’une émulation 4K XPR (puce DMD 0,47).

      https://www.mondoprojos.fr/wp-content/uploads/2024/12/IMG_5858-scaled.jpeg

  17. bertoni dit :

    Je n’ai encore rien vu concernant le montage au plafond.

    Il semble qu’il s’agisse d’ancrages spéciaux, conçus uniquement pour les propres supports de Leica.

    En ce sens, le meilleur est le Hisense C1, vous avez un filetage central 1/4″ et 4 filetages M4 si vous dévissez les 4 pattes… Je ne comprends pas pourquoi ils n’ont pas maintenu ces options aussi modernes soient-ils. ce sont des projecteurs.

  18. GregW dit :

    Ajout de la partie input lag et de photos additionnelles, dont celle de la mire 4K avec les lignes qui s’entrecroisent et dont toutes les parties sont aisément identifiables (12 lignes de couleurs séparées par des lignes blanches). La plupart des DLP 4K XPR n’arrivent pas à la restituer correctement, ce n’est pas le cas du LEICA Ciné Play. J’ai aussi ajouté des photos du pied (à acquérir en option). Très belle finition mais ils auraient pu (du) le faire plus haut ou télescopique (80 cm de haut).

  19. Sawdust_Mind dit :

    Bonjour Gregory et merci pour le test !

    Après une incursion dans le monde des ust avec le Formovie je suis convaincu de repasser de l’autre côté de la force avec ce Leica ^^

    Sur quel écran projettes tu ? Aurais tu également une référence à conseiller pour une diagonale de 135 pouces (environnement contrôlé)? Un écran technique (0.6?) permettra T il d’améliorer la sensation de contraste ?

    Bonne journée !

    1. GregW dit :

      Oui bien sûr l’écran technique de gain 0,6 améliorera le contraste perçu mais diminuera la luminosité de plus de moitié (Un gain 0,6 est bien souvent à 0,5 aux mesures). Mon celexon home cinéma plus fonctionne très bien avec ce Leica (même si c’est un écran pour UST).

  20. gourix dit :

    Cette histoire de fixation n’est pas claire effectivement. Greg, tu me dis qu’il faudrait retirer le socle rond pour pouvoir ensuite le fixer. Mais quid alors de l’alimentation car elle est placée sur ce socle rond… J’ai l’impression qu’il faut le fixer « en l’état » au plafond (balancelle + socle disposant de l’alim), non ? Bref, se servir de ces deux fixations et vis du socle pour venir intercaler les deux pattes d’un support plafond 🧐

    1. GregW dit :

      Dans le pied Leica tous les câbles d’alimentation sont intégrés. Je suppose donc qu’il en va de même avec leur support plafond. La base de fixation contient également des connecteurs pour la transmission du courant.

      https://zupimages.net/up/24/49/0wbh.jpeg

    2. GregW dit :

      L’heureux propriétaire du premier Leica Ciné play que j’ai calibré, c’est confectionné un support maison. Voici le résultat en image :

      https://www.mondoprojos.fr/wp-content/uploads/2024/12/20241126_092411.jpeg

      https://www.mondoprojos.fr/wp-content/uploads/2024/12/20241125_192152.jpeg

  21. Sawdust_Mind dit :

    Merci beaucoup pour ta réponse ! Le celexon est un 0.8 ? Il faut que je passe sur un écran plafond (gain de place au sol)

    1. GregW dit :

      C’est un 0,5 depuis le sol mais ils ont des versions plafond et aussi des toiles ALR pour les projecteurs à focale classique comme le LEICA. La mienne nous une CLR pour UST (mais dont je me sers souvent pour des projecteurs à focale longue).

  22. Sawdust_Mind dit :

    D’accord, merci encore pour la piste Celexon ! Pour une luminosité suffisante sur 135″ et éviter le spekkle il faut donc que je me limite aux écrans entre 0.9 et 1.1 si je comprends bien ton test à ce sujet ? Je m’en vais chercher des références dispo !

  23. ZogZogAkita dit :

    Merci pour cette réponse pour le rapport de projection Greg. Merci également pour la photo du support Homemade.

    Avec 4m entre l’écran et le mur de fond de salle et une taille d’écran de l’ordre de 2m, je crois me souvenir que le ratio pour ma configuration doit être de 400/200 soit 2.

    Donc il faut comprendre que ce projecteur n’est pas compatible avec ma configuration, à moins de le placer autre part qu’au plafond, en fond de salle.

  24. Boudu dit :

    Merci encore Greg pour tes tests. Ce projecteur semble être parfait, les optiques Leica sont aussi efficaces en photo qu’en projection.
    J’hésitais avec l’Hisense C2 Ultra, le PX3 Pro et le JmGO N1S Ultimate, mais cet article m’a convaincu.
    Merci Guillaume26 pour la question sur le niveau de noir et le contraste natif, je me posais la même. Je crois que je ne suis pas prêt pour le passage du BenQ W700 au Leica.

  25. Boudu dit :

    Je suis surpris d’ailleurs que Leica soit le premier fabricant d’objectif photo à entrer dans le monde des projecteurs, quand on pense à Sony qui est déjà dans le vidéoludique avec les TV et la Playstation, ou à Canon qui a des activités diversifiées comme la fabrication d’appareils d’imagerie médical.
    Je serais curieux de savoir ce qu’il serait capable de faire, surtout quand on voit la place qu’à pris Sony dans le monde de la photo, et de la qualité de ces optiques. Un partenariat Sony/Zeiss me semblerait bien sympathique (coucou Sony).

  26. Captain dit :

    C’est vraiment convaincant
    Le centre mire ça a l’air mieux que le 4K natif. C’est ce qui m’intéressait en termes de comparaison avec une 4K natif.

    Super!
    Merci Greg.

  27. gozzima dit :

    Merci pour ce test détaillé !
    J’hésitais entre un modèle 4k natif d’occasion et ce modèle et je suis quasi décidé maintenant pour le Leica.
    J’ai une contrainte d’installation qui va m’obliger à l’installer un peu plus haut que le centre de l’image (environ 50 cm de shift pour une distance de projection de 5m et une base de 3,33 m en zoom max)
    Ce projecteur n’ayant pas de lens shift optique, je vais devoir jouer sur l’inclinaison sur sa balancelle et la correction trapèze.
    La perte en résolution induite par la correction trapèze sera-t-elle importante ?

  28. Guill4ume dit :

    Ils annoncent un input lag de 12ms en 1080p 120hz. As tu essayé avec ces réglages ?

  29. dm27 dit :

    Merci Greg pour l’illustration de la mire UHD.
    Cette mire est particulièrement difficile pour les modèles à Wobulation ( Epson inclus ) et là, c’est très impressionnant et parfait !
    L’association de la grande qualité de l’optique LEICA et du processus XPR permet vraiment d’avoir ici une représentation UHD/4K comme une matrice native.
    Chapeau bas à ce modèle pour sa grande qualité et le soin apporté à l’image UHD qui effectivement place le niveau à des sommets dans sa catégorie.

  30. david dit :

    Bonjour Greg,

    Merci pour ce test et tous les autres,

    Peux tu dire à combien te situes tu de ton écran pour projeter ? par ailleurs est-ce que si tu fais un match entre le PX3 pro et celui malgré que cela soit pas la même catégorie est-ce que tu recommanderais un plus qu’un autre ?

    Est-ce que ces deux projecteurs peuvent être utilisé sur ces écrans  »petit » moins de 100 pouces ou égale ? auriez vous des recommandations de toiles dédiés pour l’un et l’un autour de 100 pouces ?

    merci à vous pour vos réponses

  31. Cattod dit :

    La machine de rêve ! Les UST n’ont pas forcément enterré les « classiques » hein Greg’ ?! 😉 Ah, une bonne optique, comme c’est important, mais en plus là il s’agit d’un zoom, plus complexe et donc plus cher. Au vu du résultat ça justifie le prix. Leica, c’est une référence en optique (ainsi que Zeiss), pas seulement en photo mais aussi en jumelles et longues-vues, ces fabricants d’outre Rhin n’hésitant pas à l’époque à garantir leur matériel 30 ans (oui, vous ne rêvez pas)… C’est justement l’âge de mes jumelles et elles n’ont jamais eu besoin d’avoir recours au SAV, pourtant elles en ont vu ! (‘juste le cuir de la sangle fatigué). Du matos acheté cher mais une fois pour toutes plutôt que d’avoir à changer tous les 3 ans !

    1. GregW dit :

      Le Leica est tout sauf un « classique » faut bien relire mon article à ce sujet 😁.

      https://www.mondoprojos.fr/2024/11/10/le-chant-du-cygne-des-videoprojecteurs-classiques/

  32. Cattod dit :

    Une question me taraude Greg : c’est marqué made in quoi sur ce Leica Cine Play 1 ??

    1. GregW dit :

      L’Optique c’est made in Germany comme la coque et l’emballage, la base en-dessous c’est Hisense donc chinois.

  33. Phenelas dit :

    Bonjour Greg

    Tout d’abord bravo pour ton formidable, et je pèse mes mots, travaille de test et vulgarisation.
    Je vais être un peu (trop ?) directe, et imagine bien que tu es très occupé… mais si on souhaite acquérir ce modèle de VP avec une option « calibration by Greg » qu’elles sont les options possibles ?

    1. GregW dit :

      Bonjour, le mieux c’est de faire comme deux de mes lecteurs l’ont déjà fait , commander le projecteur chez Son Vidéo et me le faire livrer à domicile. Une fois calibré je l’expédie
      chez toi. Merci pour tes compliments 😊.

      Plus de détails ici :

      https://www.mondoprojos.fr/2024/08/31/lancement-de-mondoprojos-calibrage-videoprojecteurs/

  34. Laurent dit :

    Bonjour,
    Merci Gregory pour ton site et le test de ce beau produit. Une question concernant le keystone horizontal : à quel point (quelle distance) peut-on désaxer le vidéoprojecteur du centre de l’image et garder une image droite ? Merci d’avance.

    1. GregW dit :

      Je l’ignore et surtout je ne le recommande pas. Le point fort de ce projeteur c’est son optique et donc la précision de son image. Ce serait dommage de ne pas en profiter en faisant trop intervenir la correction de trapèze électronique.

  35. Luc dit :

    Bonjour gregory,
    Merci et bravo pour ce test et ta réactivité, J’ ai eu beaucoup de chance et je suis arrivé a me le procurer aussi.
    Pourrais tu donner tes réglages ?
    Est ce que le niveau de reglage du laser pout toi aussi est impossible à regler avec les modes standard et sport ?
    Le socle est genial , à tout hasard la personne qui a fait le socle, n aurait il pas fait un plan pour pouvoir faire le même ?
    Encore un grand merci à toi et tous ce que tu fais.

  36. luc dit :

    Malheureusement , je suis trop loin et si j ai bien compris, cela depend de l’environnement ou il est (je n ai pas de salle dediée).Il faut que je trouve quelqu un dans ma region.

  37. mikehughesc dit :

    Pour tous ceux qui ont posé des questions sur le montage au plafond (et pour mon propre intérêt), j’ai posé la question à Leica. Leur réponse a été la suivante :

    – Actuellement il n’existe pas encore de matériel-accessoires pour la fixation au plafond, nous faisons remonter votre question à nos collègues du développement. –

    L’option dans le menu pour le fonctionnement du plafond est donc un peu trompeuse. Si vous voulez vraiment faire cela, vous devrez construire votre propre support, comme dans l’exemple donné par Greg ci-dessus.

    1. GregW dit :

      Il n’y a rien de trompeur dans les menus, l’inversion de positon pour un montage plafond est bien disponible et active.

  38. Fab321 dit :

    Super test ! Très très bon travail je te remercie

    J’ai quelques questions qui j’espère ne paraîtront pas trop idiotes 😉

    J’ai un fengmi T1 (que j’ai acheté suite à ton test d’ailleurs 🙂 )

    Qu’en est t’il de ce ciné play 1 face à un projecteur comme le formovie theater ou le leica ciné 1 focale courte ?

    Quel est encore l’intérêt de ces focales courtes si le leica play 1 est au top ?
    Je peux concevoir que ce n’est pas le même produit car ici c’est amovible, mais si on parle juste de l’image est-ce qu’il vaut mieux pas avoir ça ?

    Et dernière question promis 🙂

    J’ai un ami qui a le hisense c2 ou c1
    C’est vrai que ça place l’image directement dans le cadre de l’image, mais dans le noir on aperçoit bien la luminosité qui sort de l’écran, je ne sais pas comment expliquer par écrit,
    Cette luminosité correspond à l’image d’origine sans qu’il y est eu d’ajustements pour qu’elle rentre dans le cadre de l’écran,

    J’espère que tu pourras répondre à tout ça

    En tout cas je te remercie par avance car ces tests sont d’une aide précieuse

  39. Phenelas dit :

    Greg bonjour et merci pour tout ce que tu fait.
    Une dernière question avant de me décider a l’acheter (enfin quand j’aurai réussi a convaincre Madame…mais je ne lâche pas). Concernant ses performances en upscale si tu devais les noter de 0 a 10 (10 étant une tuerie intersidérale) tu le situerais ou stp ? En effet a ce jour comme je tourne encore sur mon vieux sxrd full hd j’ai 95% de mes sources qui sont Full Hd et je t’avoue que je ne suis pas du tout partant pour racheter mes blu ray au format uhd-4k (me suis déjà fait avoir lors du passage de la VHS ou DVD, puis du DVD au BR… j’ai plus tres envie d’acheter mes films 3 fois).

  40. corbendallas56 dit :

    Bonjour Greg
    Je rebondis sur la question de fab321
    J’ai enfin reçu l’offre de NP pour le FMT mais je me tâte avec ce Leica!!!
    Qu’en est il de la comparaison FMT Premium versus Leica CP1 en matière d’image seulement ?
    J’ai un home cinéma à côté donc je me fous du son intégré, idem pour le soft, j’ai une shield. C’est vraiment la qualité d’image et le rendu visuel qui m’intéresse.
    Selon ta réponse, le choix de l’écran pourra être différent, pas besoin d’un écran spécial UST avec le leica.
    Merci

    1. GregW dit :

      Bonjour, j’ai du mal à répondre à cette question car ils répondent à deux configurations d’utilisation différentes.

      Ce que je peux dire de manière plus générale c’est que le contraste natif est quand même le double sur le Formovie theater et le focus a bien été amélioré. Le système sonore intégré est le meilleur des 2. Il est moins cher que le Leica.
      En faveur du Ciné play 1 il y a son optique de compétition, une colorimétrie en sortie de boite plus précise et qui peut être ajustée avec une précision d’orfèvre par un calibreur professionnel.

      1. GregW dit :

        Oui une appli iOS et Androïd est disponible.

  41. tetra_4 dit :

    Bonjour,
    après avoir vérifié sur projector central la distance de projection possible pour savoir si ça passait chez moi, c’est bon 😉
    je voudrais savoir si quelqu’un sait si on peut utiliser une appli sur téléphone portable à la place de la télécommande ?
    Cordialement

  42. Jarek dit :

    Hi, would you say that the native black level is better than in Epson 9400 (5050)?

  43. dm27 dit :

    For that, we’ll have to wait for the disturbing and potentially remarkable Valerion.
    Valerion (AWOL) on Mondoprojos.fr 🙂

    1. GregW dit :

      Ce ne sera pas le cas non plus, son niveau de noir réel (et pas publicitaire) sera de celui de l’Hisense C2 Ultra. Je parle bien sûr d’une valeur native.

  44. dm27 dit :

    Wait and see. Wait and see. 🙂

  45. tetra_4 dit :

    Bonjour,
    désolé mais je n’ai pas trouvé d’application sur Android qui pourrait remplacer la télécommande,, aurais-tu un nom ?
    Je dois chercher chez leica, hisense, vidaa ?
    Bonne continuation

  46. mikehughesc dit :

    @tetra_4 – oui tout à fait, l’appli VIDAA fonctionne bien comme télécommande pour mon Leica Cine Play 1. Votre portable doit être connecté au même réseau Wifi que le projecteur, et voilà !

  47. TA26 dit :

    Bonjour, merci pour toute ces informations. Par « inversion de position pour montage au plafond » faut-il comprendre « inversion de l’image » ? C’est la seule information qui me manque pour finaliser mon achat et le service client de Leica ne répond jamais. Merci d’avance.

  48. Squallouh dit :

    Bonjour à tous,
    Merci Greg pour ce test qui m’a permis de découvrir ce produit 🙂
    Suite au commentaire de @tetra_4 j’ai découvert le site Projector Central, Merci 🙂
    Donc si je comprends bien le simulateur, avec 3.40 m de distance de projection je ne peux donc pas utiliser ce projecteur sur une toile de 2m de base(à priori la base min est de 2.40m). Est ce que vous confirmez @greg ou @tetra_4.
    @Greg, as tu des références de toile à recommander avec ce modèle ? (ma toile actuelle m’énervant un peu car elle gondole un peu et c’est gênant sur les traveling)
    Merci à vous pour vos retours respectifs.

  49. tetra_4 dit :

    Bonjour @Squallouh
    je suis pas un spécialiste mais j’ai regardais vite fait,
    en effet si tu as 3m40 de recul pour la projection, la taille de l’écran se situe entre 2m26 et 3m77 de base.
    Pour ce qui est du choix de l’écran cela dépasse mes compétences j’imagine que d’autres pourront te conseiller
    cordialement

  50. Squallouh dit :

    Merci @tetra_4 pour ton retour. Je vais donc attendre d’autres retours sur les écrans et voir si @GregW peut confirmer notre constat sur la taille min de la base de l’écran.

  51. rudeboy669 dit :

    Bonjour est ce possible d avoir 3 m de base avec ce projo fixez au mur a 1m de hauteur ? Merci !

  52. gozzima dit :

    Ce projo a tellement de succès qu’il est en rupture de stock partout …
    J’ai passé commande le 4 décembre à la FNAC qui affichait pourtant un stock de 2 au moment de la commande mais je n’ai toujours aucune visibilité sur la date de réappro.

  53. Jad dit :

    @gozzima
    Non il a juste été produit en petite quantité sans savoir qu’il y aura de la demande.
    Tu devrais je pense le recevoir fin janvier début février.
    Bonne journée

  54. Thierry34070 dit :

    Chez Son-video.com, la date de réapprovisionnement est annoncé a partir du 30 janvier 2025.

  55. vinz dit :

    Bonjour Greg,

    Cela fait quelques temps que je lis vos test, très complet, même trop :), il est très difficile de choisir par la suite.

    Pour ce modèle vous parlez d’une netteté d’image excellente, cependant vous ne précisez pas si vous avez du utiliser les corrections du trapèze etc … Choses qui avaient dégradé l’image sur le test du C2.

    Mon installation serait en mode plafond, avec l’objectif au niveau du haut de l’écran et sans lens-shift je crains de devoir utiliser les artifices pour cadrer l’image et perdre une des grandes forces de se projecteur, à savoir son excellente optique.

    Avez vous un retour sur cela ? Dans quelles conditions avez vous tester le piqué ?

    Merci pour vos réponses.

  56. gozzima dit :

    Ça y est, après 3 longues semaines d’attente, le statut de ma commande est passé à « expédié ».
    J’ai trop hâte de tester cette petite merveille !

  57. gozzima dit :

    @vinz ce projecteur a un offset vertical nul ce qui signifie que le bas de l’image est dans l’axe de l’objectif en position normale.
    Si vous l’installez au plafond la tête en bas, le haut de l’image sera aligné sur l’objectif.
    Vous ne devriez pas avoir besoin d’utiliser l’inclinaison et la correction trapèze associée.

  58. vinz dit :

    Merci beacoup Gozzima, je n’ai pas réussi à trouver cette info d’offset et cela me rassure.

    Je viens d’un LG HU710PW et j’hésite entre ce Leica et un Epson LS12000.

  59. Squallouh dit :

    @vinz, si tu pars sur le Leica, tu partirais sur quelle méthode pour le fixer au plafond ?
    Merci @gozzima également pour l’info sur l’offset.

  60. vinz dit :

    J’ai actuellement un support standard avec 4 bras, soit je perce le socle du Leica avec 4 trous débouchant et je le fixe à se support avec boulon et écrou.
    Sinon méthode comme évoqué un peu plus haut en fixant deux « crochets » dans le faux plafond de part et d’autre du pied du Leica qui serait donc collé au plafond. mais je n’ai pas encore trouvé de crochet / griffe qui ferait l’affaire.

    C’est un des points faibles du projo et des lifestyle en général pour ma config plafond et mon recul, t’es obligé de bricoler des supports et les rapports de projection sont pas idéaux pour moi.
    De ce coté l’espon ls12000 tu peux presque le mettre à l’envers tu arriverais encore à projeter sur l’écran avec son zoom et son Lens shift de fou.

  61. mikehughesc dit :

    Est-ce que Greg ou quelqu’un d’autre qui possède ce projecteur pourrait tester quelque chose pour moi ? Sur le mien, lorsque l’on utilise la sortie audio eARC, le contrôle du volume sur la télécommande ne fait rien. Les petites icônes apparaissent sur l’écran et changent de couleur lorsque l’on clique sur les boutons de volume de la télécommande, mais rien ne se passe – le volume audio reste inchangé. Je ne sais pas si c’est un défaut du Leica ou de mon appareil audio ARC.

  62. gozzima dit :

    Je viens de recevoir le mien et je peux confirmer l’offset vertical à 0.
    Je l’ai posé sur un petit meuble pour les premiers tests en attendant la fabrication de mon support mural et le bas de l’image est pile aligné sur le centre de l’objectif.
    PS: La qualité d’image est une dinguerie et il est très silencieux.
    La luminosité était largement suffisante en 3,6 m de base en pleine journée dans une pièce plein sud occultée par des stores avec le laser à 8/10 et la luminosité par défaut (50%).
    J’ai hâte

  63. Squallouh dit :

    Hello Greg, hello tous,
    Pour ce projecteur, quel type de toile et quel gain serait le plus adapté ?
    J’ai bien vu que le gain a 1.2 rendait le speckle trop visible, mais pour autant je n’ai pas vu de recommandation sur le gain le plus adapté.
    Merci à tous

  64. lomac123 dit :

    Il semblerait que la meilleure solution c’est une toile avec un gain de 0.5 (bon pour le contraste) ou une toile blanche

  65. gozzima dit :

    Je viens de bricoler un support mural pour installer le vidéoproj tête en bas au mur de mon salon au niveau du haut de l’image.
    Voici le support : https://photos.app.goo.gl/oLVxP6cRfFGjQqnf9
    Le principe est de poser le dessus du pied sur les 2 planches horizontales pour qu’il soit bien calé dans l’axe orthogonal au mur.
    Photos de l’installation à venir demain.
    Bon bout d’an à toutes et tous !

  66. gozzima dit :

    @mikehughesc, j’ai activé le eARC sur le mien et je peux contrôler le son de mon ampli Denon sans problème.
    J’ai un problème de cable HDMI de mauvaise qualité qui provoque des interruptions de son (et d’image dans l’autre sens) par contre mais je suis quasi sûr que ça vient du câble qui est long (15 m), n’est pas en fibre et d’une marque low cost.
    Le nouveau câble arrive samedi : je ferai un retour ici.

  67. Squallouh dit :

    @mikehughesc : combien d’équipements sont connectés au total et sur lesquels tu as activé le CEC ?
    Là limite actuelle est de 3 adresses CEC donc peut être que ton ampli n’a pas été dans les premiers à s’ajouter sur ton projecteur. Dans ce cas réinitialiser le cec du projecteur (si ça fonctionne comme une tv) puis allumer tes équipements et activer leur cec dans ton ordre de prefererence, mais si tu en as plus de 3, certains ne fonctionneront pas en CEC.

  68. Adel dit :

    Bonjour Greg ,bonne année 2025 ,merci pour ce magnifque test.

    1. GregW dit :

      Merci Adel et très bonne année 2025 à toi également.

  69. kris bdx dit :

    Bonjour Greg et bonjour à tous.
    Je m’inquiète un peu sur le sujet suspension au plafond que tu as peut être résolu mais que je n’ai vu passé je partiellement. Je sors de chez panajou bordeaux qui a le leica en démo ( sur une étagère à 4 m de haut ), et ils ont appelé un représentant de chez Leica pour m’affirmer que le projecteur n’était pas destiné à être suspendu au plafond, et que ni préequiment physique ou logiciel ne permettait de le mettre la tête en bas. Est ce que tu as regardé toi qui en possède un ? Merci infiniment

    1. GregW dit :

      Et bien ils t’ont raconté des fadaises. Le premier Leica que j’ai calibré a été installé au plafond par son propriétaire. Certes il a bricolé un dispositif physique pour la faire mais l’option de projection en mode plafond existe bien dans les menus du projecteur. Voici le résultat en image :

      https://www.mondoprojos.fr/wp-content/uploads/2024/12/20241126_092411.jpeg

      https://www.mondoprojos.fr/wp-content/uploads/2024/12/20241125_192152.jpeg

  70. kris bdx dit :

    Haaa ok avec les photos je comprends mieux. oui Il faut se faire une install un peu maison mais en tout cas dans les menus cela existe. Parfait. Je fonce !! Merci infiniment. Je vais piquer l’idée de l’install’.

  71. Jad dit :

    Bonjour kris,
    Pas besoin de se prendre la tête, si tu as une fixation au plafond universel, il suffit de prendre une vis plus longue est le tour est joué.
    Bonne soirée

  72. Jad dit :

    Pour plus de clarté, il faut dévisser les 2 vis du socle/base du projo et prendre 2 vis plus longue tout en respectant le dépassement des vis du socle une fois retiré (à l’aide d’une règle ou autre). Petit tips supplémentaire rajouter si besoin des rondelles entre les vis et le socle pour rendre la surface à niveau entre les trous et le socle en général pour une connexion parfaite et aucun jeu. Bon courage

  73. mikehughesc dit :

    @gozzima et @Squallouh – Merci, j’ai trouvé le problème – ce n’est pas le Leica, mais un switch HDMI que j’utilise entre le projecteur et mes appareils de streaming, DVD, TV, etc. Pas de souci, je devrai me lever du fauteuil pour régler le volume!

    Une autre chose qui me laisse perplexe est que, bien que le menu système comprenne l’option de réglage du délai de synchronisation labiale, cette option est désactivée lorsque vous sélectionnez la sortie audio Bluetooth. Or, la sortie audio Bluetooth est exactement la situation où l’on aura probablement besoin de cette option !

    J’ai essayé d’obtenir une réponse à ce sujet auprès du support Hisense/VIDAA et de Leica, mais ils sont tous totalement inutiles. Pour un projecteur de ce prix et de cette qualité, le service client est épouvantable !

  74. Ptit_Philou dit :

    @mikehughesc : vu le prix du Leica, tu vas faire l’effort de brancher une barre de son en HDMI e-ARC ! 🙂
    Sinon Android gère plutôt bien la synchro audio sur les enceintes Bluetooth avec les applications vidéo…

  75. Squallouh dit :

    @mikehughesc,
    Super si tu as trouvé le soucis, en effet je n’avais pas demandé comment tout étais raccordé, j’avais compris que tes équipements étaient raccordés sur un ampli HC. Cela veut dire que tu as un switch hdmi en plus? Et que ce dernier n’est pas compatible ARC/eARC ?
    Ou c’est lié à ta config de raccordement car tu as des contraintes spécifiques ?
    En tout cas preneur de ton retour sur le projecteur et notamment sur le speckle laser 😉
    Bonne soirée

  76. kris bdx dit :

    Je dois avouer que le point sur les noirs peu profonds et peu engageant. Je sors d’un HW 65 es . Je n’arrive pas à imaginer le gap entre les deux. Si les noirs et le contraste seront quand même bien améliorés sur le leica

  77. Jad dit :

    @kris bdx, avec un écran technique si tu projetés depuis le bas vers le haut tu auras un très bon niveau de contraste, surtout avec une calibration.
    Moi ma config est un peu particulière je ne peux pas faire depuis le bas vers le haut mais inversement sinon j’aurais trop de spéckle. J’attends de trouver une solution rapidement pour l’ecran avant de le rendre ou le garder et faire une calibration avec l’écran retenu.

  78. Jad dit :

    Correctif: il faut comprendre que dans ma config il y a trop de spéckle. Je dois trouver un écran qui attenue sinon je le rends ou trouve le parfait écran.

  79. kris bdx dit :

    Pour ma part ce sera un projection depuis plafond

  80. Jad dit :

    Comme moi depuis le plafond. C’est quoi ta toile ?

  81. Jad dit :

    @greg
    Il y a un magasin en France avec qui j’ai échangé et m’ont conseillé un lumene Movie palace 4k/8k platinum mais j’ai l’impression que c’est blanc et me fera pas gagner en contraste.

    Et sinon après avoir échangé avec des vendeurs de toile sur Ali me disent que pour la config depuis le plafond cette toile marchera bien sans effet spéckle.
    Tu en penses quoi par rapport aux caractéristiques ? Je sais que tu ne l’as pas essayé mais tu as testé pas mal de toile don voilà.
    Merci encore pour ton aide.

    https://a.aliexpress.com/_Evbz7Fq

    1. GregW dit :

      Ouch le Gain est de 1.5, je ne recommande pas
      du tout avec le Leica. Soit tu prends une toile blanche soit un écran technique avec gain de 0.6 ou moins.

  82. kris bdx dit :

    C’était aussi ma demande . J’ai pour le moment un mur avec une peinture dédiée ( je sais faut pas ), mais je compte investir (1000 e) dans une toile motorisée . Je me demandais si une toile grise était bienvenue ou pas ( merci pour tes conseils au passage )

  83. GregW dit :

    Bonne nouvelle pour ceux qui cherchent un support plafond pour le Leica Ciné play 1. Celexon va prochainement proposer un modèle spécifique à ce projecteur à partir de cette version :

    https://celexon.com/fr-fr/products/support-universel-pour-plafond-celexon-multicel-expert?_pos=3&_psq=multicel&_ss=e&_v=1.0&variant=47955154993497

  84. Squallouh dit :

    @jad ça sent le son & vidéo ta référence 😉
    Je les ai eu de mon coté pour le Leica, après j’avais dit que je cherchais un gain de 1. Et à priori, quand ils ont testé le Leica ça s’est fait dans leur magasin de Rennes et ils avaient utilisé ce type d’écran : Movie Palace UHD 4K
    Donc un écran blanc avec un gain de 1. Mais leur condition de test n’était pas dans une salle dédiée dans l’obscurité.
    https://www.son-video.com/article/accessoires-ecrans-de-projection-ecrans-de-projection-fixes/lumene/movie-palace-uhd-4k-velvet-screen-240c
    @greg tu en penses quoi ?
    Merci

    1. GregW dit :

      C’est déjà mieux que l’ALR 1.5.

  85. Jad dit :

    @squallouh : guilty 🙂
    Tu m’as démasqué.
    Donc leur test c’était sur cet écran avec la toile lumene dans une pièce ouverte sans contrôle de lumière? Donc idéal ou pas pour pour ceux qui ont des salons avec peinture claire ou blanche sur les murs et plafonds, ?
    je commence à être perdu à lire tout et son contraire et surtout fatigué.
    Je sais que l’idéal serait de le mettre sur pied et projeté depuis le bas vers le haut avec l’écran de nothingprojector.com mais pas pratique pour moi.

  86. Jad dit :

    J’ai relu leur test c’était dans les 2 conditions mais surtout en pièce dédiée avec cet écran.

  87. mikehughesc dit :

    @Ptit_Philou et @Squallouh – merci – et oui j’aurais dû expliquer que j’ai un switch HDMI avec 2 sorties (dont le Leica et une vieille télé) et plusieurs entrées (box de streaming, lecteur DVD etc). Ce switch a une sortie SPDIF pour l’audio ARC, et mon amplificateur hi-fi et mes haut-parleurs (qui sont un peu vieux mais de bonne qualité) sont connectés à cela (via un DAC). Je n’ai donc pas besoin d’une barre de son et je ne suis pas sûr que cela vaille la peine d’en acheter une juste pour éviter d’avoir à se lever du canapé pour changer le volume !

    Il est logique que le switch HDMI ne puisse pas répondre au contrôle du volume via CEC, car il émet de l’audio numérique SPDIF et le contrôle du volume devrait normalement se produire à l’étape de l’amplification, et non à l’entrée.

    @Squallouh – en ce qui concerne le speckle laser, je ne sais pas vraiment quoi chercher – je suis plutôt nouveau dans le monde des projecteurs – mais je n’ai certainement pas remarqué de problème. Mis à part le problème ci-dessus, et le service client épouvantable, je suis très content de mon Leica !

  88. Squallouh dit :

    @jad
    Autant pour moi j’ai peut être mal compris. N’hésites pas à appeler le magasin de Nantes si besoin.
    En tout cas, c’est le type de toile qu’ils m’ont conseillé, mais je ne sais pas s’ils ont vérifié le speckle dessus.
    @+

  89. Squallouh dit :

    @mikehughesc: ok top. Merci pour le retour. Oui pas besoin de barre de son dans ces conditions 😉

  90. Jad dit :

    @squallouh @kris bdx
    Je viens de tester une toile grise sans cadre (toujours dispo sur Amazon et Ali, ma toute première toile que j’avais utilisé avec un cadre fait par mes soins et que j’avais conservé au sous sol.
    Dans la config projo inversé au plafond, pas d’effet spéckle. Par contre, il y a par moment juste des paillettes mais peu visible en séance de visionnage en tout cas plus reposant que l’effet spéckle, l’image est nette et précise.
    En parallèle, j’ai demandé à un autre vendeur ce qu’il préconisait dans la config.
    Il m’a dit avec cette toile pas d’effet spéckle, elle est conçu pour fonctionner avec des projo triple laser.
    Je vais sûrement la tester voire si elle marche mieux que la toile que j’ai et si besoin la renvoyer si elle ne convient pas.
    @greg dans la mesure où cette toile convient bien, comment faire je dois envoyer et la toile et le projo pour calibration ?

    Merci

    1. GregW dit :

      Non, il n’est pas possible de m’envoyer l’écran pour des raisons logistiques simples. Je peux cependant utiliser l’une de mes toiles qui se rapproche, en termes de Gain et de texture.

      Je vous conseille de vous méfier des recommandations des vendeurs sur ce site et vous remercie de cesser de publier des liens y faisant référence. Je rappelle que, pour réduire le Speckle, il est préférable d’opter pour une toile ayant un Gain de 0.6 ou moins, ou à défaut, une toile blanche. Si vous ne me croyez pas, vous êtes libres de tester d’autres solutions, mais au moins j’aurai rempli mon rôle d’avertir à titre préventif.

  91. Jad dit :

    @greg, désolé d’avoir publié des liens, je ne pensais pas à mal ou quoi que ce soit.
    Jai bien pris en compte tes recommandations, un écran avec gain 0.6 est bien en cours aussi, je vais tester cet écran également, je voulais juste tester et opter le meilleur pour ma config.
    Je me doute que si tu as un écran équivalent pas besoin de te l’envoyer pour calibration mais c’était dans l’optique si tu ne l’avais pas.
    En tout cas merci pour tes précieux conseils

  92. GregW dit :

    Pas de souci mais je ne supporte pas ce site web où on trouve tout et n’importe quoi et rarement des conseils professionnels.

  93. Squallouh dit :

    Merci @Greg pour ton retour, je ne savais pas pour l’utilisation des liens externes.
    Concernant les toiles blanches as tu des références à conseiller?
    Quelle est la référence de ta toile blanche de référence (justement 🙂 ).
    Sinon as tu des enseignes vers qui nous pouvons nous tourner pour des conseilles ?
    Merci

    1. GregW dit :

      Ma toile de test m’a été confectionnée sur mesures pour mes tests.😊

      Celexon, passion home cinéma pour les conseils sur les toiles blanches.

  94. kris bdx dit :

    D’ailleurs, j’ai du mal à trouver des toiles motorisées en 0.6 . Et en 135 pouces . Une recommandation ?

  95. kris bdx dit :

    Greg, aurais tu par hasard des photo du pied sans le socle , pour voir la largeur des pas de vis ? Il se pourrait que je suspende le leica avec deux aimants a un H qui est apparent et situé a 3.00 m du mur de projection

  96. Jad dit :

    @ kris bdx, tu veux l’entraxe ?
    J’ai un système de fixation universelle que j’ai utilisé pour le fixer.
    J’ai donné des explications plus haut pour le fixer.
    Bien à toi

  97. kris bdx dit :

    Salut. Je le reçois demain et au final il me sera facile de le mettre au plafond. Je vais pincer la balancelle sur la surface d’un IPN (H) qui est pile au dessus de mon canapé . J’enverrai des photos si ça intéresse

  98. Thierry34070 dit :

    Bonjour,
    J’ai reçu le Leica cine play 1 hier après midi et j’aimerai vous poser une petite question? J’ai cherché dans les menus mais je n’ai pas trouvé les informations sur le vidéo projecteur concernant le nombre d’heure d’utilisation de l’appareil. Si vous avez la réponse, merci d’avance. Bonne journée.
    Thierry

  99. Ptit_Philou dit :

    @Thierry34070 : Si tous les projecteurs chinois sont comme les Fengmi, ce n’est pas affiché : c’est moins utile que sur un projecteur à lampe, dont la durée de vie est courte.
    A voir si des applis/Tools permettent d’accéder aux infos et menus pour les ingénieurs du fabricant, comme dans Projectivy Launcher…

  100. lomac123 dit :

    Sur mon C2ultra et je pense que c’est la même chose sur le Leica, tu vas sur support, cherche dans les sous menu tu trouvera le nombre de jour, heures et minutes, tu trouvera également quelle sorte de source le Beamer projette. C’est vraiment un chinois qui l’a caché là !

  101. lmds dit :

    Bonjour à tous,
    Merci Greg pour tes tests.
    Pour info, je partage mes tests de toiles : après avoir utilisé un Hisense C2 Ultra (rendu) et aujourd’hui un Leica Cine 1, je me suis rendu compte de l’effet speckle avec une toile Vividstorm 92″ ALR Obsidian (gain 0,8), en la comparant avec une toile blanche Oray (écran Oray Butterfly manuel).
    Au final, je souhaitais une toile automatique. Je me suis donc tourné vers une toile Vividstorm 92″ S White Electric Tension Floor Screen, un peu moins lumineuse que l’Oray, mais sans aucun speckle.

  102. Dale Coop dit :

    Bonjour à tous,
    Merci bcp Greg pour ce test !
    Je pense sérieusement à acquérir ce Cine 1, mais je voudrais m’assurer avant ça qu’il dispose du même confort d’utilisation que mon projo actuel (Xgimi Horizon), à savoir un silence quasi complet d’utilisation. J’avais par exemple été gêné par le mise en marche régulière du ventilateur sur Hicence C2 (même à un niveau sonore très bas). Est -ce que l’un ou l’autre des heureux possesseurs du Cine 1 peuvent confirmer le niveau sonore très bas et l’absence de mise en marche régulière du ventilo ?
    Merci par avance !

  103. Scola dit :

    Bonsoir @lmds,

    Je compte m’acheter le Hisense C2 Ultra et je suis un peu perdu avec toutes les références de toiles sur Vividstorm.
    Je vois que tu fais mention du Vividstorm 92″ S White Electric Tension Floor Screen.
    S’agit-il bien de la référence « VSDSTW92H » ?

    Merci beaucoup.

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