Ces derniers mois ont été marqués par de nombreuses nouveautés chez Hisense, avec deux tests exclusifs publiés sur mondoprojos : le PX3-Pro, un triple laser à ultra courte focale (double Gold Award), et le modèle Lifestyle C2 Ultra, également équipé d'une source lumineuse triple laser, mais avec une focale classique (double Gold Award). Le constructeur chinois multiplie les distinctions, et c'est dans ce contexte élogieux que le nouveau PL2 est arrivé dans ma salle de tests. Ce vidéoprojecteur à ultra courte focale utilise une technologie mono-laser, ce qui le rend plus abordable que les modèles TriChroma, mais sans sacrifier ses performances : large gamme de couleurs, compatibilité avec tous les formats vidéo actuels, support de Dolby Vision, HDR10+, 3D et son Dolby Atmos. Cependant, je dois d'emblée vous avertir que le PL2 m'a donné du fil à retordre, notamment en ce qui concerne la gestion des couleurs et du gamma. Dans ces conditions, il est peu probable que les lauriers soient au rendez-vous dans la conclusion de ce nouveau banc d'essai.
L'Hisense PL2 est actuellement commercialisé à 2799€.
L'Hisense PL2 se distingue comme une station multimédia complète, dotée d'un système sonore intégré de 2x15W. Grâce à sa technologie mono-laser basée sur un laser bleu et une roue au phosphore, il offre une projection efficace avec un rapport de projection ultra-court de 0,22:1, permettant de créer une image de grande taille même à faible distance.
Il se positionne dans la gamme "Laser cinéma" du constructeur, avec une focale variable permettant une projection allant de 80 à 150 pouces de diagonale, contrairement aux modèles "Laser TV" qui sont fixés sur une seule taille d'image.
Ce projecteur utilise une puce DMD de 0,47 pouce couplée au traitement XPR 4K pour émuler une résolution UHD. Il prend en charge une gamme complète de formats vidéo, y compris SDR, HDR10, HDR10+, HLG et Dolby Vision, offrant ainsi une flexibilité importante pour s'adapter à différents types de contenu. Parmi les fonctionnalités marquantes, on note la compatibilité 3D, une option de plus en plus rare sur les projecteurs récents, ce qui lui confère un attrait supplémentaire pour les cinéphiles nostalgiques de cette technologie.
Le PL2 fonctionne sous Vidaa U7, un système d'exploitation intégré qui donne accès directement aux principales plateformes de streaming comme Netflix, Disney+, Prime Video, YouTube et Deezer, éliminant ainsi le besoin d'un dispositif externe. En termes de connectivité, il propose trois ports HDMI, dont un en version 2.1, ainsi qu'une prise eARC.
Le Wi-Fi 6E et le Bluetooth viennent compléter les options de connectivité sans fil. En ce qui concerne la lecture de contenu multimédia, le projecteur est équipé d'un lecteur intégré capable de lire des fichiers via une connexion réseau ou directement depuis deux ports USB.
La télécommande fournie, empruntée au modèle PX3 Pro, se distingue par son capteur solaire, permettant une recharge écologique en pleine lumière, une solution à la fois pratique et respectueuse de l'environnement.
L'Hisense PL2, en termes de design, est identique à son prédécesseur, le PL1. Il conserve la même forme, les mêmes dimensions compactes et la même finition gris foncé élégante, conférant un aspect moderne et discret qui s’intègre facilement dans n’importe quel intérieur.
Cependant, l’une des grandes améliorations du PL2 réside dans son bloc optique, qui offre un rapport de projection plus court de 0,22:1 contre 0,25:1 pour le PL1. Ce changement est à mes yeux un avantage majeur, car il permet de projeter une grande image à une distance encore plus réduite, éliminant ainsi l’une des faiblesses du modèle précédent ce qui est un véritable atout pour les espaces restreints.
Sous l’appareil, deux pieds à vis permettent d’ajuster la hauteur de l’image de manière mécanique, bien qu’il ne dispose pas de zoom optique, obligeant l’utilisateur à ajuster la taille de l’image en déplaçant le projecteur.
Côté connectique, le PL2 est bien équipé, avec trois ports HDMI (dont un en version 2.1 et un autre en 2.0 eARC), deux ports USB-A (dont un 3.0), un port Ethernet RJ45, une sortie optique SPDIF, ainsi que le Bluetooth et le Wi-Fi. L'un des ports USB est d’ailleurs placé sur le côté du projecteur pour un accès plus pratique.
Sa télécommande, identique à celle du PX3 Pro, est grande et longue, offrant une prise en main confortable. Elle se distingue par la présence d’un capteur solaire pour une recharge écologique, en complément de la recharge USB-C de sa batterie intégrée, une solution ingénieuse et pratique pour éviter de changer les piles.
L'Hisense PL2, équipé de son système d'exploitation maison Vidaa U7, se positionne comme une solution complète pour le divertissement à domicile. Son interface intuitive et fluide permet un accès rapide aux principales plateformes de streaming telles que Netflix, Prime Video, Disney+, et bien d'autres, offrant des versions complètes avec une prise en charge des résolutions 4K HDR, Dolby Vision et HDR10+ pour une qualité d'image optimale, à condition que votre connexion internet soit suffisante.
Vidaa U7 propose également une large gamme de fonctionnalités pour une expérience utilisateur enrichie. Vous y retrouverez notamment Apple Airplay 2 pour la diffusion de contenus depuis vos appareils Apple, le transfert d'écran Android pour une compatibilité avec les smartphones et tablettes, ainsi que la connectivité Alexa et la commande vocale, facilitant l'interaction avec le projecteur sans même toucher à la télécommande.
Le lecteur multimédia intégré au PL2 permet de lire une grande variété de fichiers, qu'ils soient stockés sur clé USB ou disque dur externe, et ce, qu'ils soient formatés en NTFS ou FAT32. Il prend en charge un large éventail de formats vidéo (AVI, MP4, MKV, etc.), audio (MP3, FLAC, WAV, etc.), ainsi qu'image (JPEG, PNG, GIF, etc.), garantissant ainsi une compatibilité avec la plupart des contenus numériques.
En termes de paramétrages d'image, le PL2 excelle grâce à un CMS (Color Management System) complet, permettant des ajustements fins de la teinte, saturation et luminosité. Il inclut également un réglage précis de l'échelle de gris sur 2 ou 20 points, avec la possibilité de différencier offset et gain, et un éditeur de Gamma pour un contrôle encore plus poussé des niveaux de luminosité.
Le traitement vidéo du PL2 comprend un mode d'interpolation des images, assurant une fluidité accrue et une lecture sans saccades des films en 24p. Ce mode peut être réglé de manière individuelle sur 10 niveaux pour ajuster la netteté et la fluidité selon les préférences de l'utilisateur, et dispose également de plusieurs préréglages pour faciliter l'utilisation.
Côté gamers, le PL2 répond aux attentes grâce à son support des signaux 1080p à 120Hz, ainsi que son mode ALLM (Auto Low Latency Mode) activable via la prise HDMI 2.1, garantissant une réactivité optimale avec une réduction des traitements vidéo superflus, minimisant ainsi le lag pour une expérience de jeu fluide.
Le projecteur propose différents modes d'image adaptés à la source détectée : pour le SDR, les modes incluent "standard", "cinéma jour", "cinéma nuit", "dynamique", "sport", et "filmmaker mode". En HDR, les options se déclinent en "standard", "cinéma", "filmmaker mode" et "dynamique", tandis que pour le Dolby Vision, les modes "lumineux", "sombre", "personnalisé" sont disponibles. La luminosité du projecteur est ajustable avec une précision de 0 à 10, et une gestion dynamique du contraste est intégrée pour optimiser la qualité de l'image en fonction de la scène.
Enfin, une option dédiée à la configuration du type et de la taille d’écran associé au projecteur est proposée, pour une calibration idéale. Par rapport à son prédécesseur, le PL1, le PL2 introduit la compatibilité avec les programmes IMAX Enhanced, diffusés notamment sur Disney+, et renforce l’optimisation de l'image via une intelligence artificielle avancée.
Bruit de fonctionnement et qualité du système sonore intégré :
Projecteur éteint le bruit résiduel dans ma pièce de tests est de 35 dB, après mise à marche je relève une différence de 1,7 dB. C'est mieux que le PL1 qui était un peu plus bruyant. Le PL2 ne troublera votre soirée cinéma par un bruit de ventilation trop présent.
Le système sonore intégré doit être qualifié de moyen, si les aigus sont bien restitués, il manque de coffre et la spacialisation Dolby Atmos est vraiment discrète. Nous ne sommes pas dans le niveau de performances d'un système Bower&Wilkins qui équipe les projecteurs Formovie Theater. Mieux vaut coupler le PL2 à un système externe si vous le pouvez.
Consommation électrique :
A la puissance maximum du laser (soit 10), je relève une consommation énergétique de 221W. En réduisant de moitié le niveau les besoins en électricité s’abaissent à 188,3W. Des besoins en électricité proches de ceux du PL1.
Piqué et netteté :
Le PL2 est un champion de la précision de l'image. Elle peut être encore accentuée par une option de super résolution mais avec des résultats inégaux en fonction des sources, Si elle peut sublimer quelques très bons masters, elle a tendance à rajouter des effets indésirables sur des programmes plus moyens. Personnellement j'ai préféré laisse cette option désactivée. La précision est déjà excellente du centre aux bords de l'écran.
Fluidité :
L'Hisense PL2 affiche toujours un léger judder lors de la lecture de sources en 1080p24, un phénomène qui peut être atténué ou même éliminé en activant l'interpolation d'images. Ce procédé génère des images intermédiaires afin d'assurer une plus grande netteté des mouvements, offrant ainsi une lecture fluide des films en 24p sans l'effet saccadé du judder. En plus de ses préréglages, il propose un ajustement individuel de la réduction du judder avec un réglage sur 10 niveaux. Pour ma part, j'utilise le mode utilisateur que je règle sur 7, ce qui représente le meilleur compromis à mes yeux : l'image devient fluide et sans défaut, tout en conservant des mouvements naturels.
Input lag :
Dans le mode jeu, j'ai mesuré un input lag de 44,9 ms sur une source UHD à 60 Hz, ce qui représente une légère amélioration par rapport au PL1. Bien que ce chiffre ne soit pas parmi les plus bas du marché, il reste tout à fait acceptable pour une utilisation en Gaming, notamment en réseau, et permet au PL2 de recevoir la recommandation de mondoprojos pour les jeux vidéo en ligne, grâce à un input lag inférieur à 50 ms. Un autre point notable est la compatibilité du PL2 avec une fréquence de rafraîchissement de 240 Hz sur des sources 1080p, ce qui permet de réduire encore l'input lag de 4x, améliorant ainsi la réactivité du projecteur pour les joueurs exigeants.
Overscan et cadre gris externe des puces DMD 0,47 :
En ce qui concerne l'overscan, le PL2 se distingue par le fait que le réglage de cropping est désactivé par défaut, ce qui signifie qu'aucun rognage n'est appliqué à l'image. Cela garantit que l'image projetée conserve l'intégralité de son contenu, mais expose également un autre inconvénient : la présence du cadre gris typique des puces DMD 0,47". Ce phénomène, causé par les micro-miroirs inactifs de la puce, était presque imperceptible sur le PL1, mais sur le PL2, il est bien visible. Un cadre gris d'environ 2 centimètres de large entoure ainsi toute l'image utile, ce qui peut être gênant dans certaines configurations de projection, surtout sur des fonds sombres.
Speckle laser :
Quant au phénomène de speckle laser, qui se manifeste par de petites scintillations lumineuses visibles sur les images claires, souvent dues à la nature cohérente de la lumière laser, le PL2 a réussi à totalement éliminer ce défaut visuel. Ce progrès est particulièrement notable, car le speckle peut être un problème courant avec les projecteurs à source laser, rendant l’image moins homogène et gênant la qualité perçue. Sur le PL2, aucune trace de ce dernier n'est apparue durant mes tests, offrant ainsi une image nette et sans artefact indésirables.
Colorimétrie et Gamma :
La colorimétrie de l'Hisense PL2, avec sa source lumineuse mono-laser, montre clairement ses limites par rapport aux modèles équipés de la technologie TriChroma. Il parvient à couvrir 65,13 % du BT.2020 et 84,73 % du DCI-P3, ce qui reste inférieur aux performances des projecteurs à triple laser, notamment en termes de richesse des couleurs.
Si vous avez suivi mes précédents tests de projecteurs Hisense, vous savez que j’apprécie particulièrement la gestion des couleurs et du Gamma chez cette marque, car ces aspects sont habituellement bien maîtrisés et facilitent grandement le travail de calibrage que j’effectue sur chaque modèle. Cependant, le PL2 a été une véritable épreuve. Un bug m’a obligé à passer de longues nuits à chercher une combinaison satisfaisante pour tenter de le calibrer correctement. Je dis bien tenter, car même après de nombreux essais, je ne suis pas entièrement satisfait des résultats obtenus, notamment lors des vérifications avec le Color Checker. Avant d'entrer dans les détails de cette mésaventure, il est intéressant d'analyser les préréglages d'usine proposés par la marque. Aucun ne permet de descendre sous une température de couleur de 9000K, ce qui entraîne une image trop froide, dominée par des teintes bleutées, loin des standards attendus pour une projection équilibrée.
Les écarts deltaE (le niveau d'erreur) sont également préoccupants, bien au-delà du seuil de perception de 3 pour un utilisateur non professionnel. Le problème principal, et la source de mes difficultés, provient toutefois de la gestion du Gamma. Bien que les valeurs affichées soient proches de 2,2, les courbes présentent une descente marquée au-delà de 50 IRE. Le PL2 propose plusieurs préréglages de Gamma (2.0, 2.2, 2.4, 2.6 et BT1886) pour les sources SDR, ainsi qu'un éditeur de Gamma pour des ajustements manuels. Avant tout calibrage, il est essentiel de désactiver tous les dispositifs de contraste dynamique, ce que j'ai bien sûr effectué. Pourtant, malgré cette vérification, mes courbes de Gamma restent "cassées", comme si le contraste dynamique restait actif en arrière-plan, ce qui pourrait également expliquer les niveaux de contraste étonnamment élevés que j'ai relevés lors de mes tests.
Après avoir calibré le PL2 en utilisant le préréglage Gamma BT1886 et en appliquant des corrections sur l'échelle de gris, le contraste, la luminosité et le CMS, j'ai réussi à obtenir une température de couleurs de 6594K avec un écart deltaE réduit à 1,3, ce qui est satisfaisant. Cependant, je parviens habituellement à réduire cet écart à des niveaux inférieurs à 1 avec d'autres modèles Hisense. Ce qui reste problématique, c'est que malgré ces ajustements, le Color Checker continue d'afficher un deltaE trop élevé de 4,2, indiquant des écarts visibles pour certaines couleurs. J'ai contacté la marque à ce sujet, car je suspecte qu'une option de contraste dynamique non désactivable soit à l'origine de cette situation, et j'attends leur retour pour en savoir plus.
Gestion HDR :
La gestion du HDR et du Dolby Vision par l'Hisense PL2 repose sur un système de reconnaissance automatisée des métadonnées, qui fonctionne assez bien pour les sources HDR10, mais de manière moins précise avec les contenus Dolby Vision. En effet, la courbe EOTF, qui détermine la réponse tonale de l’image, présente plus d’erreurs en Dolby Vision qu'en HDR10, ce qui peut affecter la fidélité du rendu lumineux et des détails dans les zones claires et sombres.
Aucun de ces deux modes ne donne des résultats vraiment satisfaisants en sortie de boîte, que ce soit pour l'échelle de gris ou le Color Checker, rendant nécessaire une calibration approfondie pour optimiser la reproduction des couleurs et améliorer la précision des contrastes dans ces formats. Une fois calibré, le PL2 peut mieux exploiter les capacités de ses formats HDR.
Contraste et luminosité :
Le constructeur annonce une luminosité de 2700 lumens pour le PL2, mais lors de mes tests, j'ai mesuré un maximum de 1676 lumens en mode dynamique, en sortie de boîte. Après calibrage, cette valeur se réduit à 1230 lumens, ce qui reste suffisant pour maintenir une luminance de 16 fL sur une source SDR, avec une base d'image de 3,56 m. Il est important de préciser que mes mesures de luminosité sont effectuées avec des sondes orientées vers mon écran blanc de référence (gain 1), utilisé pour tous mes tests depuis deux ans. Ces mesures reflètent donc fidèlement la luminosité perçue par l'œil humain, car elles sont prises sur la lumière reflétée par l'écran, offrant ainsi une évaluation réaliste de l'expérience du spectateur. Certains testeurs utilisent un luxmètre dirigé vers le projecteur pour évaluer la luminosité, mais cette méthode ne correspond pas à la réalité de la projection.
Concernant le contraste, le PL2 se montre très performant. Cela se vérifie facilement grâce aux mesures du niveau de noir en cd/m², où, dès que les valeurs commencent par 0,0XXX, on peut garantir un projecteur à l'aise avec les scènes sombres. Mes mesures confirment un contraste séquentiel de 2226:1 après calibrage. L'activation du contraste dynamique a peu d'impact sur ces mesures, mais en sélectionnant le mode "bas", les noirs sont encore améliorés, sans l'effet de pompage souvent observé dans d'autres projecteurs.
La précision du PL2 est exemplaire. En visionnant les scènes "d'Aliens" en 4K HDR, j'ai découvert une plasticité, un lissé et un réalisme que je n'avais jamais perçus sur ce film auparavant. La netteté de l'image est magnifiquement rehaussée par l'excellent contraste du projecteur. Je vous assure, contraste et sensation de définition de l'image sont indissociables. Les séquences de recherches des colons dans les sous-sols, par exemple, sont parfaitement restituées grâce au piqué et au contraste du PL2, offrant une immersion impressionnante.
Si je devais juger ce projecteur uniquement sur ces deux critères, il décrocherait sans hésitation la récompense ultime de mondoprojos. Cependant, en tant qu'amoureux de la précision des couleurs, je suis un peu déçu par le rendu colorimétrique de ce modèle. Nous sommes loin des performances que peuvent offrir les PX3 Pro et C2 Ultra une fois calibrés. Ce n’est pas seulement une question de Gamut plus large, mais aussi de la justesse des couleurs post-calibrage, qui est essentielle pour restituer fidèlement l'intention du réalisateur. Malheureusement, le PL2 échoue dans ce domaine.
Vous l'aurez compris, je termine ce test du PL2 avec des sentiments mitigés, entre surprise et déception. Après avoir réalisé des calibrages minutieux sur les PX3 Pro et C2 Ultra, je m'attendais à ce que le PL2, disposant des mêmes options de réglage que ses homologues TriChroma, soit facile à calibrer. Pourtant, je me suis lourdement trompé. Un modèle défectueux ou un problème lié à ce contraste adaptatif qui semble impossible à désactiver ? Les deux hypothèses restent sur la table, et j'attends avec impatience le retour du constructeur sur ces interrogations. C'est d'autant plus regrettable qu'il apporte des améliorations notables comme une prise HDMI supplémentaire et un rapport de projection plus court, ce qui aurait pu en faire un modèle très compétitif. Cependant, au vu de mon expérience avec ce projecteur, je ne suis malheureusement pas en mesure de lui décerner un Award mondoprojos.
J'ai apprécié :
Je regrette :
In recent months, Hisense has introduced several new products, with two exclusive reviews published on mondoprojos: the PX3-Pro, a triple laser ultra-short throw projector (double Gold Award), and the Lifestyle C2 Ultra, also featuring a triple laser light source but with a standard throw (double Gold Award). The Chinese manufacturer has been accumulating accolades, and it was in this positive context that the new PL2 arrived in my test room. This ultra-short throw projector uses mono-laser technology, making it more affordable than TriChroma models but without sacrificing performance: a wide color gamut, compatibility with all current video formats, support for Dolby Vision, HDR10+, 3D, and Dolby Atmos sound. However, I must warn you upfront that the PL2 gave me a hard time, especially regarding color and gamma management. Under these circumstances, it's unlikely this projector will be crowned with the same accolades at the end of this review.
The Hisense PL2 is currently priced at €2799.
The Hisense PL2 stands out as a complete multimedia station, featuring an integrated 2x15W sound system. Thanks to its mono-laser technology, based on a blue laser and a phosphor wheel, it offers efficient projection with an ultra-short throw ratio of 0.22:1, allowing for a large image at a short distance.
It fits within the brand's "Laser Cinema" range, offering variable focus for projection sizes from 80 to 150 inches diagonally, unlike "Laser TV" models which are fixed to a single image size. This projector uses a 0.47-inch DMD chip combined with XPR 4K processing to emulate UHD resolution. It supports a wide range of video formats, including SDR, HDR10, HDR10+, HLG, and Dolby Vision, providing significant flexibility for adapting to different types of content.
Among its standout features is 3D compatibility, a feature increasingly rare in modern projectors, making it an attractive option for cinephiles nostalgic for this technology. The PL2 runs on Vidaa U7, an integrated operating system that provides direct access to major streaming platforms such as Netflix, Disney+, Prime Video, YouTube, and Deezer, eliminating the need for an external device. In terms of connectivity, it offers three HDMI ports, including one in version 2.1 and another with eARC support. Wi-Fi 6E and Bluetooth round out the wireless connectivity options. For multimedia content playback, the projector includes a built-in media player capable of reading files via a network connection or directly from two USB ports. The included remote, borrowed from the PX3 Pro model, stands out with its solar-powered sensor, allowing for eco-friendly recharging in sunlight—an efficient and practical solution.
In terms of design, the Hisense PL2 is identical to its predecessor, the PL1. It retains the same compact shape, dimensions, and sleek dark gray finish, giving it a modern and discreet look that fits easily into any interior.
However, one of the key improvements of the PL2 is its optical block, which offers a shorter throw ratio of 0.22:1 compared to 0.25:1 on the PL1. This change is a major advantage in my opinion, as it allows for a larger image at an even shorter distance, eliminating one of the previous model’s weaknesses and making it ideal for small spaces. Under the device, two adjustable feet allow for mechanical image height adjustment, though there is no optical zoom, meaning the size of the image is determined by the projector's placement.
In terms of connectivity, the PL2 is well-equipped, featuring three HDMI ports (including one in version 2.1 and another with eARC), two USB-A ports (one of which is 3.0), an Ethernet RJ45 port, an SPDIF optical output, as well as Bluetooth and Wi-Fi. One of the USB ports is conveniently located on the side of the projector for easier access.
The remote control, identical to the one included with the PX3 Pro, is large and long, providing a comfortable grip. It features a solar-powered sensor for eco-friendly recharging, along with USB-C charging for its integrated battery—an innovative and practical solution to avoid constantly changing batteries.
The Hisense PL2, running on its proprietary Vidaa U7 operating system, is positioned as a comprehensive home entertainment solution. Its intuitive and smooth interface allows for quick access to major streaming platforms like Netflix, Prime Video, Disney+, and more, offering full versions with support for 4K HDR, Dolby Vision, and HDR10+ resolutions, ensuring optimal image quality—provided your internet connection is sufficient. Vidaa U7 also offers a wide range of features for an enhanced user experience. You'll find Apple Airplay 2 for streaming from Apple devices, Android screen mirroring for compatibility with smartphones and tablets, as well as Alexa connectivity and voice commands, making it easier to interact with the projector without even touching the remote.
The PL2’s built-in media player allows for the playback of a wide variety of files, whether stored on a USB stick or external hard drive, supporting both NTFS and FAT32 formats. It is compatible with a broad array of video (AVI, MP4, MKV, etc.), audio (MP3, FLAC, WAV, etc.), and image formats (JPEG, PNG, GIF, etc.), ensuring compatibility with most digital content. In terms of image settings, the PL2 excels with a comprehensive Color Management System (CMS), allowing fine adjustments for hue, saturation, and brightness. It also includes precise grayscale calibration, with 2-point and 20-point adjustments, as well as an offset and gain distinction, along with a gamma editor for even more control over brightness levels. The PL2’s video processing includes a frame interpolation mode, ensuring smoother motion and judder-free playback of 24p films. This mode can be adjusted individually on a scale of 10 levels for sharpness and fluidity according to user preferences and includes predefined presets for ease of use.
For gamers, the PL2 meets expectations with support for 1080p signals at 120Hz and an ALLM (Auto Low Latency Mode) via its HDMI 2.1 port, ensuring optimal responsiveness with reduced video processing, minimizing lag for a smooth gaming experience. The projector offers different picture modes depending on the detected source: for SDR, modes include "standard," "day cinema," "night cinema," "dynamic," "sports," and "filmmaker mode." For HDR, the options are "standard," "cinema," and "dynamic," while for Dolby Vision, the available modes are "bright," "dark," and "customized."
The projector’s brightness can be adjusted from 0 to 10 for fine control, and dynamic contrast management is included to optimize image quality based on the scene. Finally, there is an option dedicated to configuring the type and size of the screen paired with the projector for ideal calibration. Compared to its predecessor, the PL1, the PL2 introduces compatibility with IMAX Enhanced content, available on platforms such as Disney+, and further enhances image optimization with advanced AI.
Operating Noise and Sound System Quality :
In my test room, the residual noise level is 35 dB with the projector off. Once powered on, I recorded a 1.7 dB increase, which is an improvement over the slightly noisier PL1. The PL2 won’t disturb your movie night with excessive fan noise.
The integrated sound system is average. While the high frequencies are well-reproduced, it lacks depth, and the Dolby Atmos spatialization is quite subtle. It's not on par with the performance of the Bowers & Wilkins system found in the Formovie Theater projectors. If possible, it's best to pair the PL2 with an external sound system.
Power Consumption :
At maximum laser power (set to 10), I measured an energy consumption of 221W. Reducing the level by half brings the energy requirements down to 188.3W, which is similar to the power consumption of the PL1.
Sharpness and Clarity :
The PL2 is a champion when it comes to image sharpness. This can be further enhanced with a super-resolution option, but the results vary depending on the source. While it can elevate some high-quality masters, it tends to add undesirable effects to lower-quality content. Personally, I preferred to leave this option disabled, as the native sharpness is already excellent from the center to the edges of the screen.
The Hisense PL2 exhibits slight judder when playing 1080p24 content, a phenomenon that can be reduced or even eliminated by activating frame interpolation. This process, called Smooth Motion by Hisense, generates intermediate frames to ensure smoother motion, providing judder-free 24p playback. In addition to its presets, Smooth Motion offers individual adjustments for judder reduction and sharpness, with a 10-level scale. Personally, I use the user mode set to 7, which I find to be the best compromise: the image is smooth and free of defects while maintaining natural movement.
Input lag :
In game mode, I measured an input lag of 44.9 ms on a UHD source at 60 Hz, a slight improvement over the PL1. While this figure is not the lowest on the market, it is acceptable for gaming, particularly in online multiplayer, and allows the PL2 to earn a recommendation from mondoprojos for network gaming, thanks to an input lag below 50 ms. Another noteworthy feature is the PL2’s compatibility with a 240Hz refresh rate on 1080p sources, reducing input lag by four times, enhancing the projector's responsiveness for demanding gamers.
Overscan and external grey border of 0.47 DMD chips :
Regarding overscan, the PL2 stands out because the cropping setting is disabled by default, meaning no cropping is applied to the image. This ensures that the projected image retains its full content but also exposes another drawback: the presence of the typical grey border associated with 0.47" DMD chips. This phenomenon, caused by the inactive micro-mirrors on the chip, was almost imperceptible on the PL1 but is quite visible on the PL2. A grey border about 2 centimeters wide surrounds the entire usable image, which can be distracting in some projection setups, especially on dark backgrounds.
Laser speckle :
As for the laser speckle effect, which manifests as small bright scintillations visible on light images, often caused by the coherent nature of laser light, the PL2 has managed to completely eliminate this visual flaw. This improvement is particularly noteworthy, as speckle can be a common issue with laser projectors, making the image less uniform and degrading perceived quality. During my tests, no trace of speckle appeared on the PL2, delivering a clean image free of unwanted artifacts.
Colorimetry and Gamma :
The colorimetry of the Hisense PL2, with its single-laser light source, clearly shows its limitations compared to models equipped with TriChroma technology. The PL2 covers 65.13% of BT.2020 and 84.73% of DCI-P3, which remains below the performance of triple-laser projectors, particularly in terms of color richness.
If you’ve followed my previous Hisense projector reviews, you know that I particularly appreciate their color management and Gamma, as these aspects are usually well-controlled and make the calibration work I perform on each model much easier. However, the PL2 proved to be a real challenge. A bug forced me to spend many nights searching for a satisfactory combination to attempt proper calibration. I say “attempt” because, even after numerous trials, I am not entirely satisfied with the results, especially during checks with the color checker. Before delving into the details of this mishap, it’s worth analyzing the factory presets offered by Hisense. None of them allow the color temperature to drop below 9000K, resulting in an image that is too cold, dominated by bluish hues, far from the expected standards for a balanced projection.
The deltaE deviations (error levels) are also concerning, well above the perception threshold of 3 for a non-professional user. The main problem, and the source of my difficulties, comes from the Gamma management. While the displayed values are close to 2.2, the curves show a marked drop beyond 50 IRE, causing unwanted variations in brightness levels. The PL2 offers several Gamma presets (2.0, 2.2, 2.4, 2.6, and BT1886) for SDR sources, as well as a Gamma editor for manual adjustments. Before any calibration, it’s essential to disable all dynamic contrast devices, which I naturally did. Yet, despite this check, my Gamma curves remain “broken,” as if dynamic contrast were still active in the background, which could also explain the surprisingly high contrast levels I recorded during my contrast and brightness tests.
After calibrating the PL2 using the Gamma BT1886 preset and applying corrections to the grayscale, contrast, brightness, and CMS, I managed to achieve a color temperature of 6594K with a deltaE reduced to 1.3, which is satisfactory. However, I usually manage to reduce this deviation to below 1 with other Hisense models. The remaining issue is that despite these adjustments, the Color Checker continues to show a deltaE too high at 4.2, indicating visible deviations for certain colors. I’ve contacted Hisense about this, as I suspect a non-deactivable dynamic contrast option is causing this situation, and I am awaiting their response for further clarification.
HDR Management :
The HDR and Dolby Vision management on the Hisense PL2 relies on an automated metadata recognition system, which works fairly well for HDR10 sources but less accurately with Dolby Vision content. In fact, the EOTF curve, which determines the tonal response of the image, shows more errors in Dolby Vision than in HDR10, which can affect the accuracy of brightness and detail rendering in both bright and dark areas.
Neither of these modes produces fully satisfactory results out of the box, whether for grayscale or Color Checker, making it necessary to perform thorough calibration to optimize color reproduction and improve contrast accuracy in these formats. Once calibrated, the PL2 can better leverage its HDR format capabilities.
Contrast and brightness :
The manufacturer claims a brightness of 2700 lumens for the Hisense PL2, but in my tests, I measured a maximum of 1676 lumens in dynamic mode, out of the box. After calibration, this value drops to 1230 lumens, which is still enough to maintain a luminance of 16 fL on an SDR source, with a 3.56-meter image base. It’s important to note that my brightness measurements are taken with sensors directed toward my reference white screen (gain 1), used for all my tests over the past two years. These measurements faithfully reflect the brightness perceived by the human eye, as they are taken from the light reflected by the screen, offering a realistic assessment of the viewer’s experience. Some testers use a lux meter directed at the projector to evaluate brightness, but this method does not correspond to the reality of projection. Regarding contrast, the PL2 performs very well.
This is easily verified by measuring the black level in cd/m², where, as soon as values begin with 0.0XXX, we can guarantee that the projector is comfortable with dark scenes. My measurements confirm a sequential contrast of 2226:1 after calibration. The activation of dynamic contrast has little impact on these measurements, but by selecting the "low" mode, blacks are further improved without the pumping effect often seen in other projectors.
The precision of the Hisense PL2 is exemplary. While watching scenes from *Aliens* in 4K HDR, I discovered a plasticity, smoothness, and realism I had never perceived before in this film. The sharpness of the image is beautifully enhanced by the projector’s excellent contrast. I assure you, contrast and the sense of image definition are inseparable. The sequences where the colonists are searched in the underground, for example, are perfectly rendered thanks to the PL2's clarity and contrast, offering impressive immersion.
If I had to judge this projector solely on these two criteria, it would undoubtedly win the ultimate award from mondoprojos. However, as a lover of color precision, I am somewhat disappointed by the color rendering of this model. We are far from the performance that the PX3 Pro and C2 Ultra can offer once calibrated. It's not just about a wider Gamut but also the accuracy of colors post-calibration, which is crucial to faithfully reproducing the director's intent. Unfortunately, the PL2 falls short in this area, and that’s where it misses the mark.
As you’ve probably gathered, I finish this review of the Hisense PL2 with mixed feelings, somewhere between surprise and disappointment. After performing meticulous calibrations on the PX3 Pro and C2 Ultra, I expected the PL2, with the same adjustment options as its TriChroma counterparts, to be easy to calibrate. Yet, I was gravely mistaken. A defective model or an issue linked to this adaptive contrast that seems impossible to disable ? Both hypotheses remain on the table, and I am eagerly awaiting feedback from the manufacturer on these questions. It’s all the more regrettable because the PL2 brings notable improvements like an additional HDMI port and a shorter throw ratio, which could have made it a very competitive model. However, based on my experience with this projector, I’m unfortunately unable to award it a Gold or even a Silver Award.
I appreciated:
I regret:
20 Commentaire(s)
Ok I will keep my solid PL1 paid €1049 last Black Friday 😉
Selon vous, la télécommande PL2 sera-t-elle compatible avec la PL1 ?
Peut être en Bluetooth.
Dommage je ne le prendrai pas..
Un peu plus de luminosité, un peu plus de contraste, un peu moins de bruit… on était pas mal ! En espérant que la réponse de la marque permettra de revenir à la simplicité d’usage du PL1… Que par défaut, les marques fassent des réglages « marketing » pour des images qui claquent ou respecter des specs bidon, passe encore…. Mais la, Hisense c’est qd même incroyable que pas un seul mode (film maker, cinéma…) ne soit pré calibre correctement ! Une maj sw serait la bienvenue 🙏
Surprenant de la part d’Hisense ( Marque de qualité ), ce problème de colorimétrie Out of Box.
ça mériterait une seconde session de rattrapage ( Test complémentaire ) après une mise à jour de Firmware qui remet tout d’aplomb.
Car, par ailleurs, il “respire” la qualité et l’ensemble de ses fonctionnalités le hisse allégrement sur le podium, s’il n’y avait ce problème surprenant de colorimétrie.
Looks like it does 4k@120hz but it wasn’t tested.
Y aurait-il un moyen de tester si un projecteur est plus ou moins susceptible de causer un effet AEC ?
Pas chez moi (je ne suis pas sensible).
Que de tests en cette rentrée !
Je sens que le classement annuel ne va pas être évident 😂
Merci et bon courage pour le casse-tête !
Tout d’abord, merci pour tous ces tests que je lis attentivement depuis un moment déjà. Je compte me lancé dans l’expérience du vidéo projecteur UST et le choix devient de plus en plus difficile avec toutes ces références. J’hésite entre le xgimi aura 2 et le Hisense PL2, auriez vous un conseil pour choisir entre les deux ? Le duel à l’air d’être serré entre les deux.
Bonjour ni l’un, ni l’autre les raisons figurent dans les tests.
Merci pour votre réponse. Lequel me conseillerez vous du coup ?
Si vous avez le budget pour le Xgimi Aura 2 partez plutôt sur le Formovie theater ou attendez mon test du Formovie theater Premium.
Bonjour Grégory,
Merci pour vos tests toujours très précis et qui font référence en la matière !
J’ai une question générale (peut-être bête ?) sur votre mesure de luminosité : je comprends bien que les valeurs sont relevées par votre sonde face à une toile blanche de gain 1 puisque c’est bien exactement la quantité de lumière qui arrivera aux yeux du spectateurs.
Mais les toiles recommandées pour les projecteurs UST sont généralement d’un gain inférieur à 1, entre 0.6 et 0.8 non ?
En prenant l’exemple de votre test du PL2 où vous indiquez que la base d’écran recommandée pour 26FL est de 2.8m, cela veut-il dire que pour un écran dédié aux UST (type ALR Celexon/XYScreen/Vividstorm, etc), cette base sera inférieure, c’est bien cela ?
Si oui, je ne me rends pas du tout compte de combien ? => 2.8m de base pour 26FL sur une toile de gain 1 donnerait par ex. combien sur une toile en gain 0.6 ?
Cela ne vaudrait-il pas le coup d’ajouter des mesures complémentaires sur une toile plus caractéristique aux UST en plus de celle de référence à 1 ? (et j’imagine que vous n’avez déjà pas du tout assez de boulot avec ces tests ultra poussés :-p )
Merci pour votre réponse !
Bonjour,
Oui globalement c’est ça. Il suffit de diviser ou de multiplier ma mesure de luminosité par rapport au Gain de votre écran.
Un écran technique est surtout utile dans une pièce dans laquelle le contrôle de la lumière n’est pas optimum. Il est parfaitement concevable d’utiliser un UST avec un écran blanc dans une salle optimisée.
Bonjour greg,
Déjà merci pour tous les tests que vous faites, d’ailleurs c’est grâce à vous que je me suis lancé dans les ust, toujours heureux possesseur du pl1 , je verrais une grande différence entre le pl1 ou le pl2, px3 pro ou j’attends de passer sur le dernier formovie Theater que vous allez testé ?
Merci pour tous
Bonjour yannick (pas le PL2 non ;)). Le passage à un triple laser risque de vous impressionner oui, surtout pour le rendu des couleurs.
Merci beaucoup
Bonjour pour le moment je garde mon pl1