En 1987, Texas Instruments a dévoilé sa technologie DMD, marquant le début d'une nouvelle ère dans le domaine de la projection. Les premiers projecteurs DLP (Digital Light Processing) sont apparus en 1996, et ont été rapidement adoptés pour leur capacité à fournir des images claires et lumineuses. Au fil des décennies, TI a continué à affiner cette technologie, introduisant des puces avec des résolutions de plus en plus élevées.
Au début des années 2000, les projecteurs DLP se sont répandus dans les salles de cinéma et les espaces professionnels, tandis que les foyers adoptaient ces technologies pour le home cinéma. En 2012, les puces DMD capables de résolution 4K ont fait leur apparition, rendant l'UHD accessible aux cinémas et aux consommateurs. Les années suivantes ont vu l'introduction de modèles plus abordables, permettant à un public plus large de profiter de la qualité 4K.
La puce DMD 0,47 XPR est un exemple parfait de l'engagement de Texas Instruments à rendre la haute résolution accessible. Introduite pour les projecteurs 4K UHD économiques, cette puce utilise la technologie XPR (Expanded Pixel Resolution) pour simuler une résolution 4K à partir d'une matrice de miroirs plus petite. En faisant basculer rapidement les miroirs pour créer plusieurs positions de pixel, elle quadruple le nombre perçu de pixels, offrant une expérience visuelle 4K à un coût réduit. Cette technologie permet aux amateurs de cinéma maison de profiter d'une image ultra-haute définition sans se ruiner.
Bien que la puce 0,47 XPR de Texas Instruments soit saluée pour sa capacité à offrir une résolution 4K à un prix abordable, elle n'est pas exempte de défauts.
Le premier concerne un élément fondamental pour l’œil : le contraste. La miniaturisation croissante des puces DMD a entraîné une baisse notable du contraste natif, amplifiée par le système XPR. La plupart des projecteurs DLP 0,47 à lampes, LED ou laser dépassent rarement les 600:1 de contraste séquentiel, ce qui se traduit par des noirs virant au gris et des images nocturnes manquant de profondeur et de détails. En comparaison, les projecteurs DLP équipés de puces DMD 0,95 atteignaient, voire dépassaient 3000:1 de contraste natif, faisant de la version 0,47 une régression notable.
Le seul fabricant ayant réussi à proposer un contraste natif de 3000:1 avec cette puce 0,47 est Appotronics (Xiaomi, Fengmi, Formovie) grâce à son système laser ALPD et un bloc optique spécifique dans ses projecteurs à ultra courte focale.
Un autre problème notable avec la puce 0,47 XPR est la bordure grise qui apparaît autour de l'image projetée. Ce phénomène est causé par la présence de micro-miroirs inactifs à la périphérie de la puce. Ces miroirs, ne participant pas à la formation de l'image, reflètent une lumière grise ou noire, créant une bordure visible autour de l'image. Cela peut être gênant pour les spectateurs, surtout sur les écrans de projection où les marges sont normalement invisibles.
Enfin, le traitement supplémentaire requis par la technologie XPR pour gérer le décalage rapide des pixels peut parfois entraîner une légère augmentation du bruit d'image, perceptible dans certaines conditions de visionnage.
Face aux critiques des consommateurs, des revendeurs et des fabricants de projecteurs concernant les divers problèmes liés à la puce DMD 0,47, Texas Instruments a introduit une version plus grande : la puce DMD 0,65. Cette nouvelle puce maintient une résolution native Full HD, mais peut simuler une résolution UHD grâce au même traitement XPR. Acer, BenQ, Optoma, Panasonic, et désormais ViewSonic, utilisent cette nouvelle puce, qui promet un meilleur contraste natif, une plus grande netteté et une image sans la bordure grise externe. En Chine, cette puce commence également à être commercialisée, et en 2025, nous devrions voir arriver des projecteurs DLP 0,65 XPR chez les principaux acteurs du marché chinois comme Formovie, Xgimi et Dangbei.
Si la puce DMD 0,47 venait à être totalement supplantée par cette nouvelle version, peu d'amateurs de vidéoprojection pour le home cinéma en pleureraient la disparition !
Il est maintenant temps de se concentrer sur le premier projecteur triple laser frontal équipé de la puce DMD XPR 0,65 : le ViewSonic LX700 4K RGB, une exclusivité mondoprojos.fr.
Le ViewSonic LX700 4K RGB est un vidéoprojecteur conçu pour le home cinéma et les jeux vidéo. Il utilise une source lumineuse triple laser composée de lasers rouge, vert et bleu (RGB). Cette technologie permet de couvrir un large spectre de couleurs, y compris 100 % du gamut BT.2020, ce qui n'est pas possible avec les sources lumineuses traditionnelles comme les lampes ou les LED.
Les principaux avantages de la source lumineuse laser RGB sont :
Le LX700 4K RGB propose une résolution simulée de 3840 x 2160 (4K Ultra HD). Cela signifie qu'à partir d'une résolution native Full HD, le traitement XPR associé à la puce DMD affiche tous les éléments d'une image Ultra Haute Définition (UHD 3840x2160) séparément, mais à une vitesse si élevée que notre œil est incapable de percevoir cette action.
Ce projecteur est conçu pour s'adapter facilement à divers espaces de projection grâce à plusieurs caractéristiques :
Ce vidéoprojecteur affiche également des fonctionnalités intéressantes pour les gamers :
Le LX700 4K RGB comprend des haut-parleurs intégrés de 15W et prend en charge la sortie audio HDMI eARC, ce qui facilite la connexion avec des systèmes audio externes. Son port USB-A permet de charger des appareils connectés tels que des dongles de streaming sans nécessiter une alimentation séparée.
Il supporte les signaux HDR/HLG avec métadonnées statiques (HDR10) mais pas les formats Dolby Vision ou HDR10+ (métadonnées dynamiques). Il propose également une compatibilité 3D Ready avec DLP-Link en 1080p.
Le LX700 4K RGB affiche son orientation à être placé dans une salle dédiée grâce à une coque entièrement noire. Le bloc optique est décentré et un petit cache situé sur sa partie inférieure limite la pollution lumineuse autour de l'écran.
Le rapport de projection est variable grâce au zoom de 1,6x, offrant un ratio de projection compris entre 1.4 et 2.24. Pour un écran de 2,50 m de base, il faut prévoir un recul entre 3,50 m et 5,60 m, adapté à une installation au fond d'une salle dédiée.
Le dispositif de déplacement mécanique du bloc optique (Lens Shift) fonctionne uniquement sur l'axe vertical avec une amplitude de 10%. Bien qu'il soit limité, il a le mérite d'exister.
Avec un poids de 2,7 kg et des dimensions de 286 mm (L) x 216 mm (P) x 129 mm (H), son encombrement est réduit. Des pas de vis sont présents sous l'appareil pour permettre une installation inversée au plafond.
L'appareil n'est pas équipé de fonctions smart TV avancées, ni de connexions Wifi ou Bluetooth. Il dispose de deux prises HDMI 2.0 dont une eArc, et de deux prises USB-A, dont une réservée à la maintenance.
Le constructeur a aussi équipé son modèle d'un haut-parleur de 15W. La télécommande fournie est grise, rétroéclairée et fonctionne en infrarouge.
Alors que beaucoup de constructeurs optent pour des menus modernes avec des lecteurs multimédias et des fonctions smart TV, le LX700 4K RGB reste simple avec des menus en vignettes très austères et peu de fonctionnalités.
Les modes d'image préconfigurés en usine sont les suivants : « TV (BT.2020) », « Luminosité Max », « HDR/HLG » (quand ce type de signal est détecté), « Film », « Jeux », « Low Blue Light », « Rec.709 », « Utilisateur » et « 3D ». Chacun de ces modes est éditable, permettant de sauvegarder des réglages personnalisés.
Pour calibrer l'image, vous avez accès à des températures de couleur prédéfinies ainsi qu'à des niveaux de Gamma fixes. Les réglages classiques de contraste, luminosité, saturation, teinte et netteté sont présents, mais il n'y a pas d'option de réglage 2 points (ou plus) de l'échelle de gris. Le CMS intégré permet d'ajuster les trois dimensions du Gamut (teinte, saturation et luminosité) pour les couleurs primaires et secondaires (rouge, vert, bleu, cyan, magenta, jaune). Un onglet spécifique « blanc » est également présent pour corriger le point blanc, mais seulement sur un point.
En ce qui concerne la gestion HDR, il n'y a pas de gestion du Gamma EOTF ni de Dynamic Tone Mapping. Le traitement vidéo est inexistant, sans mode d'aide à la fluidité.
La gestion du laser offre trois réglages : "pleine puissance (avec possibilité de régler la luminosité par paliers de 5% entre 50 et 100 %), mode économique et contraste dynamique". Ce dernier ajuste la puissance du laser en temps réel en fonction du contenu de l'image, réduisant la luminosité pour les scènes sombres et l'augmentant pour les scènes lumineuses.
Un point à regretter pour le calibrage est l'absence d'une option pour déplacer les menus, qui restent bloqués en position centrale, gênant les mesures de colorimétrie.
Pour évaluer correctement le bruit du système de refroidissement du LX700 4K RGB, il faut d'abord mesurer le bruit résiduel de la pièce avant de l'allumer, qui était de 35,1 dB. Une fois le projecteur allumé, j'ai mesuré le bruit de fonctionnement à pleine puissance (36,2 dB) et en mode économique (35,9 dB). Ce sont d'excellents résultats car le surcroît de bruit causé par les ventilateurs du ViewSonic ne dépasse pas 1,1 dB. C'est un appareil très discret, ce qui est confirmé par une écoute directe.
Le haut-parleur intégré de 15W offre une qualité sonore limitée. Pour une expérience audio optimale, il est recommandé de connecter le projecteur à un système de sonorisation home cinéma de qualité, surtout dans une salle dédiée.
L'analyse des besoins en énergie du LX700 4K permet de tirer deux conclusions : premièrement, sa consommation est maîtrisée ; deuxièmement, même avant mes premiers relevés de luminosité, je sais déjà que ce ne sera pas une bombe à lumens. À pleine puissance du laser, il consomme 144,3W, en mode économique, ne nécessite que 124,3W en mode économique, et si vous réduisez l'intensité à 50%, il se limite à 68W.
L'utilisation d'une puce DMD plus grande (0,65 contre 0,47) permet d'obtenir une sensation accrue de précision et de netteté. Cette impression est confirmée par les mires 4K que j'ai demandé au projecteur de restituer. La précision ne se limite pas au centre de l'écran : jusqu'aux bords les plus extrêmes, la restitution des lettres et les lignes reste exemplaire.
Lors du test de l'entrecroisement des 11 lignes sur une mire 4K, le traitement XPR montre ses limites. Seuls les projecteurs 4K natifs parviennent à restituer distinctement les lignes colorées et blanches qui les séparent. Avec les DLP XPR, qu'ils soient 0,47 ou 0,65, tout est entremêlé.
Il n'est pas possible de désactiver le traitement XPR sur le LX700 4K, contrairement à certains modèles qui permettent de travailler en Full HD avec des sources SDR.
Comme mentionné dans la partie dédiée aux menus, ce modèle ne dispose pas d'aide à la fluidité de type interpolation d'images, mais les signaux 24p sont supportés nativement sans conversion en 60Hz. Le "judder" reste donc dans des niveaux acceptables avec ce type de sources. La reproduction 24p ne signifie pas que l'image sera fluide, mais qu'elle offrira le même effet "heurté" qu'une image de cinéma, sans le mauvais 3:2 Pulldown.
Avec l'option de réduction du lag activée, j'ai mesuré un retard à l'affichage de 17,2 ms avec un signal UHD à 60Hz. La qualification "Gaming" du LX700 4K est donc méritée. Avec un signal à 120Hz, l'input lag s'abaisse à 8,6 ms.
Si aucun signe de cropping ou d'overscan n'est visible (c'est-à-dire qu'aucune partie de l'image n'est rognée par le traitement vidéo interne de l'appareil), la puce DMD 0,65 génère toujours une petite bordure plus claire entourant l'image du film ou de la série diffusée. Cependant, elle est réduite par rapport à celle de la puce DMD 0,47, passant d'une largeur de 2 cm à 1 cm.
Avec un projecteur triple laser comme le LX700 4K RGB, les risques de perception des effets de tavelures ou "speckle laser" (image constellée de micro points) sont plus élevés qu'avec un mono-laser. Cependant, cet effet indésirable est bien maîtrisé par ViewSonic et ne m'a pas dérangé.
Le constructeur met en avant une couverture de 120% de l'espace couleurs Rec.2020 (70% des couleurs perceptibles par l'œil humain). En réalité, mes mesures indiquent une couverture de 97,36 %, ce qui est déjà excellent pour un projecteur sans utilisation de filtre couleur. C'est également bien au-dessus de ce que peuvent offrir des appareils très coûteux et volumineux comme les modèles mono-laser de JVC et Sony.
En sortie de boîte, il est possible de se passer d'un calibrage professionnel en utilisant la sélection « Rec.709 ». Ce mode permet d'obtenir une image SDR bien équilibrée avec une température de couleurs de 6253K, un niveau d'erreur Delta E limité à 1,6 et un Gamma de 2,16. Les saturations et le color checker affichent une moyenne Delta E de 3,2, ce qui est raisonnable pour une utilisation sans calibrage professionnel.
À noter que le projecteur ne propose pas de choix de Gamut (SDR ou HDR). C'est le mode d'image sélectionné qui détermine si vous avez un espace couleurs élargi ou restreint. En SDR, le mode « TV (BT.2020) » est le seul à offrir le maximum de couleurs disponibles avec un projecteur triple laser.
Grâce au CMS et à l'ajustement sur un point de l'échelle de gris, j'ai entamé un calibrage aux références PVA en utilisant mon colorimètre Klein K10A profilé avec un spectrophotomètre Jeti 1501 Hi Res 2 nm, en orientant les sondes vers l'écran. J'ai ainsi obtenu une température de couleurs de 6466K avec un écart Delta E réduit à 0,6, tant pour le point blanc que pour le color checker. N'espérez pas atteindre ce niveau de précision et de répétabilité avec des sondes grand public pour un projecteur laser, et encore moins pour un triple laser comme je le démontre ici (cliquez sur le lien).
Si j'ai été emballé par le très bon travail réalisé en usine sur les couleurs en SDR, je suis moins enthousiaste au sujet de la gestion HDR. Le LX700 4K HDR souffre de l'absence d'une gestion automatique des métadonnées. Si je peux excuser l'absence d'un Dynamic Tone mapping à la sauce JVC sur un appareil de 1799€, j'ai plus de mal à constater qu'on ne puisse avoir accès à une simple option de réglage EOTF. Le LX700 4K semble appliquer une coupure des sources avec encodage au-dessus de 1000 nits mais avec une image souvent trop sombre. (voir mon tableau de mesures dans la partie "contraste et luminosité").
Différents chiffres de luminosité circulent sur le web concernant ce modèle : 2000 lumens, 2500 et même 5200 "laser lumens". Comme expliqué précédemment, seule l’échelle de valeurs ANSI est pertinente. ViewSonic tente probablement de quantifier l’effet Helmholtz-Kohlraush (HK) propre aux projecteurs LED et laser, qui disposent de couleurs plus saturées donnant l'impression d'une luminosité plus élevée. Cependant, cette valeur ne respecte pas les mesures standard de l'industrie. La luminosité des projecteurs est définie par des groupes de normes internationalement reconnus, notamment l'Organisation internationale de normalisation (ISO) et le Comité international de métrologie de l'affichage (ICDM). Aucune de ces normes ne valide les "lumens LED ou laser".
En se référant aux valeurs de luminosité reconnues, j'ai mesuré un maximum de 2038 lumens en mode « Luminosité Max », ce qui correspond et dépasse légèrement les premières valeurs annoncées par le constructeur.
Ce chiffre est intéressant car il permettrait en théorie d'éclairer de très grands écrans. Hélas, il est obtenu avec une température de couleurs de 6979K et un niveau d'erreur Delta E de 12,3, ce qui est beaucoup trop pour une utilisation home cinéma.
Le Delta E (dE) est une mesure utilisée pour évaluer les différences de couleur visibles. Si la valeur de dE dépasse 3, la différence est généralement visible pour tout le monde. Une valeur au-dessus de 2,3 indique une variation subtile que seuls des yeux avertis peuvent détecter. En revanche, une valeur inférieure à 2,3 est imperceptible à l'œil humain.
Comme indiqué dans la partie dédiée à l'analyse des couleurs, le mode « Rec.709 » est le plus proche des références HDTV et peut être utilisé tel quel sans calibrage additionnel. Dans cette configuration, le projecteur perd la moitié de sa puissance lumineuse. Il reste 1035 lumens avec le laser à 100 %. C'est quasiment la même chose après mon calibrage, avec 1027 lumens. En mode « éco », la luminosité tombe à 823 lumens. Dans ces conditions, il faut être raisonnable avec la taille de l'écran utilisé avec le LX700 4K. Je recommande de ne pas dépasser 2,50 m de base (120 pouces de diagonale) avec le laser à pleine puissance.
Le tableau est plus réjouissant en termes de contraste natif, avec un bon 1200:1 après calibrage. Les avantages attendus de la puce DMD 0,65 sont bien présents. Il est même possible de dépasser 10 000:1 après activation du contraste dynamique, mais cela entraîne rapidement un effet de pompage de luminosité notable et dérangeant. De plus, cette option bouche les noirs en effaçant les détails, comme observé sur les images tirées de la nouvelle version de « The Thing » en 1080p SDR.
C'est avec ce type de sources que j'ai le plus apprécié le LX700 4K. Attaché à la précision et au naturel des couleurs, j'ai particulièrement apprécié le rendu des tons de peau dans les scènes de « The Thing » dans la salle commune et dans le hangar où la créature est piégée dans la glace. La scène d'ouverture, où l'engin des neiges tombe dans la crevasse et découvre, suspendu à la verticale dans le halo de ses phares, la coque engloutie du vaisseau spatial, permet de constater que le gain de contraste par rapport aux DLP 0,47 est bien présent. La fluidité sans interpolation d'images est fidèle à ce que l'on voit dans un vrai cinéma, un point qui plaira à ceux qui n'aiment pas l'interpolation d'images. S'agissant d'un projecteur triple laser, je vous recommande de tester le mode « TV (BT.2020) » en utilisant les réglages du point blanc du mode « Rec.709 ». Bien que cela s'écarte de la configuration Gamut Rec.709 et D65, il permet de découvrir les avantages d'un espace couleur étendu à BT.2020, réservé aux projecteurs triple laser.
Pour cette partie, je dois exprimer ma déception. En raison d'une luminosité trop limitée pour ce type de source, le LX700-4K RGB ne peut prétendre au Gold Award. Le rendu HDR est, à mon avis, un peu fade.
À l'issue de mes différents tests, le premier vidéoprojecteur DLP triple laser équipé de la puce DMD 0,65 XPR x4 se voit attribuer un Silver Award par mondoprojos.fr. Cette médaille d'argent récompense de nombreuses qualités, telles que la discrétion de fonctionnement, la précision de l'image, la fluidité et surtout le très bon travail sur les couleurs réalisé en usine. Cela permet à l'utilisateur de ne pas être obligé de passer par la case calibrage, bien que cette opération permette d'aller encore plus loin dans le respect du travail du réalisateur du film et de son directeur de la photographie. Le LX700 4K RGB rate l'or de peu, gêné par une luminosité diminuée de moitié avec des couleurs justes, un contraste dynamique inutilisable et une restitution HDR en retrait, qui se limite aux signaux HDR10/HLG alors que la plupart des concurrents triple laser offrent déjà le Dolby Vision et/ou le HDR10+.
Le ViewSonic LX700 4K RGB sera disponible en France dès septembre 2024 au tarif de lancement de 1799 €.
In 1987, Texas Instruments unveiled its DMD (Digital Micromirror Device) technology, marking the beginning of a new era in projection technology. The first DLP (Digital Light Processing) projectors appeared in 1996 and were quickly adopted for their ability to deliver clear and bright images. Over the decades, Texas Instruments has continuously refined this technology, introducing chips with increasingly higher resolutions.
In the early 2000s, DLP projectors spread into cinemas and professional environments, while homes adopted these technologies for home cinema. In 2012, DMD chips capable of 4K resolution appeared, making UHD accessible for both cinemas and consumers. The following years saw the introduction of more affordable models, allowing a broader audience to enjoy 4K quality.
The DMD 0.47 XPR chip is a perfect example of Texas Instruments' commitment to making high resolution accessible. Introduced for affordable 4K UHD projectors, this chip uses XPR (Expanded Pixel Resolution) technology to simulate 4K resolution from a smaller mirror matrix. By rapidly shifting the mirrors to create multiple pixel positions, it quadruples the perceived number of pixels, offering a 4K viewing experience at a reduced cost. This technology allows home cinema enthusiasts to enjoy ultra-high-definition images without breaking the bank.
While the 0.47 XPR chip from Texas Instruments is praised for delivering 4K resolution at an affordable price, it is not without flaws.
The first issue concerns a fundamental aspect for the eye: contrast. The increasing miniaturization of DMD chips has led to a notable drop in native contrast, exacerbated by the XPR system. Most 0.47 DLP projectors, whether using lamps, LEDs, or lasers, rarely exceed a sequential contrast of 600:1, resulting in blacks turning gray and nighttime images lacking depth and detail. In comparison, DLP projectors with 0.95 DMD chips easily achieved or even exceeded a native contrast of 3000:1, making the 0.47 version a significant step backward.
The only manufacturer to achieve a native contrast of 3000:1 with this 0.47 chip is Appotronics (Xiaomi, Fengmi, Formovie) thanks to its ALPD laser system and a specific optical block in its ultra-short throw projectors.
Another notable issue with the 0.47 XPR chip is the gray border that appears around the projected image. This phenomenon is caused by inactive micro-mirrors at the edge of the chip. These mirrors, not participating in image formation, reflect gray or black light, creating a visible border around the image. This can be distracting for viewers, especially on projection screens where margins are typically invisible.
Finally, the additional processing required by the XPR technology to handle the rapid pixel shifting can sometimes increase image noise, noticeable under certain viewing conditions.
In response to consumer, reseller, and manufacturer complaints about the various issues associated with the 0.47 DMD chip, Texas Instruments introduced a larger version: the DMD 0.65 chip. This new chip maintains a native Full HD resolution but can simulate UHD resolution using the same XPR processing. Acer, BenQ, Optoma, Panasonic, and now ViewSonic, have adopted this new chip, promising better native contrast, sharper image quality, and an image free from the external gray border. This chip is also starting to be marketed in China, and in 2025, we expect to see 0.65 XPR DLP projectors from major Chinese market players like Formovie, Xgimi, and Dangbei.
If the DMD 0.47 chip were to be completely supplanted by this new version, few home cinema projection enthusiasts would mourn its disappearance!
It’s now time to focus on the first triple-laser front projector equipped with the DMD XPR 0.65 chip: the ViewSonic LX700 4K RGB, an exclusive to mondoprojos.fr.
The ViewSonic LX700 4K RGB is a projector designed for home cinema and gaming. It uses a triple laser light source, composed of red, green, and blue lasers (RGB). This technology covers a wide color spectrum, including 100% of the BT.2020 gamut, which is impossible with traditional light sources like lamps or LEDs.
The main advantages of the RGB laser light source are:
The LX700 4K RGB offers a simulated resolution of 3840 x 2160 (4K Ultra HD). This means that from a native Full HD resolution, the XPR processing associated with the DMD chip displays all the elements of an Ultra High Definition (UHD 3840x2160) image separately but at such a high speed that our eye cannot perceive this action.
This projector is designed to easily adapt to different projection environments thanks to several features:
This projector also boasts features appealing to gamers:
The LX700 4K RGB includes built-in 15W speakers and supports HDMI eARC audio output, making it easy to connect to external audio systems. Its USB-A port allows for charging connected devices such as streaming dongles without needing a separate power source.
The LX700 4K RGB supports HDR/HLG signals with static metadata (HDR10) but does not support Dolby Vision or HDR10+ (dynamic metadata). It also offers 3D Ready compatibility with DLP-Link in 1080p.
The LX700 4K RGB is designed to be placed in a dedicated room with its all-black casing. The optical block is offset, and a small cover on its lower part helps limit light pollution around the screen.
The projection ratio is variable thanks to the 1.6x zoom, offering a throw ratio between 1.4 and 2.24. For a screen with a 2.5-meter base, a distance between 3.5 meters and 5.6 meters is required, making it suitable for placement at the back of a dedicated room.
The lens shift mechanism only operates vertically with a range of 10%. While limited, it is a welcome feature.
With a weight of 2.7 kg and dimensions of 286 mm (L) x 216 mm (W) x 129 mm (H), the projector is compact. Screw holes are present on the bottom of the device to allow for ceiling installation.
The LX700 4K RGB is not equipped with advanced smart TV functions or Wi-Fi or Bluetooth connections. It has two HDMI 2.0 ports, including one eArc, and two USB-A ports, one reserved for maintenance.
The manufacturer has also included a 15W speaker. The supplied remote control is gray with backlighting and operates via infrared.
While many manufacturers opt for modern menus with media players and smart TV functions, the LX700 4K RGB remains simple with austere tile menus and few features.
The factory-configured image modes are as follows: "TV (BT.2020)", "Max Brightness", "HDR/HLG" (when such a signal is detected), "Movie", "Games", "Low Blue Light", "Rec.709", "User", and "3D". Each of these modes is editable, allowing you to save your adjustments.
To calibrate the image, you have access to predefined color temperatures and fixed Gamma levels. The usual contrast, brightness, saturation, hue, and sharpness settings are available, but there is no option for a 2-point (or more) grayscale adjustment. The integrated CMS (Color Management System) allows adjustments on the three dimensions of the Gamut (hue, saturation, and brightness) for primary and secondary colors (red, green, blue, cyan, magenta, yellow). A specific "white" tab in the CMS allows for white point correction, but only at a single point.
In terms of HDR management, there is no EOTF Gamma management or Dynamic Tone Mapping. The video processing is non-existent, with no motion smoothing modes.
The laser management operates with three settings: full power with adjustable brightness in 5% steps from 50% to 100%, Eco mode, and dynamic contrast, which attempts to regulate laser power in real-time based on image content (reducing power for dark scenes, increasing it for bright scenes).
One regret for the calibrator in me is the lack of a menu offset option, which remains centrally fixed and can interfere with colorimetry measurements and thus calibration.
To accurately assess the noise level of the LX700 4K RGB's cooling system, I first measured the ambient noise level of the room before turning on the projector, which was 35.1 dB. Once turned on, I measured the operating noise at full power (36.2 dB) and in Eco mode (35.9 dB). These are excellent results, as the increase in noise caused by the ViewSonic's fans does not exceed 1.1 dB. It is a very quiet device, confirmed by a direct listening test.
The integrated 15W speaker provides limited sound quality. For optimal audio experience, connecting the projector to a quality home theater sound system is recommended, especially in a dedicated room.
The analysis of the LX700 4K's energy needs reveals two conclusions: first, its consumption is well managed; second, even before my first brightness measurements, I already know it won't be a brightness powerhouse. At full laser power, the new ViewSonic consumes 144.3W, in Eco mode, it only needs 124.3W, and at 50% intensity, it is limited to a modest 68W.
The implementation of a larger DMD chip (0.65 compared to 0.47) results in a heightened sense of precision and sharpness. This impression is confirmed by the 4K precision test patterns I asked the projector to display. Precision is not limited to the center of the screen; even at the extreme edges, letters and lines remain exemplary.
During the 11-line crosshatch test on a 4K pattern, the XPR processing shows its limits. Only native 4K projectors can distinctly reproduce colored lines and the white lines separating them. With XPR DLP projectors, whether 0.47 or 0.65, everything is intertwined.
It is not possible to disable the XPR processing on the LX700 4K, unlike some models that allow for Full HD operation with SDR sources.
As mentioned in the menu section, this model does not feature motion smoothing such as frame interpolation, but it natively supports 24p signals without conversion to 60Hz. Thus, judder remains within acceptable levels with this type of source. Reproducing 24p does not mean the image will be smooth, but it offers the same choppy effect seen in cinemas without the bad 3:2 Pulldown.
With the lag reduction option activated, I measured a display delay of 17.2 ms with a UHD signal at 60Hz. The "Gaming" designation of the LX700 4K is well-deserved. With a 120Hz signal, the input lag drops to 8.6 ms.
No signs of cropping or overscan are visible (i.e., no part of the image is trimmed by the internal video processing), but the DMD 0.65 chip still generates a small lighter border around the film or series image. However, this border is reduced compared to the 0.47 DMD chip, shrinking from 2 cm to 1 cm in width.
With a triple laser projector like the LX700 4K RGB, the risk of perceiving speckle laser effects (an image dotted with micro points) is higher than with a single laser. However, this effect is well controlled by ViewSonic and did not bother me.
The manufacturer claims 120% coverage of the Rec.2020 color space (70% of the colors the human eye can perceive). In reality, my measurements show 97.36% coverage, which is excellent for a projector without using a color filter. This is also well above what very expensive and bulky devices like single-laser JVC and Sony models can offer.
Out of the box, you can bypass professional calibration by using the "Rec.709" selection. This mode provides a well-balanced SDR image with a color temperature of 6253K, a Delta E error level limited to 1.6, and a Gamma of 2.16. The saturations and color checker show an average Delta E of 3.2, which is reasonable without professional calibration.
It's worth noting that the projector does not offer a Gamut choice (SDR or HDR). The selected image mode determines whether you have an extended or limited color space. In SDR, the "TV (BT.2020)" mode is the only one offering the maximum available colors with a triple laser projector.
Using the CMS and single-point grayscale adjustment, I began calibration to PVA references using my Klein K10A colorimeter profiled with a Jeti 1501 Hi Res 2 nm spectrophotometer, orienting the probes towards the screen. I achieved a color temperature of 6466K with a reduced Delta E of 0.6 for both the white point and color checker. Do not expect to reach this level of precision and repeatability with consumer-grade sensors for a laser projector, let alone a triple laser one.
While I was impressed by the factory calibration of colors in SDR, I am less enthusiastic about HDR management. The LX700 4K HDR sorely lacks automatic HDR metadata management. Although the absence of JVC-style Dynamic Tone Mapping is understandable for a device priced at €1799, the lack of a small EOTF adjustment option is disappointing. The LX700 4K seems to limit to around 1000 nits encoded sources, often producing images too dark for HDR content.
Various brightness figures circulate on the web for this model: 2000 lumens, 2500 lumens, and even 5200 "laser lumens". As previously explained, only the ANSI values are relevant. ViewSonic likely attempts to quantify the Helmholtz-Kohlrausch (HK) effect inherent to LED and laser projectors, which have more saturated colors and give the impression of higher brightness. However, this value does not comply with industry-standard measurements. Projector brightness is defined by internationally recognized standards groups, including the International Organization for Standardization (ISO) and the International Committee for Display Metrology (ICDM). None validate "LED or laser lumens."
Referencing recognized brightness values, I measured a maximum of 2038 lumens in "Max Brightness" mode, which slightly exceeds the initial ANSI values provided by the manufacturer.
This value is interesting because it theoretically allows for very large screen bases to be illuminated. Unfortunately, it is achieved with a color temperature of 6979K and a Delta E error level of 12.3, making it unacceptable for home cinema use.
Delta E (dE) is a measure used to evaluate visible color differences. If the dE value exceeds 3, the difference is generally visible to everyone. A value above 2.3 indicates a subtle variation that only trained eyes can detect. Conversely, a value below 2.3 is imperceptible to the human eye.
As mentioned in the color analysis section, the "Rec.709" mode is the closest to HDTV references and can be used as-is without additional calibration. In this configuration, the projector loses almost half of its luminous power, remaining at 1035 lumens with the laser at 100%. This is almost the same after my calibration, with only 1027 lumens. In Eco mode, the brightness drops to 823 lumens. Therefore, it is necessary to be reasonable with the screen size to pair with the LX700 4K. I recommend staying below a 2.5-meter base (120 inches diagonal) with the laser at full power.
The outlook is more promising in terms of native contrast, with a solid 1200:1 with accurate colors. The benefits expected from the 0.65 DMD chip are indeed present. It is even possible to exceed 10,000:1 after activating dynamic contrast, but this quickly leads to a noticeable and annoying brightness pumping effect. Moreover, this option crushes blacks, erasing details, as seen in the images from the new version of "The Thing" in 1080p SDR.
This is where I enjoyed the LX700 4K the most. Being very attached to color precision and naturalness, I appreciated the skin tone rendering in the scenes from "The Thing" in the common room and the hangar where the creature is trapped in its ice block. The opening scene, where the snow vehicle falls into the crevasse and, suspended vertically, discovers the submerged hull of the spacecraft in the beam of its headlights, demonstrates the gain in contrast compared to the 0.47 DLPs. The fluidity without motion interpolation is also true to what you see in a real cinema, a point that will please those allergic to frame interpolation. Given that it's a triple laser projector, I encourage you to test the "TV (BT.2020)" mode using the white point settings from the "Rec.709" mode. Although this deviates from the Rec.709 and D65 Gamut configuration, this mode will allow you to explore the full benefits of an extended color space to BT.2020, which only a triple laser projector can offer.
For this part, I cannot hide my disappointment. Due to limited brightness for this type of content, the LX700-4K RGB misses out on a Gold Award. The HDR rendering, in my opinion, is somewhat lackluster.
Following my various tests, the first DLP triple-laser projector equipped with the DMD 0.65 XPR x4 chip earns a Silver Award from mondoprojos.fr. This silver medal rewards numerous qualities such as its quiet operation, image precision, fluidity, and above all, the excellent factory work on color calibration, allowing users to avoid immediate calibration, although this process could further respect the film or series director's vision and the instructions given to their director of photography. The LX700 4K RGB narrowly misses gold due to halved brightness with accurate colors, an unusable dynamic contrast, and HDR rendering falling short, limited to HDR10/HLG signals while most triple laser competitors already offer Dolby Vision and/or HDR10+.
The ViewSonic LX700 4K RGB will be available in France starting september 2024 at a launch price of €1799.
32 Commentaire(s)
Quel dommage pour la luminosité en 4K HDR !
Ce LX700-4K RGB coche toutes les autres cases et mérite un grand succès, ne serait-ce que pour faire une croix sur c’est foutues DMD 0,47″ pas chères !
On attend de voir comment la concurrence va évoluer : j’aimerais bien voir la même chose chez BenQ ou Fengmi…
Merci Greg pour ce test particulièrement explicite et accompagné de détails et rappels sur les normes importantes ( PVA au top ).
Décidément, à quand un DLP qui aura tout ce qu’on attend depuis des années ?
La 0.65 prouve qu’elle apporte un plus par cette défunte 0.47, mais pourquoi donc BENQ ne l’a telle pas mise dans son W5800 ?
Avec ce prometteur ViewSonic LX-700 4K RGB point de réglage d’échelle de gris hormis un point blanc !
Pas de réglages de courbes EOTF en HDR, un menu digne des premiers jeux SEGA, pas de fluidification, etc …
Peut être qu’une mise à jour firmware conséquente pourrait réactualiser sérieusement tout ceci.
En attentant, on dira REC2020 certes mais …
Merci dm, c’est bien résumé :).
Merci pour ce test.
Dommage ca ne sera pas celui la qui équipera ma future salle dédiée (base écran 2.9m).
Pas de lens shift horizontale. Pas de hdr10+ ni dolby vision.
Pas trop bruyant, bon input lag, budget plus que raisonnable, c’était presque un gagnant !
C’est une bonne base pour des produits plus aboutis.
Je pense par exemple à une luminosité en hausse, des possibilités de réglages plus étendues, une aide à la fluidité.
Certainement qu’on ne verra pas ça chez Viewsonic, mais peut-être Optoma ou BenQ.
En tous cas les menus de réglages du CMS ressemblent beaucoup aux Optoma, notamment UHZ65. Si c’est un design OEM, il va faire des petits…
Est ce que le fait d’être dans une salle dédiée complètement noire contrebalance la faible luminosité en HDR ?
Est ce que lire les vidéos sur un ordi htpc avec l’appli mpc-be et madvr (et son tone mapping) permet de convertir les vidéos HDR10+ en HDR10 et ainsi également contrebalancer l’absence de support de HDR10+ sur ce projecteur ?
Et globalement, existe-t-il du coup un meilleur projecteur pour salle dédiée en moyenne/longue focale
pour ma dernière question, je précise que c’est pour un budget inférieur a 3000€
Je m’excuse pour mon français et félicitations pour une excellente critique, des conseils, Viewsonic x1-4k à 1150 euros ou Viewsonic lx700-4k rgb à 1800 euros ?
Ils sont très proches et ont tous deux un Silver Award. Le LED a plus d’options dans ses menus, le triple laser un Gamut bien plus large. Pour le reste ils sont très proches.
Bonjour. à quand le test BenQ X500 ?
Bonsoir,
Il est en ligne depuis un petit moment déjà :
https://www.mondoprojos.fr/2024/01/28/test-benq-x500i/
C’est drôle, je me posais à peine près la même question mais entre le x2-4k et ce nouveau projecteur.
Posez les questions sur le forum 😉
https://www.mondoprojos.fr/forum/topic/reception-du-viewsonic-lx-700-4k-rgb-pour-un-futur-test-2/
Les Viewsonic X1-4K et X2-K ont une belle image mais sont trop bruyants et pas assez fluides (pas de MEMC).
Le LX700-4K RGB n’a pas pas ces défauts mais manque peu de luminosité…
Sous les 3000€, le BenQ W4000i reste une référence.
Merci pour la réponse et je m’excuse pour une dernière question, ayant acheté le x1-4k sur Amazon il y a 7 jours pour 1150 euros, est-ce que ça vaudrait le coup de le retourner et d’attendre la sortie du lx700-4k rgb ?
Moi aussi. Je viens d’acheter x2-4k. J’aime ça en général mais c’est un peu trop bruyant. Je ne sais pas si je dois le retourner et attendre lx700-4k rgb ?
Bonjour et merci pour ce test qui est toujours aussi précis !
Est ce que ce vidéo-projecteur pourrait être adapté pour une base d’écran de 300cm (135′) ? Sachant que ça serait pour regarder des films et séries en soirée / nuit.
J’ai eu ma réponse en lisant le forum : 120′ maximum
Bonjour un grand merci pour ce test.
On trouve par ailleurs le LS710-4K qui semble etre sa version marché français mais qui semble être déjà disponible alors que vous évoquez une sortie en juillet. De plus il est blanc et ne présente pas ce demi-cache devant l’objectif ?
Serait-ce vraiment la même ref ? Je ne voudrais pas me tromper.
Merci beaucoup
Bonjour,
Ce n’est pas le même appareil. C’est un mono laser (le ls710/lx700 4k).
Ok c’est le « RBG » qui fait toute la différence, super clair merci bcp.
La date de disponibilité française est reculée à début septembre 2024.
Dommage pour le délai de sortie 🙁
@Francesco83p et @atlant
Le LX700-4K RGB est annoncé à 1800€ et pas avant septembre : ça semble long et cher, à vois de voir si vous supportez les X1-4K et X2-4K, si vous avez le budget et la patience….
Bonjour Grégory, as tu prévu de tester les prochains BenQ tk710?
Merci
Merci pour la réponse, je pense que je vais garder x1-4k, le seul problème c’est que je n’arrive pas à mettre à jour le logiciel, 99% des fois la mise à jour échoue
Est-ce que quelqu’un sait de quoi cela peut dépendre ?
Merci Greg pour ce test trés précis.
@Francesco83p
Fichier ou clé USB corrompu ?
Télécharge à nouveau le firmware sur une autre clé USB…
Bonjour , que propose la nouvelle mise à jour sur le viewsonic ?
Merci
J’ai seulement essayé avec le wifi, je vais essayer avec l’USB
“La date de disponibilité française est reculée à début septembre 2024.”
Le temps peut être d’une mise à jour tenant compte des tests et retours.
Il a tout de même du potentiel mais pas forcément pleinement exploité par cette V1.0.
Lorsque vous parlez du premier projecteur utilisant la puce 0,65 de TI, je suppose que vous parlez du DLP650TE avec la famille de puces DLPC7540, étant donné qu’un certain nombre de projets existent depuis au moins 2020 et utilisent le DLP660TE 0,66 avec la puce DLCP4420.
Ai-je raison ? Si oui, il serait intéressant de comparer un projecteur utilisant le DLP660TE avec ceux utilisant le DLP650TE.
Thanks for the review. How does it compare to the HU710PW at 133 inches?